Nous sommes atterrés, consternés, révoltés, par cet incompréhensible et délirant acharnement judiciaire qui nous semble relever plus de choix politiques que de cohérence juridique. 

Nous ne connaissons pas encore les motifs invoqués pour cette demande de cassation qui conteste par deux fois les décisions successives des Cours d’appel de Rennes et d’Angers et qui à nouveau fait encourir à Vincenzo la peine initiale de 12 ans de prison en Italie

Parallèlement, on ne peut que s’étonner de la concomitance de ce pourvoi avec le fait que le ministre de l’intérieur italien vient de promouvoir deux policiers condamnés pour falsification de preuves, ce qui a déclenché la sauvage répression de 2001 lors du sommet de Gênes (cf. article de La Repubblica).

Nous voici donc repartis pour un énième épisode de cet éreintant et grotesque feuilleton judiciaire dont l’issue ne sera sans doute pas connue avant plusieurs mois…

Plus que jamais, tous réunis autour de Vincenzo Vecchi,
nous allons continuer le combat

Communiqué du Comité de Soutien à Vincenzo Vecchi – 7 novembre 2020