http://vous-serrez-heureux.c.la

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notre bon vieux baron du medef tente de nous resortir un mode d’emploi de l’esclavagisme methode féodale, alors, le peuple, jusqu’ici trés idulgent, devrait il aussi ressortir le concept de la guillotine, en effet, si les patrons deviennent de plus en plus dur et donc, font des erreur en devenant cruel, le peuple, lui aussi doit il avoir droit a l’erreur et a la cruauté ?

DOnc, si messier veut durcir le ton en nous impossant des régle féodale, le peuple peut aussi le faire, resortir la guillotine et couper quelque tête.

Peut être que cet argument pourait refroidir certain esclavagiste moderne, mais non, le peuple est bon, la peine de mort est a banir, donc, de même, messieurs du medef, rangez vos lois atroce, injuste, d’exploitation de l’humain et faite le vite.

Souvenons nous aussi de 1945, les nazi d’hier avaient une chose a faire, se cacher, ranger leurs propos et leurs idéologies racistes. Aujourd’hui, ils osent repointer leurs théorie idiotes et méprisantes, ils osent cela. Mais qu’ils n’oublient pas qu’ils sont en dehors ( de l’inteligence) de la loi. Je pense que le gouvernement doit continuer a punir les propos et les actes racistes, mais aussi, je pense qu’ils doivent craindres la cruauté des justes. Car aujourd’hui, non seulement nous voulons vivre dans un monde chargé d’humanité et de compassion, mais nous avons egalement des griffes, nous defendrons notre bonheur avec férocité s’il le faut.

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J’ai recement découvert http://ecrivain.tk qui dans ce sens nous montre via le roman TESK l’image la plus horrible d’un monde capitaliste. Ce site à décidé d’inviter tout les auteurs du web a participé et a créé pour ce faire un code en php inspiré du wiki afin de créer un veritable espace de liberté. Fondé par des squarteurs ce site appel les lecteurs à ecrire et se détachant des contrainte abusive et sécuritaire du web, à l’image de indymedia.

Dans la même ligné additif ospital http://www.fluctuat.net/blog/article.php3?id_article=1440 montre comment le web permet de se détacher de la suprematie censurière (copyleft) non pas des grandes entreprises mais des grandes maisons d’édition en utilisant un language populaire, chargé de faute d’orthographe et d’un maximum de gros mots.