Au sommaire :
Luttes. L’Algérie incarcérée ; Les génériques nous sauvent, sauvons-les ; Le combat
des femmes algériennes ; Victoire des mineurs marocains ; Le Niger contre la vie chère.
Actu. Le nouveau code du travail marocain.
Enquête. Les enfants au travail : expression d’un système criminel.
Économie. La dette de l’Afrique.
Syndicalisme. L’Union djiboutienne du travail entre contre-pouvoir et alternative sociale.
Médias. Ces revues à la solde des dictateurs : coup de projecteur sur le Gabon.
Développement. La question des télécommunications avec l’association CSDPTT.
S’engager. Pour le Togo ou le Rwanda. Recette. Le moambé.
Culture. Ahmadou Kourouma et Tiken Jah Fakoly.

Dossier de 8 pages : Togo, la lutte d’un peuple pour la liberté
Édito du dossier.
Après 38 ans d’un règne sans partage et sanguinaire, le dictateur et « ami de la France » selon Chirac, Éyadéma est mort le 5 février dernier. Dès lors, l’armée toglaise soutenue par l’État français, a voulu installer le fils du tyran défunt sur la trône… C’était sans compter sur la mobilisation du peuple pour son droit à la liberté qui fit échec à ce coup d’État. Mais ce qui aurait pu être une fissure historique dans l’ordre néocolonial qui sévit en Afrique, a vite été réprimé, par le trucage des élections, mais surtout un bain de sang et une répression extrêmement violente. Aujourd’hui, le peuple togolais continue la lutte, par le biais de ses associations et syndicats… avec tout notre soutien !

Prix au numéro : 2,5 euros + frais de port (1 euro)
Abonnement pour un an, 4 numéros : 15 euros
A envoyer à : Afrique XX1, c/o CNT, 33 rue des Vignoles, 75020 Paris
Chèque à l’ordre d’Afrique XX1.
E-mail : afrique21@altern.org

Qui sommes-nous ?
Afrique XX1 est une revue à but non lucratif réalisée par des bénévoles. Elle a pour objectif de se faire l’écho d’analyses, d’informations et d’initiatives d’organisations associatives et syndicales qui luttent afin d’obtenir une réelle alternative pour les peuples africains. Afrique XX1 est et restera indépendante financièrement et dans son fonctionnement de toutes les institutions politiques, économiques et religieuses. Son comité de rédaction est composé d’associations, de syndicats ainsi que de personnes se reconnaissant dans sa ligne éditoriale et dans son mode de gestion collectif.