à rennes c’pas la joie…
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Un problème d’expulsion à rennes, d’un squatt, se profile dans peu temps. Haaaa la justice française et ses maudites répressions à 1 cent, veulent céder leur place à un parking ! si ça c’pas humain ! En + de ce foutage de gueule, car normalement, il y a une loi ki protège les squatteurEUSEs contre le froid. Cela s’appelle joliment « la trève hivernale » ou c’pas loin de ce terme. Et j’espère que l’exploiteur urbain de vies précaires va en prendre plein la face. Aucune expulsion de sure ces jours-ci. Un doute s’intalle après la transmusicale de brin. Yapaka LILLE ke ça sent la culture du nettoyage.
stef666hell
L’événement du squatt sur …
http://radikal.fucker.free.fr
Ah ! la féminisation du françaisE, c’est fantastique, n’est-ce pas ?
Encore unE qui n’a pas peur de passer pour unE crétinE…
Et toi, de quelle manière tu gères ta vie ? Crétins, c’ceux qui consomment du militantisme sans réflèchir.
stef666hell
Je ne « gère » pas ma vie. Et j’emmerde les militants.
Alors, pourquoi viens-tu ici ? !
stef666hell
Parce-que, malgrès le citoyennisme ambiant, on peut trouver ici ou là des choses intéressantes sur Indymedia.
Et ausssi parce-qu’il faut critiquer le militantisme là où il se trouve ( entre autre, ici).
C’est pas mal, des citoyens et des citoyennes qui militent encore, avec fermeté et sans se payer de mots, quand tant de personnes s’enferment dans la passivité, la consommation spectaculaire, la désespérance.
Bien sûr, pas question d’applaudir à tous les militantismes, qui sont loin d’être équivalents quand aux intentions et aux résultats. La critique est nécessaire et doit porter sur le fond. Mais combien de personnes dans le monde n’ont même pas les moyens matériels et politiques d’exprimer la moindre critique quand à leurs conditions d’existence ? Combien de militant-es emprisonné-es, torturé-es, exécuté-es sous diverses dictatures ?
Alors, s’armer d’un ersatz de radicalité pour « aller critiquer le militantisme là où il se trouve » tout en trouvant le fond de l’air un peu « citoyenniste », comme l’énonce le contributeur ci-dessus, ça ne rime à rien face à ces réalités.
JCS
Sur le citoyennisme, je vous invite à visiter le site « Anticitoyennisme » :
http://web.tiscali.it/anticitoyennisme/
Le texte « A rebours » : http://web.tiscali.it/anticitoyennisme/arebours.html
Ce n’est pas seulement « la gauche » qu’il faut considérer comme une entrave à tout dépassement, mais également le citoyennisme (c’est d’ailleurs avec la glue citoyenniste que la gauche tente de se recomposer).
Des années de réformisme « gauche plurielle », suivies de près par les niaiseries d’ATTAC et de Bové (avec, à leur remorque, les gloglos de la LCR et autres…) ne peuvent plus leurrer que les imbéciles. Non ?
En tout cas, les niaiseries contenues dans le site de l’anticitoyennisme pèsent des tonnes. A tout considérer par le biais d’analyses en béton armé, qui ne tiennent aucun compte du « mouvement réel » de l’Histoire, ni de l’hétérogénéité des acteurs du mouvement social, on peut tout repeindre à sa couleur, obtenir une vision lissée des forces et des évolutions ; et pérorer là-dessus avec impatience, en préfaçant ses textes des Grundrisse de Marx …
Disons-le d’une façon contradictoire : les analyses portant sur le citoyennisme pourraient être remarquables si le citoyennisme existait ! Mais il n’acquiert de réalité que dans les pauvres têtes de ceux qui ont inventé de toutes pièces le concept – rageant sans doute que tout-le-monde ne décrète pas brutalement sa haine du capitalisme et employant la radicalité la plus subversive pour l’abolir séance tenante.
Car ce qui compte, ce n’est pas, au final, ce que disent des Susan George, des Nikonoff, des Bové, des Laguiller : c’est ce que pensent les gens, ce que nous pensons « ensemble », ce que nous entreprenons de penser – qui peut être singulièrement différent. En 1788, les paysans s’en remettaient aux notables de leur paroisse pour demander à « leur bon roi » un allègement des charges -et pas un n’avait dans sa tête l’idée même de république ou de révolution. Et quelques mois plus tard, en un même mouvement parcourant la France, ils brûlaient les châteaux et décrètaient d’eux-même l’abolition des privilèges seigneuriaux et des corvées. C’est cette radicalité-là qui est intéressante.
JCS
Vous êtes de mauvaise foi : le citoyennisme existe, vous l’avez rencontré. Vous en citez d’ailleurs ses principaux idéologues, ses principaux acteurs.
S’il est important de le critiquer (de le renvoyer à son néant), c’est qu’il a, aujourd’hui, la puissance d’illusion qu’avait le PCF et les syndicats dans les années 60 (je vous rappelle en passant que ce sont bien ces derniers qui ont fait échouer la révolte de mai 68. Qui a fait rentrer tout le monde à l’usine ?).
Le but des citoyennistes est d’encadrer et d’étouffer toute révolte effective (pourquoi ATTAC a t’il collaboré avec la police à Gènes en 2001 ?).
Je vous retourne vonlontier votre comparaison avec les paysans de 1788 : si ceux ci ont pu laisser éclater leur rage, c’est bien parce-qu’il n’y avait pas d’organisations comme les citoyennistes pour les en empêcher. Et quand ils foutaient le feu aux châteaux, Susan George n’était pas là pour appeler les flics.
Le citoyennisme ne pourrait exister qu’à condition de se définir comme tel, strictement (sauf à vouloir tomber dans la pratique stalinienne de la « qualification forcée »). Susan George, Nikonoff, etc, ne se disent pas « citoyennistes » ; et même lorsqu’ils s’auto-proclament « alter-mondialistes », c’est dans le cadre d’une recherche collective dont ils sont loin d’être les inspirateurs. Confondre une mouvance complexe, traversée de courants en évolution permanente,avec le monolithisme du PCF des années 60, c’est franchement pousser le bouchon ; et n’avoir pas vécu cette époque.
Quand à la puissance d’illusion d’Attac et autres assos du même type, il faut n’y avoir jamais mis les pieds pour ignorer la densité des débats et des critiques internes qui traversent ces structures.
Enfin, écrire que le but des citoyennistes est « d’étouffer toute révolte effective », c’est du délire. En règle très générale, les adhérents des mouvements comme Attac, la LDH, etc, n’aiment pas la violence, qui n’est pas dans leur culture « de classe » ni dans leur raisonnement. Essentiellement, ils la trouvent contre-productive ; et certains ont une tendance lourde à voir la provocation policière derrière tout acte de rebellion collective. Ce qui donne des déclarations plutôt discutables, comme celles de Susan George à Gênes. Mais le but de tous ces militants reste de « faire bouger les choses », et pas de faire taire les libertaires, les conseillistes, les post-situs, les black blocs, etc…(Pour la collaboration d’Attac avec la police de Gênes en 2001, tu voudras bien m’apporter en réponse des preuves irréfutables, ou préciser au moins ce que tu entends par « collaboration ». Enfin, ce n’est pas Susan George qui « appelle les flics » : ceux-ci viennent s’ils le veulent bien et font toujours sur place ce qu’ordonne le pouvoir )
Pour conclure, je regrette que tu n’aies pas saisi ma comparaison avec 1788 ; et ta réponse sur ce sujet est totalement à coté de la plaque. Je voulais surtout dire que les vraies révolutions (qui sont lentes et n’ont pas forcément le caractère d’émeute) se font avec les gens « ordinaires », ceux qui sont en train de regarder leur télé en ce moment, ou installent leur arbre de Noël. Cette réalité-là, ni toi ni Suasan George n’y pouvez changer quoi que ce soit, autrement qu’en en tenant compte.
JCS
Il existe un super texte sur cette question de la critique du militantisme, évoquée dans les premières réponses: il s’appelle » le militantisme, stade supreme de l’aliénation » et il provient d’une ancienne orga ultra-gauche un peu oubliée aujourd’hui, les Jeunes Travailleurs Révolutionnaires.
Je l’ai hélas pas trouvé sur le web, sinon je l’aurais mis en lien, mais je veux bien en envoyer une version papier à ceux qui me laisent leur adresse postale sur mon mail ( promis, c’est pas un traquenard policier pour vous ficher). ;-)
Je préfère m’en référer à Debord, qui avait si bien décrit le spectacle comme « le soleil qui ne se couche jamais sur l’empire de la passivité moderne ». Encore une fois, la folie achevée, c’est de faire le mort, de cesser de protester, dans ce monde. C’est la passivité.
Le militantisme, ça ne me gêne pas, et même quand c’est lourdingue (Pas trop quand même): j’ai l’impression que ça pourrait devenir un luxe, un jour ; comme dans certaines régions du monde où le « stade suprême de l’aliénation », c’est plutôt la famine, la guerre, la mort au quotidien.
La critique du militantisme est nécessaire, en relativisant.
JCS
Ladite brohure s’interresse au militantisme en tant que ce que Debord aurait qualifié de « contestation intégrée »… C’est à dire quand on conteste pour contester et qu’on perd la notion du sens de nos actions: c’est très courants notament au sein d’orgas qui ont des activités régulières et qui les entretiennent parfois sans trop qu’on sache pourquoi.
Une action, quelle qu’elle soit n’a de sens que si on a réfléchi à ses conséquences: donner des tracts pour donner des tracts, c’est nul, ça gaspille du papier et c’est aussi chiant qu’un boulot sauf que c’est pas payé.
A partir du moment où le tract permet réellement de faire passer ce qu’on a à dire, qu’il donne des infos utiles qui améliorent le quotidien de ceux qui l’ont reçus ( conseils juridiques, par exemple) ou qu’il est dérangeant pour ceux contre qui on tracte, alors là, oui, ça a un sens… Mais c’est quand meme assez rare.
Voici la brochure en question.
Le militantisme, stade suprême de l’aliénation
http://www.ldmcom.org/adel_spartacus/ojtr.html
Sur Gênes en juillet 2001, les black blocs, Attac et compagnie, lisez les brochures « Des black blocs pas vraiment sans Gênes » (http://infokiosques.net/article.php3?id_article=3) et « Contre-sommets : traitement médiatique et spectacularisation de la contestation » (http://infokiosques.net/article.php3?id_article=43).
Elles sont dispos par courrier postal également (http://infokiosques.net/zanzara).
A lire aussi : « Les témoins de Genova », dispo sur papier chez Zanzara athée.
Je n’ai effectivement jamais fréquenté la moindre chapelle militante. Il m’a suffit de les observer assez précisément, et de lire quelques textes (notamment Debord, auquel tu te réfères) pour comprendre le phénomène.
Tu me dis que le citoyennisme, pour exister, doit se définir lui-même comme tel. C’est évidemment n’importe quoi. Tu es de mauvaise foi. Tu dis que le citoyennisme n’existe pas pour t’épargner de faire sa critique, qui risque d’être un peu déchirante pour toi. Car tu fréquentes ces gens-là, et tu les tolère. Tu supportes leurs niaiseries, leur économisme imbécile (‘Magic Tobin’), leur fausses bonne conscience de consommateurs équitables, et leur haine pour tous ceux qui n’ont pas leurs ennuyeuses méthodes et leurs sinistres objectifs – le but des leaders citoyennistes étant au moins de devenir les interlocuteurs de l’Etat.
Pour ce qui est de Gênes, ATTAC a toujours considéré les manifestants violents comme des provocateurs, des flics infiltrés. Il leur fallait discréditer toutes celles et ceux qui n’obéissaient pas à leurs tristes mots d’ordre. Et qui ne négociaient pas. Un des dirigeants d’ATTAC s’est même vanté à la radio d’avoir, en concertations avec la police italienne, modifier un trajet de manif pour isoler les violents face aux flics. C’est pas de la collaboration, ça ? C’est pas une tentative très concrète d’empêcher qu’une révolte plus réelle que la leur puisse s’exprimer ?
J’avais bien compris ta comparaison avec 1788 (comme si la situation était comparable, enfin passons…) ; je l’avais simplement retournée pour mon argumentation. Je crois qu’on a pas la même idée de la révolution (celle-ci peut être lente, en effet, mais elle part toujours d’une émeute) ; je crois plutôt que tu parles de réforme. Je n’ai évidemment jamais dit que la révolution, c’est-à-dire une insurrection qui réussit, serait le fait d’une quelconque « avant-garde » qui « conscientiserait » (quelle horreur !) « le peuple ». C’est plutôt les staliniens qui pensent ce genre de choses. Ce qu’on nomme la révolution, ce sont des anonymes, comme toi, comme moi, qui n’acceptent pas qu’on les représente, qui veulent régler leurs problèmes et vivre leur vie par eux-même, qui ne veulent pas de porte-parole qui parlent à leur place, qui ne veulent pas de stars, de Susan George, de sapin de Noël ou de télévision.
Les citoyennistes veulent plus d’Etat et moins de marché ; un capilatisme équitable (ce qui est une contradiction dans les termes) et de la marchandise biologique ; ils veulent participer à la gestion du désastre en conseillant l’Etat sur les mesures à prendre, pour durer encore quelques temps. Leur « autre monde possible », c’est le même, légèrement aménagé. Alors il faut choisir son camp, cher camarade.
Je n’ai effectivement jamais fréquenté la moindre chapelle militante. Il m’a suffit de les observer assez précisément, et de lire quelques textes (notamment Debord, auquel tu te réfères) pour comprendre le phénomène.
Tu me dis que le citoyennisme, pour exister, doit se définir lui-même comme tel. C’est évidemment n’importe quoi. Tu es de mauvaise foi. Tu dis que le citoyennisme n’existe pas pour t’épargner de faire sa critique, qui risque d’être un peu déchirante pour toi. Car tu fréquentes ces gens-là, et tu les tolère. Tu supportes leurs niaiseries, leur économisme imbécile (‘Magic Tobin’), leur fausses bonne conscience de consommateurs équitables, et leur haine pour tous ceux qui n’ont pas leurs ennuyeuses méthodes et leurs sinistres objectifs – le but des leaders citoyennistes étant au moins de devenir les interlocuteurs de l’Etat.
Pour ce qui est de Gênes, ATTAC a toujours considéré les manifestants violents comme des provocateurs, des flics infiltrés. Il leur fallait discréditer toutes celles et ceux qui n’obéissaient pas à leurs tristes mots d’ordre. Et qui ne négociaient pas. Un des dirigeants d’ATTAC s’est même vanté à la radio d’avoir, en concertations avec la police italienne, modifier un trajet de manif pour isoler les violents face aux flics. C’est pas de la collaboration, ça ? C’est pas une tentative très concrète d’empêcher qu’une révolte plus réelle que la leur puisse s’exprimer ?
J’avais bien compris ta comparaison avec 1788 (comme si la situation était comparable, enfin passons…) ; je l’avais simplement retournée pour mon argumentation. Je crois qu’on a pas la même idée de la révolution (celle-ci peut être lente, en effet, mais elle part toujours d’une émeute) ; je crois plutôt que tu parles de réforme. Je n’ai évidemment jamais dit que la révolution, c’est-à-dire une insurrection qui réussit, serait le fait d’une quelconque « avant-garde » qui « conscientiserait » (quelle horreur !) « le peuple ». C’est plutôt les staliniens qui pensent ce genre de choses. Ce qu’on nomme la révolution, ce sont des anonymes, comme toi, comme moi, qui n’acceptent pas qu’on les représente, qui veulent régler leurs problèmes et vivre leur vie par eux-même, qui ne veulent pas de porte-parole qui parlent à leur place, qui ne veulent pas de stars, de Susan George, de sapin de Noël ou de télévision.
Les citoyennistes veulent plus d’Etat et moins de marché ; un capilatisme équitable (ce qui est une contradiction dans les termes) et de la marchandise biologique ; ils veulent participer à la gestion du désastre en conseillant l’Etat sur les mesures à prendre, pour durer encore quelques temps. Leur « autre monde possible », c’est le même, légèrement aménagé. Alors il faut choisir son camp, cher camarade.
Je crois qu’avec tes raisonnements, on s’en prend encore pour 10 000 ans de capitalisme ; et au moins 3 kilomètres de contributions qui finissent par nous faire tourner en rond.(Tu remarqueras au passage le mérite de mes interventions, qui ont permis d’élever le niveau initial du débat…)
1 – Le souci d’Attac France, à Gênes, était de ne pas être confondu avec les émeutiers, et d’éviter un débordement dans leurs propres rangs – qui a tout-de-même eu lieu, en petite part, à l’arrivée du cortège devant le Forum du front de mer, le 3ième jour ; mais pas de « livrer » des émeutiers aux flics. On peut critiquer (fortement) la première attitude, sans pour autant en faire une interprétation abusive. Je précise qu’à Gênes, j’ai été un témoin attentif, présent en de multiples endroits. Je regrette beaucoup qu’on ait tant glosé sur le rôle des « black blocs » quand celui des jeunes gênois des quartiers ppopulaires a été assez ignoré (C’est bien Carlo Giulianni qui a été tué). Celà dit, je ne ferais pas d’éloge de l’émeute, comme j’en ai trop lu.
2 – J’ai voulu dire aussi qu’il n’y a pas d’idéologie « citoyenniste » dûment constituée, et à titre définitif. La réalité, aujourd’hui, c’est que beaucoup de gens appartenant au mouvement social sont en recherche, ne croyant ni à l’insurrection spontanée (et qui réussirait !), ni à l’électoralisme forcené, ni aux mesures du type « taxe tobin » pour changer le monde radicalement. C’est peut-être la première fois dans l’Histoire que des minorités commencent à agir en acceptant cette dose d’incertitude. Le débat sur le réformisme ou la révolution, la régulation du capitalisme ou son abolition,ne peut être posé simplement. « Les hommes sont las quelque temps avant de s’apercevoir qu’ils le sont » : C’est aussi la leçon de 1788, qui autorise qu’on la reprenne aujourd’hui.
3 – Il est impropre de dire que je « tolère » ces militants ou ce milieu qualifiés de « citoyennistes » : j’estime en faire pleinement partie, au travers de ma pratique et de quelques engagements.
JCS
Quelqu’un aurait l’adresse internet de la brochure ‘les témoins de Genova’ ?
Je ne la trouve pas sur Zanzara Athée.
Merci.
« Les témoins de Génova » n’est pas dispo sur le web à ce que je sache, mais si t’envoies quelques timbres et un mot avec ton adresse à Zanzara athée, 10 traverse des 400 couverts, 38000 grenoble, fr. t’en recevras une photocopie… ce qui est déjà ça, hmmm ?
Merci beaucoup au photocopieur.
Depuis l’expulsion de la traverse des 400 couverts (été 2005), Zanzara athée est plutôt joignable par e-mail: [!]le lien spip suivant n’a pas ete importe correctement dans oscailt: zanzara at squat point net [!].
Mort au citoyennisme !