Les relations du pole de psychiatrie infanto-juvénile de rennes et copelfi : un cas d’identification à l’agresseur ?
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Catégorie : Local
Thèmes : AntifascismeContrôle socialRacismeRépressionResistances
Lieux : Rennes
Président de COPELFI en France : Eric GHOZLAN, Directeur du Pôle Enfance à l’association des Oeuvres de Sauvegarde de l’Enfance/Présidente en Israël : Dolly AMOYELLE.
Vice-Président : G. GACHNOCHI
Secrétaire Générale : Lydia LIBERMAN-GOLDENBERG (Vice-Présidente de l’Association Française de Psychiatrie).
En 2011, G. GACHNOCHI déclarait à Israël Magazine à l’occasion des 20 ans de l’association : « … Le souhait est de réunir une fois par an les praticiens francophones et israëliens pour nouer des liens réguliers et approfondis et ce, au-delà de toutes déformations systématiques des médias européens et internationaux dès qu’il est question de l’Etat Hébreu afin de faire patiemment découvrir à chacun les réalités israéliennes, aussi bien à l’échelle du pays qu’au niveau de ses avancées dans les divers secteurs et domaines de notre profession. »
L’unité de psychiatrie infanto-juvénile de Rennes développe sa pratique sur la prise en charge du trauma suite aux actes terroristes en prenant appui sur l’exemple d’Israël non seulement dans sa coopération avec COPELFI mais aussi dans la recherche, en partenariat avec les universités israëliennes.
En 2018, cette collaboration se concrétise dans plusieurs colloques internationaux donnant la parole aux 3 mêmes associations et institutions : Pôle pédopsychiatrie Rennes, associations ALFEST et COPELFI.
Mai 2018 « Trauma, Terreur, Terrorisme, Vague après vague », Paris.
Octobre 2018 « Les attentats, leur traumatisme, son devenir », Israël (Saison Croisée)
14 Décembre 2018 « Equipes mobiles et Psychotraumatismes. Quelles enjeux, quelles pratiques ? », Rennes.
L’Etat d’Israël assume jusque dans ses lois constitutionnelles de coloniser les territoires palestiniens et d’instituer l’Apartheid à l’intérieur de ses frontières. Les rapports et résolutions de l’ONU attestent de l’attaque de la dignité et de la viabilité des populations palestiniennes et de l’illégalité de l’occupation.
Le sujet d’étude principal de cette coopération internationale de professionnels de la santé mentale réside dans les notions de prise en charge du psychotrauma des victimes du terrorisme, et notamment ses conséquences sur les enfants et les adolescents.
Développer la recherche en psychiatrie sur la connaissance de l’expression des symptômes du trauma dans un contexte de guerre, de terrorisme ou d’oppression est certes, nécessaire.
En revanche, le choix de s’appuyer sur l’exemple d’Israël revient à se rendre complice de l’Etat colonial et d’apartheid qui attaque depuis 70 ans la dignité et la survie même de tout un peuple en Palestine.
La recherche et la coopération sur le terrain en psychiatrie, qu’elle soit de l’enfant, l’adolescent ou l’adulte doit bénéficier au système de santé mentale en Palestine.
Quelles sont les conséquences pour les palestien-ne-s, adultes et enfants, sur le plan de la santé physique et psychique, de l’occupation militaire, l’oppression, l’emprisonnement sans inculpation ni procès à partir de 12 ans, la torture, le meurtre, le contrôle de la circulation des personnes, l’exil, la destruction de maisons et de champs cultivables…?
Autant de thèmes de recherche des modalités de prise en charge et d’accès aux soins indispensables à soutenir auprès des praticiens et praticiennes palestinien-ne-s.
Nous (Collectif de citoyens, professionnels du secteur médico-social rennais) demandons à l’université Rennes 1, à son unité de pédopsychiatrie, aux associations de praticiens et leurs adhérents, aux participants à ce colloque, de cesser toute coopération professionnelle et de recherche avec COPELFI et les universités israëliennes.
Nous demandons aux professionnels de la santé mentale en France de refuser de se rendre à tout colloque et symposium en Israël, (telle la conférence de l’IARPP en 2019 à Tel Aviv) et de soutenir le réseau de santé mentale en Palestine.
COMMUNIQUE DU GROUPE DE PREFIGURATION 2018, UN TEMPS DE LA PALESTINE A RENNES !
APPEL SIGNE PAR : UJFP, AFPS, NPA35, JC35, USA Palestine Mental Health Network
Pour signer la pétition, envoyez un mail à : 2018tempsdelapalestine@gmail.com
Objet du mail : « Signer la Pétition »
Si vous êtes une organisation, merci de joindre votre logo à votre nom .
Si vous êtes un particulier, merci d’indiquer vos nom/prénom/pays et de préciser si vous travaillez dans le secteur social ou de la santé.
Dans tous les cas, précisez si vous souhaitez être informés de nos actions et plaidoyers.
Quelles sont les conséquences pour les palestien-ne-s de Gaza, adultes et enfants, sur le plan de la santé physique et psychique, de l’occupation militaire, l’oppression religieuse, l’emprisonnement ou le meurtre en public sans inculpation ni procès, la torture… ?
Le hamas oppresse aussi la population piège sous son joug
Y’a pleins de palestiniens et palestiniennes qui dénoncent le hamas. Merci pour l’argument éculé des sionistes.
Détruire les nations ( et les oppressions psy ) c’est aussi ce que disent pleins de gens qui vivent en israel / palestine
Qui est désigné comme « agresseur » dans ce texte ?
Relisez bien
Quelles solutions proposées ?
Paradoxe ?
Hypocrisie ?
« soigner des gens c’est être complice »
La « thèse » (le postulat) de cet article est des plus puante