Insomniaques encore un effort.
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Category: Global
Themes: Contrôle socialElectionsResistances
Places: Univers
Il est devenu évident pour de plus en plus de monde, que les bureaucraties économiques tiennent en laisse, les bureaucraties politiques.
Une élection présidentielle, c’est le produit de 5 ans moins un mois de publireportage médiatique, et on sait tous que TOUS les médias appartiennent, ou sont contrôlés par les groupes financiers qui possèdent le pays.
Le dernier mois, on fait appel aux bonnes volontés, pour que la farce soit moins visible. Quand les jeux sont faits, on donne a des inconnus, le même «temps de parole», qu’au trois candidats interchangeables, choisis et mis en avant depuis 5 ans.
La démocratie, c’est devenu cette comédie sinistre.
On ne vote plus, pour quelqu’un, mais pour sanctionner le non pouvoir en place, et mettre en place, celui qui continuera ou accentuera, la politique qu’on vient de condamner.
Ce qui nous sert de gauche, est amenée à gouverner périodiquement, par les bureaucraties économiques, pour réussir dans le calme, ce que la droite est incapable de faire sans déclencher d’émeutes.
En l’état, les bureaucraties économiques, contrôlent la totalité des médias, et à coup de «révélations», plus ou moins organisées, ou accompagnées, nous proposent de voter «contre», ce qui est la façon la plus vicieuse de nous faire voter «pour», leur poulain de rechange.
L’abstentionnisme galopant, est le résultat d’une demi prise de conscience de ce blocage.
Mais il ne change rien, quand il ne restera plus que quelques électeur, ça leur suffira pour proclamer leur légitimité.
Si nous voulons briser ce manège, il ne faut pas monter dedans et jouer les outsiders, il n’y a qu’une seule solution possible, exiger un quorum.
Aucune élection ne doit pouvoir être validée, en dessous de 50% de participation, avec interdiction de se représenter pour 5 ans, pour tous les candidats désavoués.
C’est à ce seul prix, que nous pourrons nettoyer les écuries d’Augias.
Que le jeu de massacre commence.
Les nuits de ces dernières semaines amènent avec elles leurs coulées “debout”…