Azouz Begag : “les jeunes des banlieues n’ont pas peur du CPE parce qu’ils en ont assez de la précarité”.
Debré parle de “chienlit” à propos du mouvement.
Sarkozy parle de “hooligans” et de “voyous d’un certain nombre de quartiers” à propos des incidents.
De Robien a appelé les étudiants qui manifestent à “penser à ceux qui sont au chômage”.

Etc…

Ce n?est plus de l?huile qu?ils jettent sur le feu, mais plutôt de l?essence !