> *Les Indigènes de la république 44 *
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> *Assises de l’Anti-colonialisme post-colonial*
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> *Conférence – table ronde*
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> *Samedi 18 juin – 15h à 19h30*
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> Manufacture des tabacs, Bd Stalingrad – Nantes
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> (arrêt tram manufacture, ligne 1) – entrée libre
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> *_15h : table ronde n_**_° 1 :_*
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> La République et son passé colonial : rupture et continuité ?
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> *_16h30 : table ronde n_**_° 2 :_*
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> La République et les réalités d’aujourd’hui :
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> Ségrégation urbaines, inégalités sociales…
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> Comment agir ?
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> * _participation de_ *
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> *_ _*
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> *Henri POUILLOT*
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> Historien, Secrétaire National du MRAP__
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> * Saïd BOUAMAMA*
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> Sociologue (sous réserve)
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> * Joseph LUCAS*
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> Membre « Agir Contre le colonialisme Aujourd’hui »
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> * *
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> * Houria BOUTELJA*
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> Initiatrice de l’appel des Indigènes de la République, collectif féministe Les Blédardes
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> *Ali El BAZ*
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> Coordinateur de l’Association des Travailleurs Maghrébins en France (ATMF)
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> * Mustapha GUEYE*
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> Cercle Franz FANON, Fédération des Travailleurs d’Afrique en France
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> Racisme, ségrégation urbaine, inégalités sociales, chasse aux sans papiers, précarisation et marginalisation des populations des quartiers populaires, la * *République de l’égalité est un mythe.
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> L’état et la société doivent opérer un retour critique sur leur passé-présent colonial, qui modèle encore la société française d’aujourd’hui.
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> Il est urgent de promouvoir et d’exiger des mesures radicales de justice et d’égalité qui mettent un terme aux discriminations racistes dans l’accès au travail, au logement, à la culture et à la citoyenneté.
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> * *Nous, signataires de l’appel des Indigènes de la République et leurs soutiens: individuels, militants associatif, Français ou non-français, engagé-es ou non dans les luttes contre l’oppression et la discrimination… *lançons un appel à celles et ceux qui sont parties prenantes de ces combats à se réunir en Assises de l’Anti-colonialisme le 18 juin à Nantes*. Nous voulons* contribuer à l’émergence d’une dynamique autonome* qui interpelle les responsables politiques et économiques, et, au-delà, l’ensemble de la société française. Nous nous plaçons /dans la perspective d’un combat commun de tous les opprimé-e-s et exploité/