DENONCER LE TERRORISME DES EXTREMISTES JUIFS ET SIONISTES SUR INTERNET !

Les supporters et autres défenseurs inconditionnels de l’Etat israélien exercent depuis des années un terrorisme intellectuel, notamment au moyen du chantage à l’antisémitisme, tant sur nos politiques que dans nos médias.

Le récent média qu’est Internet ne déroge pas à cette règle. Il est vrai que la liberté, qui y est de mise, permet à tout à chacun d’y faire tout et n’importe quoi. C’est d’ailleurs très certainement l’un des derniers lieux propice à une totale liberté d’information et d’expression.

Ceci a bien évidemment un prix. Toutes sortes de propos peuvent être tenus sur Internet même ceux à caractère raciste ou ceux incitant à la haine et à la violence. Fort heureusement ces dernières années, certains contrôles se sont développés et nous avons même pu assister à des poursuites judiciaires qui se sont soldées par des condamnations (http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39128879,00.htm ) .

Malheureusement il y a un domaine où il n’y a pas eu d’évolution, c’est celui des attaques de pirates visant à mettre hors d’état un site internet. Si des personnes agissaient de la sorte vis à vis d’un journal, d’une radio ou d’une télévision, il y aurait évidemment de nombreuses réactions aussi bien dans l’opinion public que dans tous les autres médias pour dénoncer cette grave atteinte à la liberté d’expression mais nous sommes sur Internet …

Les exemples récents ne manquent pas. Il y a eu le site officiel de Dieudonné puis le site Grioo ( www.grioo.com ) ainsi que différents sites de soutien à l’humoriste qui ont été attaqués il y a de cela quelques mois car ils avaient « osé » permettre à Dieudonné de s’exprimer et pire que cela ils l’avaient soutenu …

Cette fois-ci c’est au tour du site oumma (www.oumma.com ) d’être attaqué et de ne plus être accessible pendant plusieurs jours. C’est d’ailleurs une triste habitude car il ne se passe pas une année sans que ce site ne subisse au moins une attaque « de grande envergure ».

Ce terrorisme des extrémistes juifs et sionistes « made in Internet » ne se limite pas à cette méthode de piratage que l’on pourrait nommer « agression technologique ». Il en existe d’autres plus classiques.

Ainsi le site islamiya ( www.islamiya.net ) vient-il d’être traîné en justice par des associations qui l’accuse… d’antisémitisme car visiblement dénoncer les crimes commis par l’état israélien ainsi que la politique de Sharon ce ne peut être que de l’antisémitisme (http://www.islamiya.info/modules.php?name=News&file=article&sid=4896 ).

Pensons également aux sites comme qui ont connu ou connaissent encore régulièrement des « problèmes techniques » et des « soucis administratifs » avec leurs hébergeurs et qui ont toutes les peines du monde à se maintenir en vie.

Pourquoi ces attaques ? Pourquoi ces problèmes ? Pourquoi ces tracas ?

Non seulement ces sites se sont « permis » de soutenir Dieudonné mais ils ont également soutenu tous ceux et toutes celles qui ont subi le terrorisme intellectuel et judiciaire des extrémistes juifs et sionistes.

Ces sites ont également le « tort » de soutenir ceux qui ont le courage de dénoncer les violations répétées des droits de l’Homme et du droit international commis dans la plus parfaite impunité par l’état israélien mais aussi les comportements islamophobes et xénophobes de certains médias et de certaines personnalités (aussi bien politiques que médiatiques).

Sans oublier la dénonciation des exactions des milices d’extrémistes juifs et sionistes que sont le Bétar ( www.betarfrance.org )et la Ligue de Défense Juive ( www.liguededefensejuive.com ). Rappelons que les nombreuses violences commises par ces deux milices, qui n’ont d’ailleurs jamais été inquiétées par la police et la justice, sont superbement ignorées (ou occultées ?) par les « grands » médias français.

Il est temps de réagir et de ne plus accepter ce terrorisme intellectuel que les médias nous imposent quotidiennement. Il est important de soutenir tous ces sites par tous les moyens légaux possibles. Il faut les soutenir financièrement pour ceux qui le peuvent, techniquement pour ceux qui ont des connaissances informatiques, administrativement et judiciairement pour ceux qui ont des connaissances juridiques. Enfin, il faut agir en tant que citoyen en écrivant aux différents médias, au C.S.A (www.csa.fr/outils/contact/contacteznous_formulaire.php), au ministre de la justice ( www.justice.gouv.fr/editeur1.htm ), au ministre de l’intérieur ( www.interieur.gouv.fr/contact ), au premier ministre ( www.premier-ministre.gouv.fr/fr/p.cfm?ref=6959 ) et au président de la république ( www.elysee.fr/ecrire/mail.htm ).

Nous ne devons pas céder à ce terrorisme intellectuel et à ce chantage exercé par les extrémistes juifs et sionistes même s’ils sont assistés par des politiques et des « intellectuels ».
Nous sommes tous d’accord pour condamner la xénophobie et le racisme sous TOUTES ces formes mais que constatons nous?

Les médias et les politiques créent une gradation dans le racisme et ensuite nous l’imposent. Il y aurait d’un côté l’antisémitisme (qui se limiterait aux juifs !) qui serait une forme « spéciale » et particulièrement virulente de racisme. Et de l’autre côté, il y aurait un racisme plus « classique »qui toucherait toutes les autres communautés et minorités et qui serait beaucoup moins « grave ».

La manifestation de l’association SOS Racisme, qui a eu lieu ce dimanche 16 mai 2004, contre, et uniquement contre, l’antisémitisme en est un très bon exemple. Et ne passons pas sous silence le rapport de la Ligue des Droits de l’Homme dans l’affaire du lycée Montaigne dans lequel elle constate que la LICRA serait partie du principe que « toute accusation d’antisémitisme est fondée dés lors qu’elle est proférée… ».

A en croire les médias et les politiques le racisme envers les juifs serait donc le plus important et le plus violent. Comme si être « Black » ou « Beur » en France aujourd’hui ce n’était plus un problème :

Est-il si facile de trouver un emploi ou un logement quand on est « Black » ou « Beur » ?

Est-il si facile de se faire entendre et défendre quand on subit une forme de racisme et de discrimination quand on est « Asiatique » ou « Manouche » ?

Est-il si facile d’être traité par les fonctionnaires, notamment de police, comme n’importe quel citoyen quand on est « basané » ou qu’on s’appelle « Gomez » ?

Est-il si facile de briguer un mandat à l’occasion d’une élection locale ou nationale quand on ne s’appelle pas « Dupont » ou « Durand » ?

Est-il si facile d’accéder aux médias ou de travailler dans les médias quand on est musulman ou sikh ?

Est-il si facile que ça de faire valoir ses droits quand on est tout simplement une femme ou un handicapé ?

Il n’est pas question de faire comme « nos donneurs de leçons médiatiques » : une insulte raciste est toujours grave et a la même valeur peu importe qu’elle touche un musulman, un juif, un noir, un asiatique…
La douleur, l’horreur ou l’atrocité ne se quantifient pas. Toutes les profanations de sépultures devraient être condamnées de la même manière. Un crime raciste reste un crime raciste et ne peut être « plus important » quand il touche une communauté ou une minorité particulière.

Créer des niveaux de racisme revient à créer des niveaux de citoyens et donc d’individus, ce qui revient à considérer qu’il a des hommes et des femmes qui seraient plus ou moins « importants » que d’autres. Ce type de raisonnement n’est pas tolérable dans un pays démocratique qui reconnaît et fait respecter la déclaration universelle des droits de l’Homme et du citoyen.

On nous parle de terrorisme et de la nécessité de le combattre. Bien sûr qu’il ne faut pas l’accepter mais il faudrait aussi s’opposer à cette forme pernicieuse de terrorisme intellectuel et médiatique que l’on nous fait subir depuis des années.

Paul & Anais Draszen