Encore un coup de la bande à insu(pportables)… mais dis-donc, vous auriez pu passer faire un p’tit coucou (c’est vous – on le sait) au lieu de jouer les grands ténébreux… mais timides.
C’est quoi le rapport avec le schmilblick ?
Ces tags tout le monde les a vu dimanche, et c’est bien une question politique, vos embrouilles de bac à sable on s’en fout et ça ne regarde que vous !
Surtout, restons tous unis en vue de la prochaine campagne destituante qui exige tact et composition. Et puis gardons bien au chaud toute critique envers les porte-parole médiatiques de la pseudo-radicalité (ceux qui signent des tribunes dans Le Monde, Libé, sont interviewés sur France Intox, RTL, Vice news, etc.).
Dépêchez vous de sortir les embrouilles de milieu dnas les commentaires, moi je sors le pop-corn et la bouteille de Coca.
Hâte de lire les embrouilles bien au chaud dans mon canapé !
Vous êtes sérieux-ses Indymedia Nantes de relayer des trucs pareils ?
Votre ligne c’est donc celle-là : « ce qui ne passe pas ailleurs, hop c’est pour nous ! »
Sinon l' »action directe » qui consiste à tagger des chiottes pour après les prendre en photo pour après les publier sur internet, c’est quand même …….
Et si on commençait d’abord par ce qui est à portée de main en destituant les élus de proximité, comme par exemple les conseillers municipaux Benjamin Rosoux et Manon Glibert, élus à Tarnac de la plate-forme « une commune en commun » en 1994 ?
Deux rageux « anonymes » dont tout le monde sait qui ils sont tagguent les propos du premier ministre dans une arrière cour et indymedia en fait un « article » dans sa catégorie « global ». Que la fin d’un mouvement coïncide avec une éruption acnéique de ressentiment et de petite bile, c’est pas très étonnant. Qu’indymedia choisisse de s’en faire le relai c’est par contre assez navrant. Quand on voit le nombre d’articles aberrants sur des « embrouilles » qui intéressent à peu près 7 personnes en France, on se dit que continuer à les publier c’est encourager tout cela et décrédibiliser un peu plus à chaque fois le rôle d’indymedia. Il serait peut être temps d’ajouter une rubrique « chiotte » en dessous de local et global afin de laisser les 3 personnes que ça amuse poster librement tout en permettant aux autres de ne pas être pollué par la bêtise et la misère militante.
je suis d’accord avec « action plus directe », il faut zigouiller les élus locaux des petites communes, en vérité ce sont eux les véritables pilliers du pouvoir !
Et il en est de même du capitalisme ! ne me parlez pas des banques… Vous vous leurrez. Moi, j’ai commencé. L’autre jour un connard de boulanger a voulu me racketter 50cts pour une baguette, je lui ai envoyé un pain dans la gueule ça lui appendra. Suppot du capital, qui essaye de se faire de l’argent avec l’estomac des pauvres.
« action plus directe » tu as l’air d’être un pur toi aussi, je propose qu’on s’allie, on sera deux, on pourra ptet aller faire des tags !
Et on aura raison, à l’inverse de tous ces cons qui croient encore aux mouvement sociaux. Ou pire à la zad. Hahaha.
Le « pilier du pouvoir » c’est l’Etat, autant dans ses élus de proximité que dans le Président : c’est l’autorité et le monopole légal de la violence (un « petit » maire dispose comme le préfet d’un pouvoir de police, ce qui lui permet de prononcer des « hospitalisations d’office », soit des internements psychiatriques forcés, s’il ne fallait qu’un exemple).
Le « pilier du pouvoir » c’est le Capital, autant dans ses épiciers de proximité que dans ses grands banquiers : c’est l’exploitation.
Le « pilier du pouvoir » c’est le patriarcat, autant dans ses abuseurs de proximité que dans ses Donald Trump : c’est la domination.
Voir les « piliers du pouvoir » dans le Président et les banquiers, les Palais d’Hiver et les 200 Familles, plutôt que comme un rapport social de domination et de reproduction (à tous les niveaux donc), voilà bien la carotte des néo-léninistes qui leur permet de justifier de dire une chose et de faire son contraire : non aux banques, oui aux épiceries et aux fabriques de pâtes, non à la Présidentielle, oui aux élections locales.
Quel spectacle pathétique… Le préposé de la préfecture aux réseaux sociaux doit bien rigoler… Quoique.
Indymedia Nantes nous offre en tout cas le jeu du « qui est le plus bête ? » :
– les politicar(nac) qui finissent par croire leurs amis de la grande presse : qu’ils auraient une position hégémonique dans un pseudo-mouvement (social). Mouvement qui, il est vrai, du fait de son néant idéologique a fini par reprendre sans cesse leurs slogans vides de tout (« le monde ou.. », « tout le monde »..).
– ou les cantinisateurs qui, vexés par l’échec répété de leurs assemblées confusionnistes et l’échec probable de leur nouveau réfectoire (à moins que les bureaux d’un pure player s’installent en face ! le communisme, stade ultime de la gentrification ?), s’en prennent courageusement par des tags (houla, ils mettent un doigt dans l’illégalisme) aux premiers.
La suite en tout cas est toute tracée, les premiers étoilant le local des second, etc. etc. etc.
Pendant ce temps les insus rigolent. Ah non pardon, ils sont trop occupé par leur discorde actuelle (« la jurisprudence anarchiste autorise-t-elle à revendiquer un dégonflage de pneu de vélib, ou est-ce une logique de petit propriétaire »).
Episode 10865 du Dallas totoïde. Mais si plus personne ne regarde il est peut être temps d’arrêter non ?
Vive la province !
D’ailleurs allez vous chamailler sur Paris-luttes plutôt, c’est plus logique non ? Ah, ils vous censurent. Ah, parce que ça n’a aucun intérêt. Mince.
Quelques rappels, vu qu’on se fait apostropher dans les commentaires (pour @biactol notamment) :
* « Indy Nantes » est pas l’auteur de cette contribution (donc on peut pas dire qu’Indy Nantes « en fait des articles »).
* La modération ne se fait pas vraiment en fonction de l’interêt ou non d’une contrib.
* En quoi cette contribution serait hors charte (ben oui, en vrai c’est d’après ça qu’on « choisit de s’en faire le relai ») ?
@momo en particulier : comment on peut être au courant qu’un « truc ne passe pas ailleurs », vu que justement, heu, il est pas passé ? Je te laisse à tes jugements sur la validité ou non d’une action.
Plus globalement (et personnellement), on ne va pas refuser systématiquement les articles sous le prétexte « d’embrouilles », quand ce qui pose problème visiblement (comme l’indiquent certains commentaires) c’est la possibilité ou non de l’expression publique de critiques, sous formes de tracts, affiches, tags, videos playmobil ou whatever.
Des personnes ou groupes publiques se prennent des critiques, ça arrive.
Mais comme chaque fois il faudrait sauver de la salissure la blanche image de je ne sais quel pseudo milieu ou courant politique, qui visiblement n’en est pas un, vu le nombre de « débats » ou divergences qu’il faudrait cacher sous le tapis. Ou n’avoir que dans on ne sait quel espace privé, qu’il semble devoir encore déterminer puisque finalement ça ressort publiquement quelque part…
Bref, je m’emporte, mais c’est toujours la même histoire.
« Messages sans aucun rapport avec le contenu du projet Indymedia »
En quoi ça n’a aucun rapport avec le contenu du projet ?
« Les messages diffamatoires (par exemple non-fondés et non argumentés) et insultants. »
Ces tags diffament tout le monde, parce que tout le monde ne déteste pas les gens ou groupes concernéEs ? Ça pourrait passer pour insultants, m’enfin franchement, on a vu pire et c’est aussi le panard pour refuser quoique ce soit sous ce prétexte. On pourrait plus publier grand chose…
A part des insinuations, il amenait rien à la discussion. Y’a de nouveau la liste de modé: indymedia.nantes_AT_boum.org pour les discussions sur la modération.
Je me permets d’intervenir ici, non pas pour discuter du « fond » de l’affaire (puisqu’il n’y en a pas en fait), mais du rôle qu’accepte de jouer Indymedia Nantes.
Indymedia Nantes continue de fonctionner sur un modèle d’open-publishing qui est le même depuis la création des premiers indymedia français au début des années 2000. Un modèle qui était déjà un peu en retard à l’époque (par rapport à ce qui se faisait aux USAs mais aussi en Angleterre ou en Italie – là où le mouvement altermondialiste était fort). Mais qui semblait malgré tout encore relativement avant-gardiste à l’époque : offrir un medium d’information ouvert aux contributions. L’équipe n’étant pas là pour rédiger et éditorialiser à destination d’un lectorat passif ; mais pour offrir une plateforme aux contributeurs (et la modérer vaguement ; et agréger les articles les plus en phase avec l’actualité locale en colonne centrale).
Surtout indymedia venait combler un besoin : celui d’une plateforme sur laquelle on pourrait retrouver toutes les informations produites par milieu militant et altermondialiste. Et alors qu’il n’existait pas vraiment de forums pour cela ; peu de blogs ; principalement des listes de discussion et des chans irc.
Face à l’indigence d’un certain nombre de contributions, certains indymedia français se sont fait au fil des années plus sélectifs/censeurs ; et leurs modérateurs ont accepté un rôle de proto-journalisme en investissant toujours plus les colonnes centrales (indymedia Lille, indymedia Grenoble). Sans jamais se faire rattraper par le col par le sacro-saint réseau indymedia (et ceux qui se mettaient en tête de vérifier que les différentes éditions locales respectaient la Charte).
Cette « dérive » a fini par déboucher sur des choses disons différentes, comme Rebellyon. C’est-à-dire ici encore une plateforme, mais aussi un collectif qui produit du contenu. Et une transigeance sur les grands principes de liberté d’expression (abandon de la modération a posteriori des commentaires ; sélection plus stricte des articles avec le début finalement d’une ligne éditoriale positive – « qu’est-ce qu’on veut sur notre site » – plutôt que négative – « qu’est-ce qui ne répond pas à la charte »).
En bref une adaptation à l’ère du temps : le nombre d’internautes a explosé, les espaces d’expression aussi (blogs, réseaux sociaux, espaces de commentaires sur les sites de grande presse – qui sont d’ailleurs au départ une copie exacte d’indymedia).
Indymedia Nantes s’accroche à un modèle d’il y a 15 ans ; modèle qui non seulement a fait exploser les indymedia français les uns après les autres, mais qui est complètement en décalage avec la réalité des internets aujourd’hui.
La plupart des media, plateformes, tout réseaux sociaux prennent en compte que dans le flux d’information il y a une bonne dose de merde et qu’ils sont donc responsables de ce qu’ils donnent à voir.
Arrêtez, pitié, de vous cacher derrière votre pseudo neutralité, derrière votre charte. Vous êtes responsable de ce qui est publié ici, et vous devez constater (à la « lecture » par exemple d’un article comme celui-ci) que c’est calamiteux.
Plutôt que d’être dans le déni (à croire qu’en validant ces trois photos de tag vous participeriez de « débats » ; à croire que ceux qui vous critiquent veulent empêcher des « divergences » d’apparaître sur internet), lisez et discutez un peu ce que les gens disent de vous.
« Ce qui pose problème visiblement c’est la possibilité ou non de l’expression publique de critiques » ; non, désolé, ce n’est pas ça qui pose problème…
Pas plus que la mauvaise qualité de votre « travail » (quand vous osez une phrase qui devrait faire bondir n’importe quel modérateur « ça pourrait passer pour insultant, m’enfin franchement, on a vu pire » ; ou quand un modérateur tente d’écoper : « A part des insinuations, ce commentaire [supprimé] amenait rien à la discussion » ).
Non le problème c’est la vacuité de votre modèle, et le fait que vous le défendiez envers et contre tout.
A quoi sert actuellement Indymedia Nantes ? A avoir des infos sur la zad ? (on les trouve, plus fraiches ailleurs). A avoir (eu) des infos sur le mouvement social à Nantes ? (on n’a pas besoin de rappeler le rôle des réseaux sociaux dans le dit mouvement…).
Alors à quoi ? A pouvoir publier librement (anonymement, sans nécessité d’inscription, sans modération a priori sur les commentaires)…
Et ça, quel intérêt majeur cela a pour les contributeurs ?
-Transgresser ouvertement la loi : permettre des revendications d’actions, etc. (mais d’autres sites servent spécifiquement à ça)
-Mais surtout troller.
Quand un modérateur dit « comment on peut être au courant qu’un « truc ne passe pas ailleurs », vu que justement, heu, il est pas passé ? », il fait preuve soit de naïveté, soit de déni. Tout le monde sait que la colonne « informations globales » d’Indymedia Nantes c’est l’endroit où l’on trouvera les contributions refusées ailleurs. C’est la backroom un peu glauque du milieu radical français. C’est l’espace que tout le monde en France dénigre mais que chacun regarde un peu de temps en temps par curiosité. C’est pratique : ça alimente les conversations de salon (pardon, de squat) : « t’as vu ya ces débiles de XX qui ont dit YY sur ZZ ».
Pour conclure, comme dirait M. le modo :
« * La modération ne se fait pas vraiment en fonction de l’interêt ou non d’une contrib. » Et c’est bien ça le problème… Avoir une ligne éditoriale (le libertarianisme des puristes de l’internet) tout en niant en avoir une, c’est au mieux, inconséquent, au pire pathétique.
La neutralité, ce n’est pas faire en fonction d’une charte politique, qui est tout sauf neutre.
Laisser un espace comme celui là, anonyme et où l’on peut, comme dit plus haut, trouver ce qu’il n’y a pas ailleurs, car censurés par les instances militantes du milieu ( paris-luttes, rebellyion, iaata) ou militantes des tendances ( chatnoir, dndf, non-fides,lundi.am) laisse passer de la merde oui. mais c’est le seul qui permet un certain anonymat (pour le milieu comme pour les flics) pour les textes de fond comme pour les revendications. De plus, il permet justement ce mélange, ou se cotoient des points de vus radicaux et radicalement opposés (lmsi vs totos), (anars vs appelistent) qui bien qu’ils ne « passionnent » que 7 personnes (et c’est ton chiffre, je dirait plutôt une centaine) sont tout de même, interessant, au moins pour se marrer. bref, 4chan version toto, c’est vraiment pas si mal, et sans indy, les revendication je veux bien ton plan ;)
Tu semble avoir passer un peu de temps à écrire ce commentaire.
Il recèle cependant un certain nombres d’incohérences et de mensonges sur le plan historique comme politique, ce qui amène à se questionner (intention, origine, pourquoi le faire sur cet article, ..?).
L’oposition de « modèle » « Indymedia » ou « Rebelyon » montre l’intention au fond de ranimer des vieux débats, et le parti pris binaire là dedans (ramenant la question de l’origine, c’est pas comme si cette posture était nouvelle). Dommage que ça passe en terme de concurrence, de « ligne éditoriale » ou ce genre de choses.
J’essaierais au moins de corriger quelques faits, et puis on verra si le collectif de modération a le temps de (ou trouve de l’intérêt à, surtout,) répondre. C’est en tout cas bien dommage que ceux (celui?) qui soulèvent ces questions ne le fasse que par ce genre de moyens sournois.
[EDIT : j’ai modifié ce commentaire ; ainsi vous n’userez pas de l’argumentaire fallacieux qu’il « dévoile trop de choses » ; choses qui sont en fait dites ailleurs sur votre site – et c’est bien ça le problème – comme je le mentionne]
Dans un article-frère de celui-ci, ainsi que dans des commentaires, un collectif est cité à demi-mots (« soupe », « cantinisateurs », etc.) comme étant à l’origine de ces tags (pour en rire ou le déplorer).
Problème :
– si c’est bien eux : le fameux « certain anonymat (pour le milieu comme pour les flics) » qu’IndyNantes/4chan-pour-toto est censé offrir est compromis. Voilà les auteurs des tags livrés à la vindicte, aux représailles, voire à la police (« dégradation de biens publics ») -> ce dernier point étant contraire à la charte
– si ce n’est pas eux : même chose, mais ils sont en plus victime de diffamataion -> contraire à la charte.
Insoluble ?
Si IndyNantes ne supprime rien, ils s’assoient sur leur fameuse charte. S’ils suppriment, ils prennent parti dans ce qu’ils appellent un « débat ».
Insoluble.
Question subsidiaire : si les susnommés sont victimes de représailles, IndyNantes se sentira-t-il responsable ?
De manière générale comprennent-ils vers quoi leur « outil de publication » est détourné ?
Du coup Indymedia Nantes serait accusé que probablement (pas en fait) des personnes se retrouvent inculpées parce que dans ton commentaire (caché, du coup) tu poukav que selon un autre commentaire c’est ce collectif qui serait l’auteur de quelques tags..? Waou… C’est à qui qu’on demande d’être sérieuxes (ou qui est ‘fallacieux ») ? T’as des choses à régler encore ou t’as fini ?
Tu ne comprends absolument rien. Ca explique beaucoup de choses sur la façon déplorable dont vous gérez votre site.
Non, si tu savais lire tu verrais que je ne « poukav » rien (soyons sérieux, je reprends ce qui est dit 8 commentaires au dessus). Je ne prétends pas non plus que des gens vont finir en prison.
Je montre juste l’incohérence de votre fonctionnement. Ce à quoi vous ne répondez pas, parce que vous méprisez vos lecteurs (ce qui explique aussi la piètre qualité de ce qu’on trouve ici). Et parce que vous vous foutez des conséquences des articles et commentaires que vous laissez passer (ben oui c’est virtuel, et puis ça parle d’une lointaine ville.)
Ah et tiens, tu n’as pas « démonté » tous les « incohérences » et « mensonges » concernant votre histoire et fonctionnement, comme tu l’annonçais avec bravade. Ben oui, en fait tu n’as rien à dire. Que du mépris et des petites provocations.
Logique qu’après tu ne te sentes responsable de rien.
[edit] Wow! Revenir après un chouette week-end sur la zad et tomber sur ce flot de commentaires décalés voire malhonêtes pour certains, c’est… wow !
Je ne doute pas que certain-e-s ont déjà leur loupe et leur machette en main. Du coup j’utilise volontairement et à outrance le JE – MOI – JE pour qu’il soit bien clair que ceci ne représente pas indymedia ni indymedia nantes mais une petite partie des diversités qui les composent, le seul socle étant la fameuse Charte et les P.O.U. dont elle découle. Des bases devenues tellement exigentes face aux déferlements de trolls et confusionistes que oui, beaucoup abandonnent ce terrain politique là, qui est de mettre à disposition des outils pour permettre à toute personne de publier et de n’intervenir qu’en validant, sans rien changer, ceci quelle que soit sa capacité à écrire, tant qu’elle est en recherche d’émancipation, soit en refusant parce que ça ne l’est pas.
Et puis, autre précision primordiale: NON JE NE VIENS PAS DE METTRE INDY EN OPPOSITION AVEC D’AUTRES CHOIX de formes d’outils, mais en COMPLEMENTARITE INDISPENSABLE. Inutile de tenter de jouer sur une concurence puérile : elle nous atteint et nous blesse ou nous énerve, oui, mais ne changera rien à notre détermination à continuer, au contraire. Et il est très grave de voir que quelques personnes (?) s’amusent à souhaiter la disparition / l’uniformisation d’outils de lutte.
Je viens par contre de nous mettre en opposition radicale à toutes les tendances qui consistent à se dire que se conformer aux obligations de twitter ou facebook ou d’une supposée « modernité » ce n’est pas grave, que c’est « indispensable » d’avoir des titres ou photos accrocheuses, bref d’utiliser ces fonctionnements mêmes qui nous asservissent, nous uniformisent…
J’ai une partie de responsabilité dans la validation [ce qui diffère d’une publication] de ces photos: c’est arrivé à un moment où nous étions, une fois encore, charette [indymedia n’est qu’une des multiples facettes de luttes auxquelles on participe] et j’ai pensé à les refuser juste pour une histoire de catégorie, en sentant bien que c’était aussi parce que je n’étais pas fan de ces tags. Nous avons, pour « coller à l’esprit du temps », créé une catégorie *MOBILE* qui permet de publier depuis un smartphone de manière sécurisée pour peu que la personne le soit de son côté. Ca permet de recevoir des publications courtes, en « direct des actions », avec une photo. Nous sommes en train de travailler à son amélioration. J’en profite ici pour questionner sur la pertinence politique d’un argument du style « vous êtes trop des has-been » et du coup, la validité d’outils papiers ou de journaux muraux puisque les foirums sembleraient être devenus une référence supérieure! Par ailleurs, il n’est vraiment pas certain que « coller » au ryrthme frénétique des infos actuellement fasse du bien à nos luttes…
Revenons à cette publication: effectivement ce n’est pas un article. Cependant, j’ai choisi de ne pas le refuser et laisser les autres modos le gérer parce qu’il contenait des tags qui mettaient tellement le doigt sur ce qui nous agite beaucoup trop ces derniers temps qu’il était peut-être possible d’en parler un peu politiquement par ce biais, parce que moi aussi je fuis ce débat.
Apparemment non.
Mais non, par contre, ce n’est pas hors-charte : il existe très peu d’espaces de critique politique possible, et tout courant ou individu qui est public, voire qui utilise des choses comme la publicité, est donc criticable. Nous n’intervenons que lorsqu’on arrive à un déséquilibre, à un harclèlement, à de la diffamation : nous en sommes très loin ici (ou alors vous n’avez rien suivi des centaines de déclinaisons sur le « tout le monde déteste… »)
Donc où en sommes-nous ?
– des personnes critiquent celleux qui sont présentés dans pas mal de milieux « faisant autorité » comme étant une sorte de nouveau parti, en tout cas le « modele » des luttes actuelles. J’espère que même ces « modeles » voient le problème que ça pose, cette forme de référence, d’enfermement, qui fait passer la célébrité pour de la nécessité, dans des luttes contre toute forme de domination… cf par exemple http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/16362-10.10.2016-ITEMA_21100252-0.mp3
– parler de puérilité sur la forme ou le fond de cette « critique taguée » est un peu de la mauvaise foi quand le moteur le plus utilisé par ces « modèles » est justement l’enfance, la fougue, le fait d’être incontrôlables, jeunes et déter… et encore plus de mauvaise fois quand certains font des textes justifiant sous une couche intellectualo-poétique des rappeurs sexistes ou homophobes, tout ça parce qu’une de leur punchline nous a juste fait rire sur un mur, et était plus probablement un détournement qu’un adoubement.
– en dehors de ça, du fait de reconnaitre que la célébrité et la promotion sont des soucis dans nos luttes, je n’entrerai pas plus dans la critique de tel ou tel mouvement. Je dois faire partie actuellement des très rares personnes à n’avoir pas lu « le petit livre insurectionaliste » et j’y tiens, tout comme je tiens au fait d’apprécier certains articles de lundi.am et d’en détester d’autres, tout comme je tiens à être parfois bousculée sur indymedia ou n’importe quel autre réseau qui choisi de ne pas parler d’une seule voix, tant que ça se fait avec respect et fondement politique… mais une fois de plus si un outil assoie une domination, là oui, j’interviens. Et la justification de slogans de manif en redonnant des « lettres de noblesse » à des laguages vecteurs de dominations sexistes, homophobes me pose bien plus probleme que 3 tags rageurs.
– ce qui me fout le plus la nausée sont les commentaires qui reviennent, encore une fois, gratter les croutes autour de l’anonymat et faire des apels à delation détournées en insistant bien dessus en mode « tout le monde sait » comme des appeaux à trolls ou flics… Non moi je ne sais pas et ce que je trouve dingue c’est de devoir se battre et gueuler pour ne pas tout savoir dans de telles luttes. Je veux dire que je me bats régulièrement pour ne pas connaitre les noms, l’histoire intime, la taille, le sexe, le compte facebook… je me bats pour qu’on me parle uniquement de la pensée politique de fond. Je viens d’ailleurs de retirer un commentaire qui utilise l’argument éculé du « y’avait des caméras donc les flics savent » qui sert toujours à une autre personne pour balancer en mode décomplexé. Et le réflexe « je balance parce que je me sens agressé-e », clairement, oui, à indy nantes, on ne supporte pas.
Au final, vu le peu de fond politique dans toutes les critiques qui semblent viser essentiellement indymedia (le long commentaire bourré de fausses infos sur notre fonctionnement est particulièrement révélateur) on va se retrouver dans une situation similaire à d’autres : devoir passer les commentaires en modération à priori parce que des personnes qui n’apprécient pas la liberté encore permise par ici s’appuient sur des trolls et des mensonges.
A moins que certain-e-s retrouvent le courage politique d’admettre que toute personnalité publique qui utilise son pouvoir est criticable, et que des sites sécurisés d’open publishing sont des aliés précieux dans des luttes contre des dominations, quand bien même tout ce qui est validé ne nous plait pas. Je ne suis pas ici, modérateurice d’indymedia, pour qu’il soit publié uniquement ce qui me plait, mais pour permettre à plusieurs mondes militants d’exister, et, j’aimerai bien, cohabiter.
J’avais essayé de décaler le débat (qui était inexistant autour de cet article, d’ailleurs) sur IndyNantes, sa modération, etc.
Après les commentaires condescendants d’un premier modérateur, voici un mélange détonnant de sujets qui n’ont quasiment rien à voir (Comme l’enfance, le rap français ! – deux fois). Et qui contient tellement de sous-texte qu’il en devient incompréhensible, en tout cas pour moi qui n’en détient pas la clé privée (mais …de qui, de quoi tu parles exactement ?)
Merci en tout cas d’avoir balayé à nouveau les critiques que j’avais émises : « peu de fond politique », « fausses infos » (ça change de « mensonges » et « incohérences »).
Mais pardon, c’est vrai qu’il avait été précisé que « le collectif de modération » n’aurait sûrement pas « le temps de (l’intérêt à, surtout,) répondre ».
Ca fait donc bien rigoler, de te lire plus loin parler de « domination ». Une des premières forme que prend la domination étant tout de même régulièrement le mépris. Il est, je ne sais pas ce que tu en penses, un petit peu dommage de mépriser ceux et celles qui lisent et contribuent à votre site. C’est le signe d’un isolement qui devient par ailleurs relativement inquiétant quand il prend des traits aussi paranoïaques (« s’il nous critique avec son long commentaire c’est qu’il est en fait plusieurs, et qu’il ment ouvertement, qu’il agit de manière sournoise afin en réalité non pas de nous critiquer nous, mais de chlumchlumchloum, etc. »).
Désolé de vous avoir fait perdre votre temps, je vais aller voir ailleurs. Je pense quand même que ce micro-échange n’aura pas été tout à fait sans intérêt, il a le mérite de mettre en évidence pour tous votre incapacité à vous remettre en question.
PS : moi non plus je n’aime pas trop le rap, mais je crois que ce n’est pas très grave, hein…
C’est un peu gros de te victimiser comme ayant été méprisé (mais on a l’habitude, c’est assez récurent dans nos échanges), quand de ton côté tu te pointe avec tes commentaires ou tu nous prend pour des branquignoles inconséquents parce qu’on fait pas tout comme tu dis, mets en opposition des projets qui n’ont pas à l’être, et décide unilatéralement que ce que tu appelle le modèle Indymedia (y’en a qui ont besoins de cases) est apparemment obsolète, mort, etc… Bien évidemment, tu t’imagines bien qu’avec autant de diplomatie de ta part pour décaler ce que t’essaye de faire passer pour une tentative de « débat », l’accueil ne peut être que chaleureux et courtois…
Effectivement on a un peu autre chose à faire qu’à relire une fois de plus les mêmes prétendus « arguments » péremptoires et performatifs. Une personne bien relou nous les a déjà serinné (en passant notamment par des mails privés de menaces et d’insultes), sans qu’on soit convaincu. Pas la peine de répéter, on a compris. Ce faux débat qui tente juste d’opposer des réseaux me (nous) fatigue. Mais bon, tu profite tellement de l’occasion que tu force la main…
Dire que si les gens ne sont pas d’accord avec toi c’est qu’ils ont pas compris, déjà, c’est un bon niveau de mépris : si je suis pas d’accord, c’est pas parce que je suis idiot, mais parce que j’ai un désaccord politique sur ta façon de décrire les choses. La moindre des choses serait de reconnaître que c’est une position politique, et pas juste une incompréhension.
Pour rappel, contrairement à ce que tu dis, sur ce site tu trouvera un certain nombre de textes sur la ZAD et les luttes du coin qui n’ont pas été publié ailleurs (y compris sur zad.nadir.org).
Pour ce qui est de ta description de l’histoire d’Indymedia and co, oui on peut soulever deux trois erreurs et incohérences (à moins que tu considère que ta parole soit Vérité) : d’abord ta description du glissement de certains Indy vers du proto-journalisme, on se demande d’ou ça sort… Ensuite Rebelyon est né un ou deux ans après Indy Nantes, du coup ta timeline est pas franchement correcte. A te lire Rebelyon serait né bien plus tard, longtemps après que des Indy « investissent la colonne centrale », en tirant les erreurs des indys, qui venaient pourtant tout juste de naitre. Ben en fait pas vraiment, ca s’est fait assez parallèlement, et même au début en bonne camaraderie. On a pas mal soutenu Rebelyon en leur filant des coups de main. Ensuite, il semblerait que l’ancien modèle Indymedia ait été remplacé par un nouveau. Passons sur le fait que ce nouveau modèle, qui en fait est de faire un journal militant (à part que c’est sur le Web), est sans doute encore plus ancien. Du coup c’est assez drôle que tu prétende que qu’on s’accroche à « un vieux modéle de 15 ans », quand celui que tu y oppose (et tu es bien le seul) est encore plus ancien…
C’est d’ailleurs marrant que tu cite l’Internet moderne comme étalon de ce que nous devrions faire. Jusqu’ici les révolutionnaires évitaient de se caler sur les méthodes des capitalistes. Mais certes, fait comme « la plupart des plateformes, médias… » si ça te chante. L’ironie est encore plus savoureuse quand on voit qu’une bonne partie des médias que tu cite utilise quelque chose d’assez proche de l’Open-publishing, pour amener du contenu.
C’est étonnant de réécrire un commentaire en supprimant des informations identifiantes, et nier ensuite avoir écrit ces informations… D’autant que cela montre que contrairement à ce que tu affirme, on fait attention à certaines choses sur ce site. Peut-être pas à toutes celles que tu souhaitent, mais on est pas obligé de marcher au pas, on peut appliquer en toute autonomie ce que collectivement on décide, merci.
Enfin, notons que ta démarche même d’utiliser les commentaires pour tenter de faire ta petite guerre perso entre en contradictions avec tes positions.
Ah, et puis les camarades anars qui participent aux logiciels libres et à l’Internet seront sans doute ravi d’apprendre qu’ils ne sont en fait que des libertariens…
Bon et puis ton rapport intime avec notre colonne globale ne regarde que toi. Si tu préfère n’y voire que ce qui te donne des sensations de « backroom », tant pis pour toi. Moi qui pensait que ta monomanie anti-indy était passée… Moi j’arrête là, tu me saoule avec tes manoeuvres à 2 balles.
Hé bien pour quelqu’un qui valide des « articles » afin qu’ils provoquent des « débats » et qui se bat (houlala) pour la « pensée politique de fond » (de fond de quoi ? on ne sait pas bien), tu as un peu du mal à participer toi-même à une discussion. Ou au moins à fabriquer un argumentaire.
C’est le syndrome todo list : « j’aime pas le rap, ça c’est dit », « j’aime pas les insurrectionalistes, ça c’est dit », etc. Ca ne forme pas vraiment un propos cohérent. Dommage.
Sinon tu t’emmèles dans les dates, c’est pas grave mais tu as beau utiliser un « on », tu prouves que tu ne sais pas de quoi tu parles.
Pas de soucis à participer à un débat, quand il y en a. Mélanger les commentaires et les déformer permet pas vraiment de répondre, on a pas vraiment affaire à un quelconque argumentaire… Bonne chance pour ta cabale !
Bon, je viens de lire cette accumulation incompréhensible de commentaires, de sous-entendus et de commentaires sur les commentaires.
Difficile de tout comprendre.
Par contre, l’attitude et les justifications des « modos » sont particulièrement pathétiques. Tout le monde en conviendra, publier ce genre d’article est misérable, n’amène pas le moindre débat et alimente juste une guéguerre entre la masse des appelistes et leurs trois courageux opposants.
S’il faut discuter de tout ce qui ne va pas dans l’appel et dans l’iqv (je mets de côté à nos amis qui est assez différent et en cela moins critiquable) faisons-le mais ce n’est pas en assumant ne jamais avoir lu les textes en question que l’on passera pour autre chose qu’un boloss rageux. Mais en lieu et place d’un débat, on a des crottes de nez (l’article et le tags) et des justifications creuses (les modos). Franchement pour moi, c’est vraiment significatif de la fin de cette belle idée que sont les indymedia. Si les gens ont préféré lancer des sites commes La Rotative, Rebellyion, Iaata, Lundimatin, PLI, etc. c’est précisément parce qu’indymedia, dans sa pseudo liberté ne libéré que le ressentiment, la mesquinerie et l’absence de débat. Après, on imagine bien que ce genre d’article fait des clicks et que cela rassure les modos, mais honnêtement, ces clicks ne justifient pas de faire de vous-même les monsieur pipi du minuscule mouvement toto.
Je trouve ces tags marrants, c’est une forme de critique et d’interpellation en acte et ça m’a permit de lire l’appel au grand banquet du 2 octobre dans lequel on parle « d’une autre manière de faire de la politique ». Ca m’a fait penser au Verts, à Corinne Lepage, François Bayrou et Ségolène Royal, la politique autrement… mais pas vraiment à quelque chose d’anti-électoral… pourtant juré il ne s’agit pas de construire un nouveau parti alors pourquoi parler comme des politicards ?
Ou c’est le « milieu » qui est (devenu) une poubelle. Le « milieu », on dirait que c’est comme une famille, ça a ses sombres secrets, ses tabous, qu’il ne faut surtout pas dévoiler au « grand public ». Il faut être propre si on veut gagner la guerre sociale contre les grands médias pour attirer le lecteur, et puis recruter.
Qu’Indy existe ou pas, ces tags ont bel et bien été fait. Ce genre de chose existaient bien avant Indy et existera après. Il vaut mieux prétendre que c’est le seul contenu dispo sur le site pour jeter l’outil avec l’eau du bain et regarder ailleurs. Ca permet de collectivement se déresponsabiliser c’est pratique.
Autant plutôt passer son temps à se plaindre qu’il n’y a pas de débat, ignorer tous les commentaires qui essayent d’y participer, et chercher la justification pour cacher cet article. C’est sûr que c’est comme ça que se genre d’articles arrêtera d’être publié quelque part.
Mdr « la masse des appelistes et leurs trois courageux opposants »
C’est comme la « masse des travailleurs » et son PC? Desolé… pas facile de prendre le reste de ce commentaire au serieux une fois qu’on a lu ca.
Parce que des critiques sur les apelistes (a raison ou pas), franchement ça fait un moment que j’en entend de ci de la de beaucoup de gens. Y’en a meme des brochures. Tiens on devrait demander à infokiosques.net de les retirer pour être coherent.
Hébé pour un message sans intérêt ça en fait des commentaires quand même ! le vrai problème d’Indymedia Nantes c’est que c’est le seul site connu et fréquenté où les anarchistes peuvent espérer s’exprimer sans être censuré.e.s, contrairement à Rebellyon par exemple, comme l’a dit qq’un plus haut. C’est ça qui est insupportable pour ces apprenti.e.s politicard.e.s.
A part ça, bien d’accord avec le message d' »A bas les chefs ».
Je viens de cacher le dernier commentaire, pas besoin d’être menaçant envers ce que t’appel les épiciers et de balancer comment paie qui et comment.
Y’a un surement un paquet d’autres bien limite dans ce flow (comment ça on aime pas le rap à IMC Naoned?) de commentaires qui mériteraient d’être invisibilisé.
Sur la validation de l’article, ça a déjà été commenté par mes compères. Ici on est plutôt pour que continue la possibilité de critiques, et apparemment on en prend une belle part dans la tronche aussi.
Juste merde quoi, c’est pas dure de comprendre qu’on a envie qu’il existe différents types d’automédias.
Et tant mieux que depuis paris-lutte y’en a un peu partout qui débarque, ça manquait vraiment dans certains coins et c’est vrai que c’est compliqué de monter un IMC (respect des POU notamment : https://nantes.indymedia.org/pages/principe-dunite-POU)
Ça empêche pas que certains considèrent nécessaire aussi que l’open publishing reste une possibilité; pour le débat aussi pourri soit-il malheureusement bien souvent que pour les possibilités qu’il offre pour des revendications d’actions.
Y’a aussi beaucoup d’infos, d’analyses qu’on retrouve effectivement sur d’autres sites mais aussi énormément d’autres qui n’ont été annoncé qu’ici. Y’en a pas beaucoup des sites avec plus de 10 ans d’archives sur les luttes sociales. Les références aux réseaux sociaux, c’est pas un argument valable pour souhaiter la disparition d’Indymedia Nantes.
Juste on essaie avec le temps qu’on a, et ce qu’on arrive à comprendre des embrouilles, que ce soit pas au détriment de personne mais que ça reste sur du fond politique. On y arrive sans doute pas toujours mais vraiment on essaie de le prendre en compte, comme on a pu le faire dernièrement avec la discordia et le retrait d’un communiqué.
En fait si y’en a qui veulent un peu mieux comprendre, y’a ce texte qui explique le contexte (et fout pas mal de beignes) : https://nantes.indymedia.org/articles/35849
C’est par rapport au banquet ? Le grand banquet du sabordage des élections présidentielles ? Mais c’est le PS qui a taggué ?
Encore un coup de la bande à insu(pportables)… mais dis-donc, vous auriez pu passer faire un p’tit coucou (c’est vous – on le sait) au lieu de jouer les grands ténébreux… mais timides.
de la conflictualité et de l’anonymat
C’est quoi le rapport avec le schmilblick ?
Ces tags tout le monde les a vu dimanche, et c’est bien une question politique, vos embrouilles de bac à sable on s’en fout et ça ne regarde que vous !
Les Tarnac/MILI/AFA Vs les totos de Montreuil, vous nous faites tous chier !!!!
Surtout, restons tous unis en vue de la prochaine campagne destituante qui exige tact et composition. Et puis gardons bien au chaud toute critique envers les porte-parole médiatiques de la pseudo-radicalité (ceux qui signent des tribunes dans Le Monde, Libé, sont interviewés sur France Intox, RTL, Vice news, etc.).
La famille, y a qu’ça d’vrai !
Dépêchez vous de sortir les embrouilles de milieu dnas les commentaires, moi je sors le pop-corn et la bouteille de Coca.
Hâte de lire les embrouilles bien au chaud dans mon canapé !
mot-clef : « actions directes »
Heu..
Vous êtes sérieux-ses Indymedia Nantes de relayer des trucs pareils ?
Votre ligne c’est donc celle-là : « ce qui ne passe pas ailleurs, hop c’est pour nous ! »
Sinon l' »action directe » qui consiste à tagger des chiottes pour après les prendre en photo pour après les publier sur internet, c’est quand même …….
Et si on commençait d’abord par ce qui est à portée de main en destituant les élus de proximité, comme par exemple les conseillers municipaux Benjamin Rosoux et Manon Glibert, élus à Tarnac de la plate-forme « une commune en commun » en 1994 ?
Deux rageux « anonymes » dont tout le monde sait qui ils sont tagguent les propos du premier ministre dans une arrière cour et indymedia en fait un « article » dans sa catégorie « global ». Que la fin d’un mouvement coïncide avec une éruption acnéique de ressentiment et de petite bile, c’est pas très étonnant. Qu’indymedia choisisse de s’en faire le relai c’est par contre assez navrant. Quand on voit le nombre d’articles aberrants sur des « embrouilles » qui intéressent à peu près 7 personnes en France, on se dit que continuer à les publier c’est encourager tout cela et décrédibiliser un peu plus à chaque fois le rôle d’indymedia. Il serait peut être temps d’ajouter une rubrique « chiotte » en dessous de local et global afin de laisser les 3 personnes que ça amuse poster librement tout en permettant aux autres de ne pas être pollué par la bêtise et la misère militante.
je suis d’accord avec « action plus directe », il faut zigouiller les élus locaux des petites communes, en vérité ce sont eux les véritables pilliers du pouvoir !
Et il en est de même du capitalisme ! ne me parlez pas des banques… Vous vous leurrez. Moi, j’ai commencé. L’autre jour un connard de boulanger a voulu me racketter 50cts pour une baguette, je lui ai envoyé un pain dans la gueule ça lui appendra. Suppot du capital, qui essaye de se faire de l’argent avec l’estomac des pauvres.
« action plus directe » tu as l’air d’être un pur toi aussi, je propose qu’on s’allie, on sera deux, on pourra ptet aller faire des tags !
Et on aura raison, à l’inverse de tous ces cons qui croient encore aux mouvement sociaux. Ou pire à la zad. Hahaha.
destituer les élu-e-s locaux, comme par exemple les conseillers municipaux « longo mai » de Limans ou d’ailleurs …
En Bretagne, à Rezé ou Bougenais (ou ailleurs) : les soit-disant-e-s libertaires qui se présentent aux élections : Hypocrisie !
Le « pilier du pouvoir » c’est l’Etat, autant dans ses élus de proximité que dans le Président : c’est l’autorité et le monopole légal de la violence (un « petit » maire dispose comme le préfet d’un pouvoir de police, ce qui lui permet de prononcer des « hospitalisations d’office », soit des internements psychiatriques forcés, s’il ne fallait qu’un exemple).
Le « pilier du pouvoir » c’est le Capital, autant dans ses épiciers de proximité que dans ses grands banquiers : c’est l’exploitation.
Le « pilier du pouvoir » c’est le patriarcat, autant dans ses abuseurs de proximité que dans ses Donald Trump : c’est la domination.
Voir les « piliers du pouvoir » dans le Président et les banquiers, les Palais d’Hiver et les 200 Familles, plutôt que comme un rapport social de domination et de reproduction (à tous les niveaux donc), voilà bien la carotte des néo-léninistes qui leur permet de justifier de dire une chose et de faire son contraire : non aux banques, oui aux épiceries et aux fabriques de pâtes, non à la Présidentielle, oui aux élections locales.
Que se vayan todos !
Quel spectacle pathétique… Le préposé de la préfecture aux réseaux sociaux doit bien rigoler… Quoique.
Indymedia Nantes nous offre en tout cas le jeu du « qui est le plus bête ? » :
– les politicar(nac) qui finissent par croire leurs amis de la grande presse : qu’ils auraient une position hégémonique dans un pseudo-mouvement (social). Mouvement qui, il est vrai, du fait de son néant idéologique a fini par reprendre sans cesse leurs slogans vides de tout (« le monde ou.. », « tout le monde »..).
– ou les cantinisateurs qui, vexés par l’échec répété de leurs assemblées confusionnistes et l’échec probable de leur nouveau réfectoire (à moins que les bureaux d’un pure player s’installent en face ! le communisme, stade ultime de la gentrification ?), s’en prennent courageusement par des tags (houla, ils mettent un doigt dans l’illégalisme) aux premiers.
La suite en tout cas est toute tracée, les premiers étoilant le local des second, etc. etc. etc.
Pendant ce temps les insus rigolent. Ah non pardon, ils sont trop occupé par leur discorde actuelle (« la jurisprudence anarchiste autorise-t-elle à revendiquer un dégonflage de pneu de vélib, ou est-ce une logique de petit propriétaire »).
Episode 10865 du Dallas totoïde. Mais si plus personne ne regarde il est peut être temps d’arrêter non ?
Vive la province !
D’ailleurs allez vous chamailler sur Paris-luttes plutôt, c’est plus logique non ? Ah, ils vous censurent. Ah, parce que ça n’a aucun intérêt. Mince.
moi j’regarde serena,et j’me régale de ton commentaire ;)
Quelques rappels, vu qu’on se fait apostropher dans les commentaires (pour @biactol notamment) :
* « Indy Nantes » est pas l’auteur de cette contribution (donc on peut pas dire qu’Indy Nantes « en fait des articles »).
* La modération ne se fait pas vraiment en fonction de l’interêt ou non d’une contrib.
* En quoi cette contribution serait hors charte (ben oui, en vrai c’est d’après ça qu’on « choisit de s’en faire le relai ») ?
@momo en particulier : comment on peut être au courant qu’un « truc ne passe pas ailleurs », vu que justement, heu, il est pas passé ? Je te laisse à tes jugements sur la validité ou non d’une action.
Plus globalement (et personnellement), on ne va pas refuser systématiquement les articles sous le prétexte « d’embrouilles », quand ce qui pose problème visiblement (comme l’indiquent certains commentaires) c’est la possibilité ou non de l’expression publique de critiques, sous formes de tracts, affiches, tags, videos playmobil ou whatever.
Des personnes ou groupes publiques se prennent des critiques, ça arrive.
Mais comme chaque fois il faudrait sauver de la salissure la blanche image de je ne sais quel pseudo milieu ou courant politique, qui visiblement n’en est pas un, vu le nombre de « débats » ou divergences qu’il faudrait cacher sous le tapis. Ou n’avoir que dans on ne sait quel espace privé, qu’il semble devoir encore déterminer puisque finalement ça ressort publiquement quelque part…
Bref, je m’emporte, mais c’est toujours la même histoire.
« Messages sans aucun rapport avec le contenu du projet Indymedia »
« Les messages diffamatoires (par exemple non-fondés et non argumentés) et insultants. »
« Messages sans aucun rapport avec le contenu du projet Indymedia »
En quoi ça n’a aucun rapport avec le contenu du projet ?
« Les messages diffamatoires (par exemple non-fondés et non argumentés) et insultants. »
Ces tags diffament tout le monde, parce que tout le monde ne déteste pas les gens ou groupes concernéEs ? Ça pourrait passer pour insultants, m’enfin franchement, on a vu pire et c’est aussi le panard pour refuser quoique ce soit sous ce prétexte. On pourrait plus publier grand chose…
A part des insinuations, il amenait rien à la discussion. Y’a de nouveau la liste de modé: indymedia.nantes_AT_boum.org pour les discussions sur la modération.
Hop encore un autre, pareil…
Je me permets d’intervenir ici, non pas pour discuter du « fond » de l’affaire (puisqu’il n’y en a pas en fait), mais du rôle qu’accepte de jouer Indymedia Nantes.
Indymedia Nantes continue de fonctionner sur un modèle d’open-publishing qui est le même depuis la création des premiers indymedia français au début des années 2000. Un modèle qui était déjà un peu en retard à l’époque (par rapport à ce qui se faisait aux USAs mais aussi en Angleterre ou en Italie – là où le mouvement altermondialiste était fort). Mais qui semblait malgré tout encore relativement avant-gardiste à l’époque : offrir un medium d’information ouvert aux contributions. L’équipe n’étant pas là pour rédiger et éditorialiser à destination d’un lectorat passif ; mais pour offrir une plateforme aux contributeurs (et la modérer vaguement ; et agréger les articles les plus en phase avec l’actualité locale en colonne centrale).
Surtout indymedia venait combler un besoin : celui d’une plateforme sur laquelle on pourrait retrouver toutes les informations produites par milieu militant et altermondialiste. Et alors qu’il n’existait pas vraiment de forums pour cela ; peu de blogs ; principalement des listes de discussion et des chans irc.
Face à l’indigence d’un certain nombre de contributions, certains indymedia français se sont fait au fil des années plus sélectifs/censeurs ; et leurs modérateurs ont accepté un rôle de proto-journalisme en investissant toujours plus les colonnes centrales (indymedia Lille, indymedia Grenoble). Sans jamais se faire rattraper par le col par le sacro-saint réseau indymedia (et ceux qui se mettaient en tête de vérifier que les différentes éditions locales respectaient la Charte).
Cette « dérive » a fini par déboucher sur des choses disons différentes, comme Rebellyon. C’est-à-dire ici encore une plateforme, mais aussi un collectif qui produit du contenu. Et une transigeance sur les grands principes de liberté d’expression (abandon de la modération a posteriori des commentaires ; sélection plus stricte des articles avec le début finalement d’une ligne éditoriale positive – « qu’est-ce qu’on veut sur notre site » – plutôt que négative – « qu’est-ce qui ne répond pas à la charte »).
En bref une adaptation à l’ère du temps : le nombre d’internautes a explosé, les espaces d’expression aussi (blogs, réseaux sociaux, espaces de commentaires sur les sites de grande presse – qui sont d’ailleurs au départ une copie exacte d’indymedia).
Indymedia Nantes s’accroche à un modèle d’il y a 15 ans ; modèle qui non seulement a fait exploser les indymedia français les uns après les autres, mais qui est complètement en décalage avec la réalité des internets aujourd’hui.
La plupart des media, plateformes, tout réseaux sociaux prennent en compte que dans le flux d’information il y a une bonne dose de merde et qu’ils sont donc responsables de ce qu’ils donnent à voir.
Arrêtez, pitié, de vous cacher derrière votre pseudo neutralité, derrière votre charte. Vous êtes responsable de ce qui est publié ici, et vous devez constater (à la « lecture » par exemple d’un article comme celui-ci) que c’est calamiteux.
Plutôt que d’être dans le déni (à croire qu’en validant ces trois photos de tag vous participeriez de « débats » ; à croire que ceux qui vous critiquent veulent empêcher des « divergences » d’apparaître sur internet), lisez et discutez un peu ce que les gens disent de vous.
« Ce qui pose problème visiblement c’est la possibilité ou non de l’expression publique de critiques » ; non, désolé, ce n’est pas ça qui pose problème…
Pas plus que la mauvaise qualité de votre « travail » (quand vous osez une phrase qui devrait faire bondir n’importe quel modérateur « ça pourrait passer pour insultant, m’enfin franchement, on a vu pire » ; ou quand un modérateur tente d’écoper : « A part des insinuations, ce commentaire [supprimé] amenait rien à la discussion » ).
Non le problème c’est la vacuité de votre modèle, et le fait que vous le défendiez envers et contre tout.
A quoi sert actuellement Indymedia Nantes ? A avoir des infos sur la zad ? (on les trouve, plus fraiches ailleurs). A avoir (eu) des infos sur le mouvement social à Nantes ? (on n’a pas besoin de rappeler le rôle des réseaux sociaux dans le dit mouvement…).
Alors à quoi ? A pouvoir publier librement (anonymement, sans nécessité d’inscription, sans modération a priori sur les commentaires)…
Et ça, quel intérêt majeur cela a pour les contributeurs ?
-Transgresser ouvertement la loi : permettre des revendications d’actions, etc. (mais d’autres sites servent spécifiquement à ça)
-Mais surtout troller.
Quand un modérateur dit « comment on peut être au courant qu’un « truc ne passe pas ailleurs », vu que justement, heu, il est pas passé ? », il fait preuve soit de naïveté, soit de déni. Tout le monde sait que la colonne « informations globales » d’Indymedia Nantes c’est l’endroit où l’on trouvera les contributions refusées ailleurs. C’est la backroom un peu glauque du milieu radical français. C’est l’espace que tout le monde en France dénigre mais que chacun regarde un peu de temps en temps par curiosité. C’est pratique : ça alimente les conversations de salon (pardon, de squat) : « t’as vu ya ces débiles de XX qui ont dit YY sur ZZ ».
Pour conclure, comme dirait M. le modo :
« * La modération ne se fait pas vraiment en fonction de l’interêt ou non d’une contrib. » Et c’est bien ça le problème… Avoir une ligne éditoriale (le libertarianisme des puristes de l’internet) tout en niant en avoir une, c’est au mieux, inconséquent, au pire pathétique.
Vu que le débat devient interessant.
La neutralité, ce n’est pas faire en fonction d’une charte politique, qui est tout sauf neutre.
Laisser un espace comme celui là, anonyme et où l’on peut, comme dit plus haut, trouver ce qu’il n’y a pas ailleurs, car censurés par les instances militantes du milieu ( paris-luttes, rebellyion, iaata) ou militantes des tendances ( chatnoir, dndf, non-fides,lundi.am) laisse passer de la merde oui. mais c’est le seul qui permet un certain anonymat (pour le milieu comme pour les flics) pour les textes de fond comme pour les revendications. De plus, il permet justement ce mélange, ou se cotoient des points de vus radicaux et radicalement opposés (lmsi vs totos), (anars vs appelistent) qui bien qu’ils ne « passionnent » que 7 personnes (et c’est ton chiffre, je dirait plutôt une centaine) sont tout de même, interessant, au moins pour se marrer. bref, 4chan version toto, c’est vraiment pas si mal, et sans indy, les revendication je veux bien ton plan ;)
Tu semble avoir passer un peu de temps à écrire ce commentaire.
Il recèle cependant un certain nombres d’incohérences et de mensonges sur le plan historique comme politique, ce qui amène à se questionner (intention, origine, pourquoi le faire sur cet article, ..?).
L’oposition de « modèle » « Indymedia » ou « Rebelyon » montre l’intention au fond de ranimer des vieux débats, et le parti pris binaire là dedans (ramenant la question de l’origine, c’est pas comme si cette posture était nouvelle). Dommage que ça passe en terme de concurrence, de « ligne éditoriale » ou ce genre de choses.
J’essaierais au moins de corriger quelques faits, et puis on verra si le collectif de modération a le temps de (ou trouve de l’intérêt à, surtout,) répondre. C’est en tout cas bien dommage que ceux (celui?) qui soulèvent ces questions ne le fasse que par ce genre de moyens sournois.
Un commentaire dévoilant un peu trop de choses (traduisant les demi mots) a été caché.
Indymedia Nantes n’est pas responsable de la politique de sécuriré d’un ou de mouvement(s), qu’on se le rapelle.
Dans tous les cas, les insinuations dans des commentaires d’indymedia n’ont jusqu’ici jamais amener à des condamnations. On se détend…
Un autre commentaire n’apportant peu de chose à part ses problèmes intestinaux a été caché.
[EDIT : j’ai modifié ce commentaire ; ainsi vous n’userez pas de l’argumentaire fallacieux qu’il « dévoile trop de choses » ; choses qui sont en fait dites ailleurs sur votre site – et c’est bien ça le problème – comme je le mentionne]
Dans un article-frère de celui-ci, ainsi que dans des commentaires, un collectif est cité à demi-mots (« soupe », « cantinisateurs », etc.) comme étant à l’origine de ces tags (pour en rire ou le déplorer).
Problème :
– si c’est bien eux : le fameux « certain anonymat (pour le milieu comme pour les flics) » qu’IndyNantes/4chan-pour-toto est censé offrir est compromis. Voilà les auteurs des tags livrés à la vindicte, aux représailles, voire à la police (« dégradation de biens publics ») -> ce dernier point étant contraire à la charte
– si ce n’est pas eux : même chose, mais ils sont en plus victime de diffamataion -> contraire à la charte.
Insoluble ?
Si IndyNantes ne supprime rien, ils s’assoient sur leur fameuse charte. S’ils suppriment, ils prennent parti dans ce qu’ils appellent un « débat ».
Insoluble.
Question subsidiaire : si les susnommés sont victimes de représailles, IndyNantes se sentira-t-il responsable ?
De manière générale comprennent-ils vers quoi leur « outil de publication » est détourné ?
Du coup Indymedia Nantes serait accusé que probablement (pas en fait) des personnes se retrouvent inculpées parce que dans ton commentaire (caché, du coup) tu poukav que selon un autre commentaire c’est ce collectif qui serait l’auteur de quelques tags..? Waou… C’est à qui qu’on demande d’être sérieuxes (ou qui est ‘fallacieux ») ? T’as des choses à régler encore ou t’as fini ?
Tu ne comprends absolument rien. Ca explique beaucoup de choses sur la façon déplorable dont vous gérez votre site.
Non, si tu savais lire tu verrais que je ne « poukav » rien (soyons sérieux, je reprends ce qui est dit 8 commentaires au dessus). Je ne prétends pas non plus que des gens vont finir en prison.
Je montre juste l’incohérence de votre fonctionnement. Ce à quoi vous ne répondez pas, parce que vous méprisez vos lecteurs (ce qui explique aussi la piètre qualité de ce qu’on trouve ici). Et parce que vous vous foutez des conséquences des articles et commentaires que vous laissez passer (ben oui c’est virtuel, et puis ça parle d’une lointaine ville.)
Ah et tiens, tu n’as pas « démonté » tous les « incohérences » et « mensonges » concernant votre histoire et fonctionnement, comme tu l’annonçais avec bravade. Ben oui, en fait tu n’as rien à dire. Que du mépris et des petites provocations.
Logique qu’après tu ne te sentes responsable de rien.
[edit] Wow! Revenir après un chouette week-end sur la zad et tomber sur ce flot de commentaires décalés voire malhonêtes pour certains, c’est… wow !
Je ne doute pas que certain-e-s ont déjà leur loupe et leur machette en main. Du coup j’utilise volontairement et à outrance le JE – MOI – JE pour qu’il soit bien clair que ceci ne représente pas indymedia ni indymedia nantes mais une petite partie des diversités qui les composent, le seul socle étant la fameuse Charte et les P.O.U. dont elle découle. Des bases devenues tellement exigentes face aux déferlements de trolls et confusionistes que oui, beaucoup abandonnent ce terrain politique là, qui est de mettre à disposition des outils pour permettre à toute personne de publier et de n’intervenir qu’en validant, sans rien changer, ceci quelle que soit sa capacité à écrire, tant qu’elle est en recherche d’émancipation, soit en refusant parce que ça ne l’est pas.
Et puis, autre précision primordiale: NON JE NE VIENS PAS DE METTRE INDY EN OPPOSITION AVEC D’AUTRES CHOIX de formes d’outils, mais en COMPLEMENTARITE INDISPENSABLE. Inutile de tenter de jouer sur une concurence puérile : elle nous atteint et nous blesse ou nous énerve, oui, mais ne changera rien à notre détermination à continuer, au contraire. Et il est très grave de voir que quelques personnes (?) s’amusent à souhaiter la disparition / l’uniformisation d’outils de lutte.
Je viens par contre de nous mettre en opposition radicale à toutes les tendances qui consistent à se dire que se conformer aux obligations de twitter ou facebook ou d’une supposée « modernité » ce n’est pas grave, que c’est « indispensable » d’avoir des titres ou photos accrocheuses, bref d’utiliser ces fonctionnements mêmes qui nous asservissent, nous uniformisent…
J’ai une partie de responsabilité dans la validation [ce qui diffère d’une publication] de ces photos: c’est arrivé à un moment où nous étions, une fois encore, charette [indymedia n’est qu’une des multiples facettes de luttes auxquelles on participe] et j’ai pensé à les refuser juste pour une histoire de catégorie, en sentant bien que c’était aussi parce que je n’étais pas fan de ces tags. Nous avons, pour « coller à l’esprit du temps », créé une catégorie *MOBILE* qui permet de publier depuis un smartphone de manière sécurisée pour peu que la personne le soit de son côté. Ca permet de recevoir des publications courtes, en « direct des actions », avec une photo. Nous sommes en train de travailler à son amélioration. J’en profite ici pour questionner sur la pertinence politique d’un argument du style « vous êtes trop des has-been » et du coup, la validité d’outils papiers ou de journaux muraux puisque les foirums sembleraient être devenus une référence supérieure! Par ailleurs, il n’est vraiment pas certain que « coller » au ryrthme frénétique des infos actuellement fasse du bien à nos luttes…
Revenons à cette publication: effectivement ce n’est pas un article. Cependant, j’ai choisi de ne pas le refuser et laisser les autres modos le gérer parce qu’il contenait des tags qui mettaient tellement le doigt sur ce qui nous agite beaucoup trop ces derniers temps qu’il était peut-être possible d’en parler un peu politiquement par ce biais, parce que moi aussi je fuis ce débat.
Apparemment non.
Mais non, par contre, ce n’est pas hors-charte : il existe très peu d’espaces de critique politique possible, et tout courant ou individu qui est public, voire qui utilise des choses comme la publicité, est donc criticable. Nous n’intervenons que lorsqu’on arrive à un déséquilibre, à un harclèlement, à de la diffamation : nous en sommes très loin ici (ou alors vous n’avez rien suivi des centaines de déclinaisons sur le « tout le monde déteste… »)
Donc où en sommes-nous ?
– des personnes critiquent celleux qui sont présentés dans pas mal de milieux « faisant autorité » comme étant une sorte de nouveau parti, en tout cas le « modele » des luttes actuelles. J’espère que même ces « modeles » voient le problème que ça pose, cette forme de référence, d’enfermement, qui fait passer la célébrité pour de la nécessité, dans des luttes contre toute forme de domination… cf par exemple http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/16362-10.10.2016-ITEMA_21100252-0.mp3
– parler de puérilité sur la forme ou le fond de cette « critique taguée » est un peu de la mauvaise foi quand le moteur le plus utilisé par ces « modèles » est justement l’enfance, la fougue, le fait d’être incontrôlables, jeunes et déter… et encore plus de mauvaise fois quand certains font des textes justifiant sous une couche intellectualo-poétique des rappeurs sexistes ou homophobes, tout ça parce qu’une de leur punchline nous a juste fait rire sur un mur, et était plus probablement un détournement qu’un adoubement.
– en dehors de ça, du fait de reconnaitre que la célébrité et la promotion sont des soucis dans nos luttes, je n’entrerai pas plus dans la critique de tel ou tel mouvement. Je dois faire partie actuellement des très rares personnes à n’avoir pas lu « le petit livre insurectionaliste » et j’y tiens, tout comme je tiens au fait d’apprécier certains articles de lundi.am et d’en détester d’autres, tout comme je tiens à être parfois bousculée sur indymedia ou n’importe quel autre réseau qui choisi de ne pas parler d’une seule voix, tant que ça se fait avec respect et fondement politique… mais une fois de plus si un outil assoie une domination, là oui, j’interviens. Et la justification de slogans de manif en redonnant des « lettres de noblesse » à des laguages vecteurs de dominations sexistes, homophobes me pose bien plus probleme que 3 tags rageurs.
– ce qui me fout le plus la nausée sont les commentaires qui reviennent, encore une fois, gratter les croutes autour de l’anonymat et faire des apels à delation détournées en insistant bien dessus en mode « tout le monde sait » comme des appeaux à trolls ou flics… Non moi je ne sais pas et ce que je trouve dingue c’est de devoir se battre et gueuler pour ne pas tout savoir dans de telles luttes. Je veux dire que je me bats régulièrement pour ne pas connaitre les noms, l’histoire intime, la taille, le sexe, le compte facebook… je me bats pour qu’on me parle uniquement de la pensée politique de fond. Je viens d’ailleurs de retirer un commentaire qui utilise l’argument éculé du « y’avait des caméras donc les flics savent » qui sert toujours à une autre personne pour balancer en mode décomplexé. Et le réflexe « je balance parce que je me sens agressé-e », clairement, oui, à indy nantes, on ne supporte pas.
Au final, vu le peu de fond politique dans toutes les critiques qui semblent viser essentiellement indymedia (le long commentaire bourré de fausses infos sur notre fonctionnement est particulièrement révélateur) on va se retrouver dans une situation similaire à d’autres : devoir passer les commentaires en modération à priori parce que des personnes qui n’apprécient pas la liberté encore permise par ici s’appuient sur des trolls et des mensonges.
A moins que certain-e-s retrouvent le courage politique d’admettre que toute personnalité publique qui utilise son pouvoir est criticable, et que des sites sécurisés d’open publishing sont des aliés précieux dans des luttes contre des dominations, quand bien même tout ce qui est validé ne nous plait pas. Je ne suis pas ici, modérateurice d’indymedia, pour qu’il soit publié uniquement ce qui me plait, mais pour permettre à plusieurs mondes militants d’exister, et, j’aimerai bien, cohabiter.
J’avais essayé de décaler le débat (qui était inexistant autour de cet article, d’ailleurs) sur IndyNantes, sa modération, etc.
Après les commentaires condescendants d’un premier modérateur, voici un mélange détonnant de sujets qui n’ont quasiment rien à voir (Comme l’enfance, le rap français ! – deux fois). Et qui contient tellement de sous-texte qu’il en devient incompréhensible, en tout cas pour moi qui n’en détient pas la clé privée (mais …de qui, de quoi tu parles exactement ?)
Merci en tout cas d’avoir balayé à nouveau les critiques que j’avais émises : « peu de fond politique », « fausses infos » (ça change de « mensonges » et « incohérences »).
Mais pardon, c’est vrai qu’il avait été précisé que « le collectif de modération » n’aurait sûrement pas « le temps de (l’intérêt à, surtout,) répondre ».
Ca fait donc bien rigoler, de te lire plus loin parler de « domination ». Une des premières forme que prend la domination étant tout de même régulièrement le mépris. Il est, je ne sais pas ce que tu en penses, un petit peu dommage de mépriser ceux et celles qui lisent et contribuent à votre site. C’est le signe d’un isolement qui devient par ailleurs relativement inquiétant quand il prend des traits aussi paranoïaques (« s’il nous critique avec son long commentaire c’est qu’il est en fait plusieurs, et qu’il ment ouvertement, qu’il agit de manière sournoise afin en réalité non pas de nous critiquer nous, mais de chlumchlumchloum, etc. »).
Désolé de vous avoir fait perdre votre temps, je vais aller voir ailleurs. Je pense quand même que ce micro-échange n’aura pas été tout à fait sans intérêt, il a le mérite de mettre en évidence pour tous votre incapacité à vous remettre en question.
PS : moi non plus je n’aime pas trop le rap, mais je crois que ce n’est pas très grave, hein…
C’est un peu gros de te victimiser comme ayant été méprisé (mais on a l’habitude, c’est assez récurent dans nos échanges), quand de ton côté tu te pointe avec tes commentaires ou tu nous prend pour des branquignoles inconséquents parce qu’on fait pas tout comme tu dis, mets en opposition des projets qui n’ont pas à l’être, et décide unilatéralement que ce que tu appelle le modèle Indymedia (y’en a qui ont besoins de cases) est apparemment obsolète, mort, etc… Bien évidemment, tu t’imagines bien qu’avec autant de diplomatie de ta part pour décaler ce que t’essaye de faire passer pour une tentative de « débat », l’accueil ne peut être que chaleureux et courtois…
Effectivement on a un peu autre chose à faire qu’à relire une fois de plus les mêmes prétendus « arguments » péremptoires et performatifs. Une personne bien relou nous les a déjà serinné (en passant notamment par des mails privés de menaces et d’insultes), sans qu’on soit convaincu. Pas la peine de répéter, on a compris. Ce faux débat qui tente juste d’opposer des réseaux me (nous) fatigue. Mais bon, tu profite tellement de l’occasion que tu force la main…
Dire que si les gens ne sont pas d’accord avec toi c’est qu’ils ont pas compris, déjà, c’est un bon niveau de mépris : si je suis pas d’accord, c’est pas parce que je suis idiot, mais parce que j’ai un désaccord politique sur ta façon de décrire les choses. La moindre des choses serait de reconnaître que c’est une position politique, et pas juste une incompréhension.
Pour rappel, contrairement à ce que tu dis, sur ce site tu trouvera un certain nombre de textes sur la ZAD et les luttes du coin qui n’ont pas été publié ailleurs (y compris sur zad.nadir.org).
Pour ce qui est de ta description de l’histoire d’Indymedia and co, oui on peut soulever deux trois erreurs et incohérences (à moins que tu considère que ta parole soit Vérité) : d’abord ta description du glissement de certains Indy vers du proto-journalisme, on se demande d’ou ça sort… Ensuite Rebelyon est né un ou deux ans après Indy Nantes, du coup ta timeline est pas franchement correcte. A te lire Rebelyon serait né bien plus tard, longtemps après que des Indy « investissent la colonne centrale », en tirant les erreurs des indys, qui venaient pourtant tout juste de naitre. Ben en fait pas vraiment, ca s’est fait assez parallèlement, et même au début en bonne camaraderie. On a pas mal soutenu Rebelyon en leur filant des coups de main. Ensuite, il semblerait que l’ancien modèle Indymedia ait été remplacé par un nouveau. Passons sur le fait que ce nouveau modèle, qui en fait est de faire un journal militant (à part que c’est sur le Web), est sans doute encore plus ancien. Du coup c’est assez drôle que tu prétende que qu’on s’accroche à « un vieux modéle de 15 ans », quand celui que tu y oppose (et tu es bien le seul) est encore plus ancien…
C’est d’ailleurs marrant que tu cite l’Internet moderne comme étalon de ce que nous devrions faire. Jusqu’ici les révolutionnaires évitaient de se caler sur les méthodes des capitalistes. Mais certes, fait comme « la plupart des plateformes, médias… » si ça te chante. L’ironie est encore plus savoureuse quand on voit qu’une bonne partie des médias que tu cite utilise quelque chose d’assez proche de l’Open-publishing, pour amener du contenu.
C’est étonnant de réécrire un commentaire en supprimant des informations identifiantes, et nier ensuite avoir écrit ces informations… D’autant que cela montre que contrairement à ce que tu affirme, on fait attention à certaines choses sur ce site. Peut-être pas à toutes celles que tu souhaitent, mais on est pas obligé de marcher au pas, on peut appliquer en toute autonomie ce que collectivement on décide, merci.
Enfin, notons que ta démarche même d’utiliser les commentaires pour tenter de faire ta petite guerre perso entre en contradictions avec tes positions.
Ah, et puis les camarades anars qui participent aux logiciels libres et à l’Internet seront sans doute ravi d’apprendre qu’ils ne sont en fait que des libertariens…
Bon et puis ton rapport intime avec notre colonne globale ne regarde que toi. Si tu préfère n’y voire que ce qui te donne des sensations de « backroom », tant pis pour toi. Moi qui pensait que ta monomanie anti-indy était passée… Moi j’arrête là, tu me saoule avec tes manoeuvres à 2 balles.
Hé bien pour quelqu’un qui valide des « articles » afin qu’ils provoquent des « débats » et qui se bat (houlala) pour la « pensée politique de fond » (de fond de quoi ? on ne sait pas bien), tu as un peu du mal à participer toi-même à une discussion. Ou au moins à fabriquer un argumentaire.
C’est le syndrome todo list : « j’aime pas le rap, ça c’est dit », « j’aime pas les insurrectionalistes, ça c’est dit », etc. Ca ne forme pas vraiment un propos cohérent. Dommage.
Sinon tu t’emmèles dans les dates, c’est pas grave mais tu as beau utiliser un « on », tu prouves que tu ne sais pas de quoi tu parles.
Pas de soucis à participer à un débat, quand il y en a. Mélanger les commentaires et les déformer permet pas vraiment de répondre, on a pas vraiment affaire à un quelconque argumentaire… Bonne chance pour ta cabale !
Bon, je viens de lire cette accumulation incompréhensible de commentaires, de sous-entendus et de commentaires sur les commentaires.
Difficile de tout comprendre.
Par contre, l’attitude et les justifications des « modos » sont particulièrement pathétiques. Tout le monde en conviendra, publier ce genre d’article est misérable, n’amène pas le moindre débat et alimente juste une guéguerre entre la masse des appelistes et leurs trois courageux opposants.
S’il faut discuter de tout ce qui ne va pas dans l’appel et dans l’iqv (je mets de côté à nos amis qui est assez différent et en cela moins critiquable) faisons-le mais ce n’est pas en assumant ne jamais avoir lu les textes en question que l’on passera pour autre chose qu’un boloss rageux. Mais en lieu et place d’un débat, on a des crottes de nez (l’article et le tags) et des justifications creuses (les modos). Franchement pour moi, c’est vraiment significatif de la fin de cette belle idée que sont les indymedia. Si les gens ont préféré lancer des sites commes La Rotative, Rebellyion, Iaata, Lundimatin, PLI, etc. c’est précisément parce qu’indymedia, dans sa pseudo liberté ne libéré que le ressentiment, la mesquinerie et l’absence de débat. Après, on imagine bien que ce genre d’article fait des clicks et que cela rassure les modos, mais honnêtement, ces clicks ne justifient pas de faire de vous-même les monsieur pipi du minuscule mouvement toto.
Je trouve ces tags marrants, c’est une forme de critique et d’interpellation en acte et ça m’a permit de lire l’appel au grand banquet du 2 octobre dans lequel on parle « d’une autre manière de faire de la politique ». Ca m’a fait penser au Verts, à Corinne Lepage, François Bayrou et Ségolène Royal, la politique autrement… mais pas vraiment à quelque chose d’anti-électoral… pourtant juré il ne s’agit pas de construire un nouveau parti alors pourquoi parler comme des politicards ?
Je me régale !
Avant de partir bosser tous les matins j’ai mon petit rituel : un café, un petit tour sur Indy Nantes pour lire les gossip.
Oui ce site est devenu la presse-poubelle people-gossip du milieu.
C’est pour ça qu’on l’aime !
Ou c’est le « milieu » qui est (devenu) une poubelle. Le « milieu », on dirait que c’est comme une famille, ça a ses sombres secrets, ses tabous, qu’il ne faut surtout pas dévoiler au « grand public ». Il faut être propre si on veut gagner la guerre sociale contre les grands médias pour attirer le lecteur, et puis recruter.
Qu’Indy existe ou pas, ces tags ont bel et bien été fait. Ce genre de chose existaient bien avant Indy et existera après. Il vaut mieux prétendre que c’est le seul contenu dispo sur le site pour jeter l’outil avec l’eau du bain et regarder ailleurs. Ca permet de collectivement se déresponsabiliser c’est pratique.
Autant plutôt passer son temps à se plaindre qu’il n’y a pas de débat, ignorer tous les commentaires qui essayent d’y participer, et chercher la justification pour cacher cet article. C’est sûr que c’est comme ça que se genre d’articles arrêtera d’être publié quelque part.
Mdr « la masse des appelistes et leurs trois courageux opposants »
C’est comme la « masse des travailleurs » et son PC? Desolé… pas facile de prendre le reste de ce commentaire au serieux une fois qu’on a lu ca.
Parce que des critiques sur les apelistes (a raison ou pas), franchement ça fait un moment que j’en entend de ci de la de beaucoup de gens. Y’en a meme des brochures. Tiens on devrait demander à infokiosques.net de les retirer pour être coherent.
Hébé pour un message sans intérêt ça en fait des commentaires quand même ! le vrai problème d’Indymedia Nantes c’est que c’est le seul site connu et fréquenté où les anarchistes peuvent espérer s’exprimer sans être censuré.e.s, contrairement à Rebellyon par exemple, comme l’a dit qq’un plus haut. C’est ça qui est insupportable pour ces apprenti.e.s politicard.e.s.
A part ça, bien d’accord avec le message d' »A bas les chefs ».
Je viens de cacher le dernier commentaire, pas besoin d’être menaçant envers ce que t’appel les épiciers et de balancer comment paie qui et comment.
Y’a un surement un paquet d’autres bien limite dans ce flow (comment ça on aime pas le rap à IMC Naoned?) de commentaires qui mériteraient d’être invisibilisé.
Sur la validation de l’article, ça a déjà été commenté par mes compères. Ici on est plutôt pour que continue la possibilité de critiques, et apparemment on en prend une belle part dans la tronche aussi.
Juste merde quoi, c’est pas dure de comprendre qu’on a envie qu’il existe différents types d’automédias.
Et tant mieux que depuis paris-lutte y’en a un peu partout qui débarque, ça manquait vraiment dans certains coins et c’est vrai que c’est compliqué de monter un IMC (respect des POU notamment : https://nantes.indymedia.org/pages/principe-dunite-POU)
Ça empêche pas que certains considèrent nécessaire aussi que l’open publishing reste une possibilité; pour le débat aussi pourri soit-il malheureusement bien souvent que pour les possibilités qu’il offre pour des revendications d’actions.
Y’a aussi beaucoup d’infos, d’analyses qu’on retrouve effectivement sur d’autres sites mais aussi énormément d’autres qui n’ont été annoncé qu’ici. Y’en a pas beaucoup des sites avec plus de 10 ans d’archives sur les luttes sociales. Les références aux réseaux sociaux, c’est pas un argument valable pour souhaiter la disparition d’Indymedia Nantes.
Juste on essaie avec le temps qu’on a, et ce qu’on arrive à comprendre des embrouilles, que ce soit pas au détriment de personne mais que ça reste sur du fond politique. On y arrive sans doute pas toujours mais vraiment on essaie de le prendre en compte, comme on a pu le faire dernièrement avec la discordia et le retrait d’un communiqué.
En fait si y’en a qui veulent un peu mieux comprendre, y’a ce texte qui explique le contexte (et fout pas mal de beignes) : https://nantes.indymedia.org/articles/35849
C’était pas une blague ce texte ?
Non, c’était le journal intime de Travis Bickle.
(juste) trois photos
Travis Bickle = https://fr.wikipedia.org/wiki/Taxi_Driver