De ce qui se passe à notre dames des landes…
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Catégorie : Local
Thèmes : Anti-répressionContrôle socialD281EcologieExclusion/précarité/chômageLibérations nationalesRépressionResistancesZad
Lieux : Notre-Dame-des-LandesZAD
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L’APPEL
Depuis quelques semaines déjà règne sur la zone un climat oppressant mêlé d’incertitude, de colère et de frustration. Cette ambiance délétère, nous la devons à une minorité qui s’octroie le droit, au nom d’une soit disant supériorité intellectuelle et de ses accointances avec l’ACIPA, Copain 44 et la mouvance appeliste , de juger si un individu, un groupe, est assez « bon » pour vivre sur la zad.
Cette main aveugle qui se dit « de justice » impose donc aux habitants de la zad ses lois, qu’elle nomme limites, et qu’elle décide d’appliquer de manière arbitraire lors de réunions secrètes. Je dis secrètes car seuls quelques Élus sont informés de ces rendez-vous durant lesquels pourtant des décisions capitales sur l’avenir de la zone sont actées. Décisions qui par la suite font l’objet d’un simulacre de débat lors de la réunion des habitants ou autres rassemblements publiques, ou l’on palabre en vain puisque la décision a déjà été prise en « haut lieu ».
Ainsi, vous avez pu lire dans les comptes rendu de réunion que désormais, pour s’installer sur la Zad, il va falloir présenter un « projet » que devra valider un « comité », que les Free party (dont le fondement est une occupation illégale et sans autorisation d’un territoire, rappelons le) nécessiteront également l’aval d’un autre comité. Enfin, que celui ou celle qui ne respecte pas «les limites », n’aura pas le droit de s’exprimer, voire de paraître lors des réunions.
Mais cela va encore plus loin.
Récemment, cette minorité a décidé l’expulsion progressive d’habitants de la Zad, en commençant par Y. de la Reinette, mis dans un coffre (pardon, une banquette arrière) par une milice d’une soixantaine de personnes tellement peu convaincues de leur légitimité que la plupart étaient cagoulées.
Après cette expulsion, la Freuzière accueille Y. sur son lieu. Y. ne fait donc de tort à personne. Il n’est plus cette ombre qui vient ternir l’image d’Épinal que « l’élite » souhaite montrer de la D281.
Malheureusement, cette milice, aveuglée par son sentiment de toute puissance, déterminée à asseoir son autoritarisme, n’est pas rassasiée. Affamée de pouvoir, elle veut écraser l’autre , jusqu’au bout.
Pour preuve en est cette vaste fumisterie que fût la réunion de mercredi 13 Décembre au Gourbi où l’on apprît seulement à la toute fin d’une discussion de près de cinq heures que l’expulsion d’Y. de La Freuzière avait été décidée la veille lors d’une de ces fameuses « réunion secrète ».
Ce rassemblement publique celui-ci, a toutefois permis de mettre en exergue une nette divergence d’opinion de la part des habitants de la zone au sujet de ces expulsions.
Samedi 16 Décembre, une trentaine de personnes sont venues spontanément apporter leur soutien à Y. et La Freuzière et ceci , sans qu’aucun appel ne soit lancé.
D’un autre coté, samedi matin, un habitant de La Freuzière s’est enquis des nouvelles au sujet de cette expulsion auprès de St Jean du Tertre. Il lui a été répondu que l’expulsion etait maintenue, à une date indéfinie, et que La Freuzière devrait assumer les conséquences de son soutien à Y. … Pour conclure, alors qu’il ne présentait aucun signe d’agressivité, cet émissaire se vît administrer une claque par le maire de St Jean du Tertre.
Cessons de nous voiler la face :un arrière goût de totalitarisme se fait de plus en plus sentir à Notre Dame Des Landes…
Aujourd’hui, c’est Y. et La Freuzière qui sont dans le viseur de cette minorité aux pratiques violentes.
Mais on sait déjà que d’autres ont subit des menaces. Le prochain sur la liste serait un habitant de la Grée. La Chateigne subit aussi des pressions, et les habitants de la D281 ne se sentent plus en sécurité non plus.
Allons nous continuer à subir le diktat de ces personnes (majoritairement les habitants de St Jean du Tertre, Bellevue, le Moulin, les Fosses Noires, les Cents Noms), ou comme de bons moutons à se plier à leurs exigences et à LEUR vision de la zad sans rien dire ?
N’oublions pas : cette lutte que nous menons, est une lutte contre l’aéroport ET son monde.
En nous comportant ainsi, nous ne faisons que reproduire l’attitude du citoyen lambda qui se soumet au joug d’un gouvernement, alors que c’est tout l’inverse que nous souhaitions construire en venant sur cette zone !
A toutes celles et ceux que l’on n’entend pas : Il est temps de faire entendre nos voix !
Nous ne voulons pas d’un état dans l’état et nous sommes assez grands pour nous gouverner nous même.
Des gens de La Freuzière
Quelle est la raison pour laquelle Y. a été viré ? Il doit pourtant bien en avoir une, les gens ont certainement pas dit « parce qu’on a fait une réu secrète où on a fait les chefs ». Mais comme rien dans ce texte ne la donne, on se pose la question…
chercher les raison du pourquoi du comment, finalement ça n’amène pas très loin…la « raison » apparement, c’est que Y n’a pas respecté une ou des règles fixées par des gens qui ont décidé que la punition en cas d’infraction à ces règles c’était le banissement.
alors le problème ici, c’est pas que la « raison » soit pas publique, le problème c’est que visiblement y a pas consensus sur la zad sur la justice et la punition.
si on était de mauvaise foi on pourrait dire que ça ressemble beaucoup à un truc de juges/flics, mais bon, quand même pas, la zad est une zone post révolutionaire, ça peut pas exister des flcis sur la zad, non ?
nique la justice autogérée.
nique les flics de gôche.
nique les mafia avant-gardistes.
nique les cyniques qui croient qu’on peut pas s’en sortir sans punir.
je souhaite bien du courage aux autres, j’espère que le Comité Directeur vous a fait parvenir les formulaires E-496 d’autorisation de jeter des machins sur les keufs, ils sont à retourner dûements remplis avant le 31 decembre sous peine de dissociation.
publié ici il y a six mois et qui parle du même genre de trucs :
https://nantes.indymedia.org/articles/38201
certaines des raisons sont (de mon point-de-vue/ma réalité …)
que la personne Y. a des comportements qu’on remet en cause et qu’il aurait dépassé des « limites » AKA « donc faut le dégager ». mais surtout la raison elle est du fait que c’est une personne « autonome » un peut isolée, certes individualiste, facile a cibler et a harceler et pour lui foutre assez de pression jusqu’au pétage de plomb pour servir de bouc émissaire.
Mais quand on remet en cause les mêmes comportements chez les gens dans ce groupuscule autoritairement fascisant, virulent et oppressif qui tente de créer des lois (assemblée des (ab)usages et ses commissions/institutions) pour tout les autres de la zone, ola, c’est différent, c’est pas pareil, donc là ça en revient que les plus gros connards de la zone instrumentalisent un PARTI pour se débarrasser de « la concurrence » (d’intérêts perso) en commençant avec ceux plus isolés, qui font un peu de la merde. Le reste c’est de la branlette pour détourner le regard des vraies menaces sur zone, celles et ceux qui font le sale boulot de l’état en créant des conflits et (op/re)pressions internes, des personnages qu’on retrouvera aussi dans les pseudo assemblées qui ne cessent de s’auto-mandater sur plein de sujets et outils collectifs en se prétendant la voie/x, « collective », euhm, unique de la zad.
perso je ne tiens pas forcément a ce personnage Y., mais malgré ça je soutiendrai à tout prix (avec d’autres) la décision prise par les camarades de la freusière, lieux d’organisation autonome et anarchiste. mème si ce n’est que pour mettre ce troupeau de flicaille face à la résistance et rage anti-autoritaire qui brûle en moi. L’anar chie partout ou l’autorité s’impose.
ah oui, ce matin, en mode scrette, la partie virulente de ce groupe (d’appeliste? d’agritueurs?) fascisante et autoritaire est venue bloquer, avec les mêmes stratégies qes les pro-aéroport, le lieu de la freusière en chourant des chicanes de la D281 (qui servaient à sa défense en cas d’expulsions). ils veulent que Y. parte de la zone (sans ses affaires, comme son habitation/véhicule en panne a la freusière), mais ils le coincent aujourd’hui au sein de la zad, …et ça c’est réfléchi de la part de celles et ceux qui s’imaginent « gérer » la lutte contre l’aéroport (avec un schéma étatique)…
va savoir… la dissonance cognitive n’est pas inhérente qu’au capitaliste quoi. ( petite archivage : https://antirep.net/freuse.MP4 )
ya des gens dominants, depuis longtemps sur zone et dans les composante, qui ont fait répétitivement pire (a mes yeux), en ce qui concerne « la violence », que Y. . mais dès que des camarades anti-autoritaires sensibles tentent de les remettre en question ou de critiquer le dépassement de certaines de leurs limites, ils/elles subissent des (op/re)pressions fascisantes, des sabotages ou du mépris excluante qui ne donnent plus envie à certaines de continuer leurs luttes ou de s’engager ou s’investir sur cette « zone libérée » ou à des dynamiques qui en sortent.
Et ça passait tranquillement…
ça passe par la voie publique, probablement parce que ce sont des conflits semblables à plein de conflits qu’on croise ailleurs dans nos espaces de luttes émancipatrices et qui restent souvent réprimés ou ignorés et qu’on arrive souvent pas à résoudre ou exprimer.
…et probablement aussi pour passer des informations, des réalités diverses, sur une zone en lutte (qu’on retrouvera pas dans les merdias). …certes avec chacune sa version des choses.
« il n’y a pas de justice, juste nous »
Je suis d’accord sur l’espace d’élite qui peut régir et tentait de mener la zad a la baguette.et d’accord sur certain points de base.par contre pour répondre a daz.le mec qui s’est fait viré avait de bonne raison de se faire virer!étant maman je n’aurai pas voulu croisé,côtoyé,croisé…ce mec car dangereux !!! Je ne detaillerai pas ses actes sur internet mais perso je ne suis pas sur la zad depuis plus de trois ans pour craindre pour ma vie et celle de mon enfant.j’ai assez a faire avec les flics pour ne pas avoir a stresser des habitants!!!
– ZAD NDDL : des questions qui fâchent ? https://nantes.indymedia.org/articles/38183
– Mad Zad, ce que l’expérience nous dit sur nous https://nantes.indymedia.org/articles/28020
et j’aimerais reprendre cette intro du texte « A propos du texte mepris de classe sur la Zad » ( https://nantes.indymedia.org/articles/27970 ) :
Depuis des années, sur le terrain, chacun, selon sa propre histoire, a su tisser des liens où justement les différences enrichissent et non divisent. Cette richesse là n’est pas contrôlable, ne se range pas dans des cases. Ne vous en déplaise, chères camarades, elle échappe à tous vos discours, juste elle se vit…
Amies d’ici, amis d’ailleurs, relisez le texte « Aux révoltés de Notre Dame des Landes », le souffle qui en émane est toujours d’actualité.
– Aux révoltéEs de Notre Dame des Landes (https://nantes.indymedia.org/articles/26064 / https://zad.nadir.org/spip.php?article320)
« En cette période agitée ou l’état autant qu’AGO voudraient nous voir diparaître, ce texte est venu percuter quelque chose : Parce qu’il est une des pierres qui fondent notre présence ici, qui fondent notre quotidien, à nous, occupantEs. »
cher ou chère cohabitant-e de zone,
Bien que je me trouve à l’heure d’aujourd’hui dans une position intellectuellement complexe face à l’expulsion de Y. je pense que ton « texte » ou réquisitoire manque d’objectivité, d’honnêteté politique, de contextualisation et surtout de par ces trois points : de pertinence à atterrir ici sur la place publique.
Tout d’abord tu présente une situation sans pouvoir (bien malheureusement) citer les faits que bon nombre d’entre nous lui reproche. Directe ou indirectement. Donc tu en appelles au sens critique de tes lecteurs sans pouvoir leur en donner les éléments. première malhonnêteté.
Ensuite tu omet volontairement ou involontairement de dire qui tu vise en mélangeant les groupes qui tantôt sont un petit groupe, un grand groupe, des bien pensant autoproclamé, des appellistes… puis tu cites des lieux en logeant tout le monde à la même enseigne.
Tu mélange tes rencoeurs personnelles envers un groupe secret qui ne l’est pas (le MCDO) avec une situation hors de propos face à ce qu’ils pourraient représenter.
Tu exposes des lieux et donc des gens publiquement face à leur éventuel « pouvoir » sur la zad. Tu cherches peut être à remplir les fichier des renseignement territoriaux ?
Pour finir tu dévalorise l’impulsion collective de ne plus vouloir à faire à ce genre d’agissement oppressif,agressif, violent, dominateur voir plus si affinité. Tu dévalorise la volonté d’agir anonymement face à qqn de dangereux, tu laisses à penser que la zad est la porte ouverte à toute dérive…
J’ai passé bon nombre de point car je n’ai ni le temps ni l’energie necessaire à une relecture argumentée de ton écrit.
Mais je vais te donner MA position.
Je vis à Bellevue, je ne suis pas appelliste et sur ce point il semblerait que nous ayons des visions convergentes. Je perçois parfaitement les enjeux de « pouvoir » qui peuvent se jouer sur zone comme il s’en jouera pendant la nuit des temps. Je suis comme certain ou certaines de mes cohabitantes bien loin des sensibilités authoritaires qui peuvent avoir court sur zone. Pour autant je ne nie pas qu’elles existent. J’essaye de faire tant bien que mal la différence entre ceux qui aquièrent de l’influence parceque ce sont des faiseux-euse et d’autres qui utilisent cette influence à des fins égotique, orgueuilleuse ou pour servir un idéal politique en contradiction avec une volonté collective.
Pour autant je te demande de bien vouloir me croire, les événements liés à Y. sont bien loin de toutes ces comédies humaines. Il en va d’une action contre un comportement qui a dépassé les limites. Non pas les limites écrites ou pensées en comission qui seraient sensées s’appliquer comme une loi étatique, mais des limites bien plus universelle à la liberté de vivre en paix sans se faire… par un c… au premier désaccord. Les gens qui se sont rassemblés pour discuter des solutions à propos d’Y. sortent des tiroirs dans lesquels tu essaye de les mettre. Il y avait bien des sensibilités différentes présentes qui pour une fois étaient d’accord sur un point. Plus jamais ça. Et en ce moment ça commence à faire beaucoup.
J’aimerais s’il te plait que tu arrête de mêler l’endroit ou je vie à tes délires paranoiaque et tes analyses anti authoritaire tronquée. Il y a des gens que tu condamne qui viennent travailler chez nous, et même se réunir parfois mais qui ne représente en rien la totalité des gens qui s’y investissent et encore moins qui y habitent. Je suis habitant de Bellevue, intellectuellement et en pratique amoureux de la pensée libertaire dans toute sa complexité. j’aimerais comme d’autres ne pas être mis dans un sac qui n’est pas le mien.
Merci
…les accusations à demi-mots & feutrées
c’est probablement le désir de laisser un certain anonymat qui fait que les auteurs du texte parlent de lieux au lieu de parler des gens…
exclure/bannir des monstres ça règle pas le problème, ça le déplace. s’il est dangereux sur la zad, il sera dangereux ailleurs. Je sais pas ce qu’a fait ce type (il pourrait avoir violé des chatons, je m’en fous, le problème n’est pas là), peut-être qu’à un moment ça vous a semblé la seule chose possible de le foutre dehors, mais ça ne PEUT pas être une solution à long terme, tout simplement parce que le niveau suivant, c’est la taule, les mutilations, et après y a plus que la potence. et comme c’est pas le prmier à se faire virer…
il y a eu des tentative de discuter de quoi faire dans ces cas là il y a quelques années, visiblement ça n’a pas été plus loin, et je soupçonne certains de kiffer balancer des types de force dans des bagnoles, vu la récurence du procédé (ils feraient peut-etre mieux de postuler à la BAC…)
la zad est comme la plupart des communes/républiques, appelle ça comme tu veux: y a des institutions. le pouvoir ne réside pas dans les mains des habitants directement, mais est tempéré par des assemblées, plus ou moins formelles. Le problème, à mon avis, c’est qu’a partir du moment ou les décisions prises dans ces assemblées sont indiscutables par les habitants (présents à ce moment là ou non), ben ça devient une assemblée décisionnaire qui a le pouvoir sur l’ensemble des habitants et du territoire. Et là, si t’es nostalgique de l’age d’or des trotskistes, ben ça devient possible de confisquer ce pouvoir.
ça aurait été interessant de faire différement, pour une fois, de cultiver nos différences au lieu d’imposer le mode de fonctionnement habituel… par exemple des assemblées qui servent juste à se mettre d’accord entre gens qui vivent ensemble au niveau du lieu de vie, du secteur, de la zone en entier, mais qui de fait, ne décident de rien (comme ça plus de « faut faire comme ci parce qu’on l’a décidé comme ça y a 3 mois pour on ne sait plus quelles raisons »).
ou alors, tendance science fiction, tu sais, des assemblées de gens qui se ressemblent, même si ça colle pas géographiquement, parce que qui se ressemble se comprend mieux, et une fois que t’as discuté en non mixité chéper, arrachées, féministes radicales, bouffeurs de viande, ou (futur) politicien, tu peux t’arranger avec les autres dans des assemblées plus générales… comme se servir des groupes affinitaires pour autre chose qu’a justifier des mafias… et, comme ça parait peu acceptable qu’un papy paysan explique à une féministe comme elle devrait vivre, ça paraitra plus compliqué à un activiste pur de dire à un punk camé que la drogue c’est mal alors il doit se défoncer ailleurs…
enfin, t’as vu je suis un bisounours et je rêve qu’un jour, on arrête de faire de la merde, on fasse autrement et qu’au lieu de se régir on essaie de se comprendre. et tant pis si la zad meurt en essayant, c’est pas grave, c’est pas ça l’important, l’urgence c’est encore un truc pour gouverner.
tu sais mon ami-e bisounours on est pas loin de s’entendre. Pour ma part il me semble juste déplacé de cristaliser l’ensemble des conflictualités politiques ou humaines sur la zad autour du seul sujet de Y.
On peut discuter des différentes solutions à adopter dans ce genre de problématique et c’est exactement ce qui a été fait dans cette soit disant réunion secrète. Les plusieurs dizaines de personne présente ont proposé un certain nombre de solution allant de la plus « bisounours » à la plus « radicale » (pas trop quand même radicale hein!). Se sont réunis à ces occasions des personnes soucieuses de trouver des solutions à une situation qui leur semble fondamentalement inacceptable.
Moi je n’ai pas d’avis tranché sur cette question. ostracisation, accompagnement ou encore discussion je ne me décide toujours pas. J’ai mon côté bisounours qui titille aussi.
Après ce qui est sure c’est que si j’avais été victime directe de ce gars là je ne faisais pas appel à toute la zad pour régler le problème. Et il est possible que ma réaction aurait été nettement plus déterminée.
Pour autant le fait qu’il ai trouvé asile sur un lieu me semble juste si les habitants de ce lieux souhaitent l’accueuillir. Toute décision leur revient de « droit », je parle de droit d’usage évidement :p
cela me semble aussi juste que des gens s’associent pour ne plus avoir à prendre le risque de le croiser.
peut être devrions nous élire 3 médiateur pour étudier les diverses possibilités et sortir de cette situation par le haut. muahahah
bref je n’irai pas plus loin tellement j’ai encore des arguments et contre arguments.
il y a quand même une question que je me pose : (j’avoue j’ai la réponse)
comment doit on réagir quand un groupe de personne vire un gars violent et sexiste ?
comment doit on réagir quand des habitant virent un conspi chouardien soralien de la zone ?
comment doit on réagir quand un RG se fait virer illico d’un cortège ?
qui est l’authoritaire dans ces situations ?
Pour « généraliser » depuis notre point de vue :
il y a quelques années
les « »zappellistes » étaient plutôt avec les anars contre les trotsko-gauchistes
maintenant
c’est l’inverse
ben le problème ecore une fois, je trouve, c’est pas tant de qui on vire de où… y a des situations où c’est encore heureux qu’on vire une personne d’un endroit à un moment donné…
y a des moment ou les comportements d’une personne rendent sa présence incompatible dans un endroit. soit. la mettre dehors, dans ce cas, c’est une réaction, un solution temporaire au problème.
le problème de voir ça comme une réponse générique au problème des indésirables dans nos sociétés, c’est que suivant l’endroit, le moment, la mode, les individus présents, t’es pas « indésirable » pour les mêmes raisons. les « monstres » peuvent changer, et indépendament d’eux, suivant qui parle d’eux et comment, leur taux d’indésirabilité peut varier. t’es plus indésirable parce que tu as merdé avec tel ou tel individu, tu deviens indésirable pour ce que tu es et représente, et t’as assez peu de chances d’être vu autrement parce que tu vas trainer des casseroles toute ta vie…
du coup le problème ne se pose plus comme « X a fait de la merde, donc il est dangereux, donc des gens lui ont foutu la pression pour qu’il se casse le temps qu’on trouve une solution et on garde un oeil ou une oreille sur lui pendant ce temps » mais comme « X est indésirable, on ne PEUT pas vivre avec lui, et comme on est plus que lui et ben il doit se casser et ne plus jamais revenir sous peine de… »
donc c’est pas parce que X a fait tel truc qu’il est déporté, c’est parce qu’il est « quelqu’un qui a fait tel truc ».
du coup ça me semble sortir de la dynamique « on trouve une solution pour pas faire comme la justice et l’état » pour rentrer directement dans « il y a des comportement délictueux qui marquent les individus à vie et ceux-ci doivent être punis pour éviter que d’autres individus ne les reproduisent »
Je trouve que c’est une distinction vachement plus importante que « qui a lu l’appel et qui ne l’a pas lu ? » ou « qui fait pousser des patates et qui les bouffe ? »
si on rajoute à ça une hierarchie entre les-dits comportements délictueux et t’arrive à un code pénal ou, sur la zad, c’est plus grave de se taper de l’hero dans sa cabane que de mettre des gens dans des bagnoles pour les emmener de force, ou encore, piquer 100 euros dans une caisse collective, trop grave, financer la construction d’un « machin inutile qui va être détruit par les flics deux jours après » avec de l’argent collectif, c’est pas grave…
Que fait ce genre de texte sur Indy? Les modos, vous déconnez complètement là. A des moments, il faut se dire que les publications craignos ne doivent pas paraître publiquement. Là, les flics vont lire tout ça, ils vont récolter leurs renseignements, et ils seront bien contents. Décidément, indy nantes est le dépotoire des pires conneries du milieu militant. Dans ce texte pourri, il y a quand même des noms de cités, vous ne trouvez pas que c’est un peu problématique? Bref, encore une fois, merci indy, vous acceptez les pires textes qui soient. Et ne sortez pas le truc de la neutralité, parce que vos choix dans l’acceptation ou le refus de textes ou commentaires sont clairement politiques.
De la part des gens de la Freusière, ce texte est une belle démonstration d’impuissance, de bêtises et de bassesse. De lâcheté aussi.
Sérieux, supprimez moi ça. Non seulement les commentaires, mais surtout le texte ! Les keufs, les pro-aéroport, les fachos, tout le monde se réjouit de lire de tels déballages de merdes publiques.
ceux/celles qui appellent à la censure, préfèrent-ils/elles des ‘villages Potemkine’?
aux affligées, faites vos remarques par mail à imcnantes(at)riseup.net
je doute que vous ayez compris quoi que ce soit de la charte et d’indymedia en demandant d’invisibiler le texte. De plus, aucune personne n’est citée par son nom.
y’a un texte qui répond à celui-ci par là : https://nantes.indymedia.org/articles/39477
à mon humble avis, et surtout en ce moment, les flics savent plus où moins ce qu’il se dit dans les réus publiques de la zone, et ont probablement sous le coude un ou deux indic qui leur donnent des renseignements plus ou moins contraints sur ce qui se passe en dehors des réus.
à priori côté dangers c’est
– estimer que la Freuz est en disgrace donc attaquable facilement
– estimer que la zad vogue tranquilement vers un aménagement du territoire normalisé
à voir lequel de ces dangers est le pire, pour le reste, qui nécessiterait de planquer cet article, j’ai beau cherche, je vois pas…
Si Indy ne publiait pas les embrouilles entre squats ca ferait longtemps que plus personne ne lirait les autres articles…
Figurez-vous qu’il y a des gens qui lisent et publient sur indymédia et qui ne condidère pas ce site comme une sorte de « Voici » (on a les référence qu’on peut) du milieu militant, ni comme un « dépotoire[1] des pires conneries du milieu militant ». Si vous en doutez, allez lire quelques articles et pas seulement les liens que quelques un-e-s de votes potes malveillant-e-s vous envoient.
Tout le monde n’a pas le privilège d’avoir un serveur (ou des potes qui ont un serveur) pour héberger ses infos et textes, tout le monde n’a pas d’accès administrateur pour publier sur des sites militants, et beaucoup de gens font le choix de ne pas confier leurs infos et leurs données aux grands groupes de l’informatique (google, facebook, twitter, instagram et j’en passe). Que ça vous plaise ou non, indymedia est un outil utile et nécessaire à un certain nombre de personnes pour relayer les luttes auxquelles elles participent et se tenir informées de l’actualité des luttes de manière plus générale.
Je voulais aussi répondre au commentaire ci-dessus :
« Si Indy ne publiait pas les embrouilles entre squats ca ferait longtemps que plus personne ne lirait les autres articles… ». Les personnes impliquées dans ce qui est décrit dans l’article apprécieront le terme « embrouilles » qui dépolitise complètement le débat.
À bas les chefs
Vive les médias libres et les automédias
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[1] C’est à la déchet’ qu’on fait les plus belles touvailles (proverbe de la Prairie de Mauves)
Indymedia vous avez pas honte de publier un texte antiféministe et qui prend pleinement parti pour un agresseur ? Quand est ce que vous faites le ménage chez vous sérieux ?
Ça a déjà été dit, les remarques sur la modé sont à envoyer à imcnantes_AT_riseup.net ou sur la liste publique de modération. Certains commentaires ont été laissé, parce qu’il aurait fallu cacher leur réponse.
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Le pari du dialogue
À l’inverse, sans NDDL, les médiateurs recommandent le dialogue. «?Il faut une volonté politique, de la détermination et de la pédagogie. Et du temps, motive Anne Boquet. Sur place, les occupants devront accepter de vivre, d’habiter et de travailler en respectant les lois de la République.?» Les médiateurs imaginent une solution pour relouer les terres. «?Le devenir de la ZAD exige d’être innovant en n’excluant personne, avec les agriculteurs historiques, et les «?néo-ruraux?» qui cultivent des salades à cet endroit-là, explique Michel Badré. Nous préconisons un système avec tous les organismes agricoles, un mécanisme de gouvernance pendant 2 ou 3 ans. Rien n’est gagné mais ce n’est pas irréaliste?».
Le cas des zadistes plus radicaux?? Si ce mécanisme se fait, les médiateurs parient sur l’alliance des ex-opposants?: «?On entend déjà des discours qui se désolidarisent des actions violentes. Sans prétendre que ce sera simple, on pense qu’il est possible d’isoler ces gens-là, pas si nombreux.?» Soit ils partent d’eux-mêmes, soit par un usage modéré de la force.
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https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/notre-dame-des-landes-la-zad-n-aurait-jamais-du-exister-5462903
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Bientot l’institution/marque ‘ZAD’ coude à coude avec la préf et les medias…
Faut bien être plus anar’ que zadiste en ces jours ci,mais bon l’embrigadement n’etait jamais notre truc… a voir si tous les ptits pouvoirs sont renversés avant que le grand arrive.
Au final en publiant cet « APPEL » (sic!)la Freuz vient de sauver la zad tout en signant son propre arrêt de mort, mais pas comme elle l’imaginait, face à la bleuzaille, mais face aux gardiens de la paix de la zad, mouvement de plus en plus large prêt à prendre n’importe quoi en marche, même les wagons du greenwashing.
ça fait plaisir de voir que même à la zad une tradition telle que la délation soit perpétrée. Bravo les loulou!
https://lundi.am/Vigilantisme-super-heros-et-colonialite-du-pouvoir
vers 3 minutes 12, elsa dorlin parle d’un colon français qui théorisait y a 150 ans sur ces groupes de vigilantes, composés de notables et bourgeois, dont le but était de débarrasser l’amérique du nord de ses parasites sous couvert de justice…
ce qu’il y a de bien avec indymedia (qui comme dit plus haut permet à ceux et celles qui ne veulent pas utiliser FB de trouver un excellent palliatif), c’est qu’on peut se faire une idée en négatif de la possibilité de tenir sur le long terme un territoire autonome. Dès qu’un problème se pose, soit tous les trimestres environ, un texte fait l’état des lieux des difficultés du moment :
Parfois des gens font des réunions sans prévenir, d’autres fois ils prétendent au contraire rassembler tout le monde. Parfois des gens s’organisent collectivement en prenant le temps de régler les problèmes plutôt que de choisir la voie des rapports non-médiés (qui se résume souvent à l’alternative fuite ou baston). Parfois des gens réfléchissent à l’avenir de la zone en cas d’abandon du projet. Parfois, comme là, quelqu’un n’a rien fait mais va savoir pourquoi une assemblée entière se met d’accord sur le fait que ce n’est plus possible qu’il continue de faire rien sur la zone.
Bref, les réacs qui hurlent à l’anarchie dès qu’on tient éloignés les flics, comme les anars qui hurlent à la réaction dès qu’on s’organise, brassent pas mal de vent, si on rapporte le nombre de leurs coups de gueule à une occupation qui tient depuis 10 ans, qui est en passe d’obtenir une des rares victoires des luttes de ces dernières années et qui a fait avancer l’autonomie sur bien des plans.
Ceci est à garder en tête après la lecture de cet article, qui pourrait sans cela donner juste envie de lâcher la défense de se territoire en se disant « ben mon coco, si tu veux vraiment faire la révolution avec tes trentes potes avec qui tu devrais finir par t’embrouiller sous peu, vas-y mais ça sera sans nous »…
un commentaire a été invisibilisé : il y a une très grosse différence entre
– la critique
– la délation
– la négation
la première a sa place sur indymedia
les deux autres, même si tout le monde ne semble pas avoir la même défnition, n’ont pas leur place ici
par exemple, critiquer des groupes qui n’ont pas vraiment de nom mais des lieux de vie, ce n’est pas de la delation mais de la désignation de groupes politiques
autre exemple : dire que la personne qui a été banie n’a rien fait c’est de la négation et c’est juste insuportable et méprisant pour ses victimes, mais critiquer le processus qui a mené à son banissement et la forme que celui peut prendre, oui, c’est possible
c’est grave de séparer les deux choses, mais c’est pas hors charte, quoi que les modos puissent en penser sur le plan personnel
je ne vois pas le rapport entre ce qui est donné comme explication à l’invisibilisation de mon commentaires et ce qui le constituait. il ne parlait pas du tout de délation, il se contentait de critiquer la critique du bannissement (et un peu indymedia aussi il faut le reconnaître, qui comme sous-entendu dans un com précédent est un peu un palliatif à facebook pour le milieu radical).
Mais peut-être que j’ai loupé quelque chose du principe des commentaires, et que la critique (pas la délation ni la négation) n’y a pas sa place ?
« dire que la personne qui a été banie n’a rien fait c’est de la négation et c’est juste insuportable et méprisant pour ses victimes »
euh, il faudrait peut-être bien lire les commentaires avant de les supprimer, la phrase qui dit que la personne « n’a rien fait » est évidemment ironique, c’est une manière de critiquer le texte ci-dessus qui passe sous silence les raisons qui ont poussé à son éloignement de la zad…
commentaire revisibilisé après explication mais ce qui est une ironie évidente pour l’auteur ne l’est pas forcément pour d’autres.
Ce texte semble déchainer les passions et les questions autour de sa modération. On prépare donc un texte pour expliquer notre point de vue.
Un commentaire a été invisibilisé parce que si on est pas dupe sur la non-dénonciation des pratiques d’Y.par la Freuzière, on pense aussi qu’il faut pas que de détails personnels. ça n’enlève en rien de la possibilité d’une critique de fond hein.
Pour expliquer pourquoi le texte « De ce qui se passe à notre dames des landes… » a été validé et pourquoi, même refusé, il serait de toute façon toujours en ligne, quoi qu’on en pense individuellement.
L’article est certes assez malhonnête une fois qu’on connaît l’histoire plus en détail puisque les auteur.e.s ne prennent à aucun moment le temps d’évoquer ce qui a pu déclencher cette réaction et pour quelles raisons iels défendent une personne qu’un groupe veut expulser de la zad.
C’est donc un article seulement à charge, et c’est bien entendu volontaire, mais nous n’avons pas en tant que modos à juger de ce que devrait contenir un texte pour mieux le contextualiser, nous basant seulement sur le respect de la charte. D’autant que le texte ne présente pas non plus à l’inverse Y. comme une personne n’ayant absolument rien fait. Si cela avait été le cas, nous aurions alors eu une raison claire de le refuser.
En l’occurrence nous avons pensé qu’aucun nom de personne n’étant cité, c’était en soit un texte d’occupant.e.s de la ZAD critiquant des pratiques d’autres occupant.e.s, comme il y en a eu bien d’autres… Dans ce cas-ci, portant sur la modalité de la participation à la médiation et, surtout, quand au mode de prise de décisions sur la zone. Le texte nomme des lieux comme d’autres nomment « la zad », cela ne signifie pas que les lecteurices goberont que les habitant.e.s de ces lieux ont une position unique dans cette histoire comme sur le reste.
Oui la critique c’est pas toujours simple à encaisser. Parce qu’y répondre honnêtement, sans mépris, sans racourcis, oblige à sortir de sa zone de confort. Ca oblige à se rappeler que d’autres mondes existent. Et ici, dans ce cas précis, ça oblige certaines personnes, qui ont dû faire un choix de régulation difficile, à endosser un fonctionnement criticable d’autres personnes dont iels ne sont pas responsables. Malgré toutes ces limites, il y avait largement moyen d’apporter la contradiction à ce texte sans révéler de faits, largement de quoi démonter le confusionnisme sans tomber dans son piège. Les commentaires sont justement là pour corriger ou compléter une information. D’ailleurs d’autres occupant.e.s ont participé à la discussion. Si certes personne d’autre que les auteur-trice-s ne semblent défendre Y., la volonté de faire disparaitre ce texte semble loin d’être générale.
Nous pensons par ailleurs que peut importe qu’indymedia existe, la parole aurait fini par surgir dans l’espace public. Elle l’a fait d’ailleurs sur d’autres réseaux. Et précisons que seule deux personnes ont pris le soin de nous envoyer des mails, la première deux jours après parution du texte, semblant partir du principe que nous savions dans les détails ce qui se passait, la seconde seulement il y a quelques jours. Faut-il rappeler que nous avons un email collectif auquel il est possible d’écrire, plutôt que d’essayer de nous contacter par des moyens individuels détournés ?
Les faits ne sont pas anodins, nous n’en nions pas la gravité ni l’effet de tension ou de peur qu’ils ont sans doute généré et ne défendons en aucun cas une personne, un groupe, dans cette affaire. Seulement, si indymedia permet de témoigner des luttes sociales, c’est notamment aussi pour permettre de porter des critiques en son sein. Pour ce qu’on en sait, ce n’est pas ce texte qui met en danger les lieux cités, les faits étant connus sur place et donc facilement trouvables par qui le veut. C’est par contre la Freuzière qui s’expose particulièrement avec sa publication.
Pour qui prend le temps de ne pas consommer le site mais s’interresse à son fonctionnment ( https://nantes.indymedia.org/pages/indymedia ), base indispensable à toute critique, nous sommes explicites sur le fait que chaque publication est à prendre avec du recul et un esprit critique (comme toute info, d’où qu’elle vienne). En dehors de propos textuellement opressifs, nous ne pouvons pas faire la modération sur des choses qui ne sont pas dites, que nous ne savons pas ou, plus complexe encore, qui « ne doivent pas être publiques ». Nous ne sommes ni journalistes ni mentalistes: nous ne pouvons pas toujours savoir, quand un texte est publié, la part de vérité qu’il contient, d’autant que celle-ci est souvent subjective. Et nous ne pouvons avoir pour rôle de révéler ce qui ne peut l’être.
Confondre l’outil et le texte, le messager et l’auteur, le support et l’intention, ce sont des travers qui existent depuis la nuit des temps. Mais la défense de l’open-publishing ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Publication_ouverte ) devient chaque année plus âpre tant la volonté de maitriser les « informations » sert de prétexte à la canalisation de la pensée.
L’open-publishing, qui fait que le texte serait visible même s’il était refusé, c’est l’exact opposé de la campagne de communication actuelle des Macron, Facebook, Google (ou de certains groupes politiques). Au prétexte de lutter contre les « fakenews », leur véritable action consiste à choisir ce qui est vrai ou faux à la place des autres, au lieu de donner des outils, des idées, montrer des divergences et permettre aux gens d’apprendre, de choisir, de questionner, douter, bref aiguiser leur esprit critique. Et c’est précisément une des bases de ce site et un des jalons nécessaires vers l’émancipation que nous essayons, comme d’autres, sur la zad ou ailleurs, de promouvoir dans nos actions.