0101 Les vraies raisons de la crise et sa résolution
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La crise a ses raisons que la raison libérale ignore ou bien conduit…, en tout cynisme. , celle :
– des économistes de renom qu’acceptent les médias,
o qui avec assurance bafouillent des inepties ou régurgitent avec prestance ce qu’ils ont appris

– des médias eux-mêmes ignares et/ou trouillards qui n’invitent
o que les sommités imposées
o ou les « élus » incontournables, ceux que le public a choisis, qui feraient perdre des parts de marché aux médias …, s’ils ne les invitaient pas !

– des politiciens actuels qui applaudissent leurs partis politiques, leurs Etats ou leurs banques centrales
o Quand ils sortent de leurs chapeaux des milliards de dollars ou d’€uros
§ Comme si ils existaient déjà et qu’ils les tenaient cachés
§ Alors que tous les pays sont eux-mêmes endettés !
§ Et que l’argent est toujours créé ex-nihilo par les banquiers qui s’enrichissent

– et d’autres…, ignares…, charlatans…

L’analyse amène à considérer que la crise des banques, de l’immobilier, des monnaies, de l’automobile et du commerce en général, etc., est la conséquence :

– d’inconséquences
o que les chevaliers blancs du Pouvoir :
§ font semblant de comprendre
§ veulent châtier alors qu’ils sont (sans s’en rendre compte ? …, alors qu’ils ont pris la direction des affaires d’Etat ?) les seuls responsables,
§ semblent découvrir avec indignation…, comme s’il s’agissait d’une bombe d’Hiroshima lancée par des agresseurs…, sans se rendre compte qu’ils sont eux-mêmes ces agresseurs.
– ou de malhonnêtetés
o que les chevaliers blancs du Pouvoir :
§ connaissaient quand ils ont tenu les rennes de l’économie notamment aux finances
§ font semblant de découvrir…, s’ils sont bien ce qu’ils disent, savants en ECONOMIE.
§ expliquent en rejetant la faute sur des boucs-émissaires situés hors de leurs réseaux.

Les raisons de la crise sont de 2 ordres :

A/ Les raisons « opératives » dites mécaniques.

– La quantité d’argent en circulation est devenue insuffisante. l’Offre de bien et services a en face d’elle une Demande désargentée. Les produits et services rendus ne trouvent pas acquéreur. Les facteurs créatifs du manque d’argent en circulation s’articulent en spirale dépressive :

o 1/ Le chômage dû au progrès : les salaires sont tirés vers le bas car :
§ les sans emploi acceptent de travailler à un salaire d’esclave pour survivre,
§ les salariés acceptent la baisse de leurs rémunérations par peur de tout perdre ou au moins leur « essentiel ».
§ les chômeurs sans argent deviennent « mécaniquement » incapables d’accéder à l’Offre pourtant pléthorique (de moins en moins depuis que l’Etat organise la pénurie en ne faisant pas d’Economie) ce qui désargente en cascade les vendeurs
·
o 2/ Qui met sur la touche les petits commerces, jusqu’à leur disparition en obligeant les citoyens peu riches à « consommer » à moins cher
§ Ce qui enrichit les trusts dont font partie les grandes surfaces
· Qui peuvent ainsi contraindre leurs fournisseurs jusqu’à les asphyxier en leur faisant grossir le nombre des exclus,
§ Et oblige les acheteurs à consommer de plus en plus des produits de basse qualité.

o 3/ Les banques ne retrouvent plus le « principal », l’argent qu’elles ont prêté car :
§ Les emprunteurs ayant des revenus en baisse ou quasi nuls, sont obligés de gré ou de force de vendre leurs biens achetés à crédit. N’ayant en face d’eux que d’autres personnes désargentées, l’argent reçu des ventes par les banques ne couvre pas le « principal » qui est l’argent prêté.
L’argent récupéré par les banques ne couvre pas non plus les intérêts de retard ni les pénalités souvent ENORMES que nos députés, abominables désintéressés des problèmes de misères, leur ont donné le droit de percevoir jusqu’auprès de la plus lointaine caution.
– Conséquemment au reventes à perte ne couvrant pas le montant des sommes prêtées :
o 1/ Les actifs représentatifs des fonds réels des banques s’écroulent en cascade avec les bénéfices des investisseurs qui se réduisent ou se transforment en pertes.
§ Ce qui réajuste la valeur des actions fondées sur la rémunération qu’on en obtient et qui en conséquence s’écroulent.
o 2/ Les petits investisseurs perdent leurs économies et les institutionnels capitalisent, espérant rebondir au sortir de la crise, dans le rachat des entreprises en difficulté ou en faillite qu’ils récupèrent pour presque rien.
§ Ce qui entraîne les restructurations qui créent des compressions de personnels
· Ce qui amoindrit encore les capacités d’achat de la Demande globale…, de moins en moins riche.
· Ce qui expatrie les sociétés vers des cieux plus propices,
· Ce qui assassine notre équilibre I.O.S. et consolide le manque.

Le drame est annoncé.

B/ Les raisons « spéculatives » encore appelées de « confiance »
– Les investisseurs qui ne s’intéressent pas aux services que rendent les biens créés sont toujours des spéculateurs. En pariant sur la croissance des sociétés de leurs choix, ils font croître la masse monétaire qui les enrichit. Ils la font décroître et monétairement s’appauvrissent si la santé affichée des entreprises est mauvaise.

– Mécanisme de la croissance monétaire due aux investisseurs.
– Les investisseurs font croître la masse monétaire :

Quand ils achètent à la hausse les valeurs mobilières (dans une bourse de valeurs), quand ils achètent et vendent en cascade et en gains, le schéma de fonctionnement créatif de monnaie en « cascade de gains » est le suivant :

a) Considérant des possesseurs de titres appelés A,B et C qui ont respectivement des titres ‘’a,b et c’’ valant chacun 100 €uros,

b) Considérant que ces sociétés sont en bonne santé financière, que cette dernière soit vraie du fait de leurs rendements financiers habituels
– dus à l’efficacité de leurs stratégies « commerciales »
– ou bien espérée du fait de l’espoir de gains qu’elles suscitent,
§ dus à l’apparence de leurs efficacités stratégiques,

c) Considérant que les réputés investisseurs que sont les boursicoteurs fondent leurs avis et changent de placements en actions en fonction des bilans affichés par les sociétés et que ces bilans sont positifs,

d) Considérant que A achète ‘’b’’ à 120 €uros, que B achète ‘’c’’ à 120 €uros, et que C achète ‘’a’’ à 120 €uros,

RESULTAT : la valeur de a + b +c sera passée de 300 €uros à 360 €uros. Si A a emprunté 120 €uros pour acheter des titres ‘’b ou c’’ il pourra rembourser ces 120 €uros à la banque dès que C lui aura acheté à 120 €uros ses titres ‘’a’’ initiaux. En un tour de main, la masse monétaire aura augmenté un tout petit peu en les enrichissant, sans apport de valeur ajoutée, et l’enrichissement ad hoc des possesseurs de titres a augmenté de 20%.

– Ils font symétriquement décroître la masse monétaire :

o quand ils achètent et vendent en cascade de pertes…, ce qui est le cas de la « crise » actuelle…, qui est la normale réaction à la baisse des revenus chutant pareillement en cascade, la valeur des actions étant notamment fondée sur le revenu qu’elle procurent.

L’accompagnement de la pléthore monétaire qui et que « mécanise » la spéculation (tel un chien qui court après sa queue en allant de plus en plus vite) s’appelle en matière dite économique et en réalité strictement monétaire : la confiance…, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de rapport entre la masse d’argent circulante pouvant financer l’Offre et la capacité des non-spéculateurs d’accéder à la Demande…, incapables d’acquérir l’Offre existante… qui ne peut que mécaniquement diminuer et faire s’écrouler les entreprises productrices…, ce qui transforme la confiance en défiance.

S’agissant de l’immobilier, du fait des chutes de pouvoirs d’achats, l’argent des biens vendus
– n’a plus correspondu ni « couvert » l’argent prêté
– s’est retrouvé inférieur au coût de la construction

Les bien à revendre mis sur le marché étant moins chers que le prix de la construction, le prix de la construction étant plus élevé que l’achat d’immobilier ancien, les entreprises de construction doivent à leur tour fermer leurs portes. Tous les corps de métiers et sous-traitants sont touchés à leur tour.
Sans salaire ni revenu, les masses mises au chômage n’ont plus de quoi se loger, circuler en voiture et parfois même se loger ni même manger etc… Les investisseurs et les spéculateurs qui pariaient habituellement sur la croissance des sociétés de leurs choix qui n’ont plus le rendement escompté et parfois plus de rendement du tout ; et qui voient leurs valeurs boursières s’effondrer, vendent et engendrent la dégringolade en cascade.

Le mécanisme de la dégringolade

Les spéculateurs dans l’âme n’ont souvent pas accès aux informations vraies des situations financières et commerciales des entreprises. Ils se font avoir par des annonces de ventes et de rachats, de marchés subitement porteurs…, qui hélas et normalement, faute de clients, s’écroulent etc.., Croyant à leur flair ou à des spécialistes comme Didier le M. (le Figaro du 8 octobre 2008), ils espèrent se récupérer sans prendre en compte qu’on ne se sort jamais d’une spirale dépressive. Ils réagissent donc :

– en vendant et achetant en cascade à perte et en voulant se protéger avant l’éclatement redouté. Puis fatigués de tant de pertes, les premiers ou mieux informés quittent la sphère spéculative
– en se réfugiant sur le rare et le dur quasi gratuits du fait de l’insolvabilité de l’ensemble des vendeurs dans TOUS les domaines. Nous sommes à la veille de revivre une nouvelle crise et possiblement une déconfiture générale qui remet les compteurs à zéro pour tous les fournisseurs de valeurs ajoutées, les spéculateurs ayant fait préalablement leurs réserves de néo-monnaie…, des biens rares et du « solide » qu’ils ont acquis avec la monnaie de singe. Il peut se passer un équivalent …..// ®§
o à l’après crise de 14-18 où l’acquisition de bons russes échangés contre l’or ruina les trop crédules patriotes,
o à l’après-guerre 39-45 où, faute d’argent circulant, les combinards se firent des fortunes….,
®§ … jusqu’à, cette fois, la déconfiture du système mondial.

– Même si l’on doit s’attendre à des rebondissements et moments d’euphorie, notamment du fait de l’injection prévue de capitaux dans la sphère bancaire, si l’Etat poursuit sa gestion financière du partage au lieu de la faire économique avec les moyens de l’Inoppression Active, la fin du libéralisme qui sacrifie tant d’Etres Humains est INELUCTABLE.

AUTRE PRESENTATION DE LA CRISE sous l’angle des « CLIMATS »

Les CLIMATS de « CONFIANCE » ou de « DEFIANCE » sont considérés comme indépendant des choix humains. Ces spirales encore appelées « généreuses » et « dépressives » sont considérées à tort comme des cyclones incontrôlables. L’analyse OBJECTIVE oblige à constater qu’il y a de vraies raisons pour que la spirale généreuse se transforme en spirale dépressive : quand l’argent manque :

– 1/ dans les poches des individus initialement solvables, investisseurs à crédit rendus insolvables :

o par leur remplacement au travail par les machines du progrès
o par les prêts accordés par les banques
§ qui n’ont pas tenu compte du rapport prix de construction/prix de vente,
§ qui n’ont pas tenu compte de la valeur du Bien financé jusqu’à 120% du prix de vente déjà surfait
§ qui n’ont pas tenu compte de la pérennité des revenus des emprunteurs, et parfois même de leur endettement antérieur.
§ qui mettent en branle la spirale dépressive….//®§ :

· en récupérant moins d’argent que l’argent en principal prêté, fut-ce avec les ventes aux enchères des biens des cautions qui se retrouvent parfois dramatiquement ruinées,

§ ®§ //… ce qui élimine comptablement leurs bénéfices
· ce qui avec la loi boursière du prix fixé en fonction de l’accord des parties fait chuter la valeur des actions des bourses de valeurs mobilières
§
– 2/ dans les poches des citoyens exclus de la production par le progrès, initialement insolvables avant la crise, candidats à leur seule survie mais qui….//®§ :

o avec le libéralisme ambiant, son climat de jalousies, suspicions et culture de l’égocentrisme
o avec les prestations servies par des Services Publics démunis face aux réels besoins,
o avec l’interdiction de travailler sans entrer dans des contraintes :
§ qu’ils ne peuvent pas assumer à cause de leur manque d’argent,
§ qui n’autorisent pas le travail sans charges préalables et à posteriori que sont les charges d’installation, les charges sociales et les charges fiscales

– ®§ //… n’ont plus les moyens d’acquérir l’Offre existante proposée, à cause de leur manque d’argent.

La conclusion qui s’impose est que c’est le manque d’argent circulant auprès de TOUTE la population qui est à l’origine de la spirale dépressive qu’on appelle perte de la CONFIANCE ou DEFIANCE.

Le refus d’appliquer la nouvelle formulation des échanges explicitée sur ce site http://www.critiqueduliberalisme.com nous amène MECANIQUEMENT et INEVITABLEMENT à une implosion de l’ensemble du système des pays dits développés…, les nôtres.

Savoir «que faire» et «comment faire» (explicité aux autres chapitres de notre site)

Si l’on veut établir la Justice et l’Honnêteté, la sortie de crise ne peut se faire que si tous les citoyens éliminés de la participation à l’Offre par le progrès qui les a mis au chômage et abandonnés sans argent, sont ENFIN dotés d’argent selon la méthode d’Inoppression Active explicitée dans nos colonnes. Cela permettra :
– à TOUS les citoyens, de pouvoir consommer les produits faits de plus en plus par les robots qui ont remplacé le travail humain, produits dont la qualité sans être bonne permet toutefois de survivre,
– aux artisans sérieux et aux producteurs sains (bio) de produire et de créer, ce qu’ils feront dès qu’ils auront en face d’eux des acheteurs « argentés »

ce que GARANTIT la cohérence Economique d’Inoppression Active.

Si l’on veut encourager la Justice et récompenser l’effort qui sert la communauté, il faut que la même dotation d’argent serve CHAQUE citoyen travaillant ou non, indépendamment des revenus de son travail. Choisir de ne donner qu’aux pauvres est à la fois
– injuste car le progrès appartient à tout le monde
– et stupide parce que cela entraînerait la réintroductions des contrôles. Ce qui caractérise l’idéologie d’Inoppression Active est la suppression totale de tous les contrôles préalables et a posteriori.

Servir une rente de 1.000 €uros/mois à chaque citoyen adulte rend enfin possible l’universalité des échanges. La mesure est facile à mettre en œuvre si l’on passe de la gestion comptable du partage, à la gestion Economique qui s’opère en activant seulement la fréquence des moyens d’échanges.

La dotation mensuelle de ce petit dividende du progrès que sont les 1.000 €uros mensuels, qui se trouve financée SANS AUCUN PROBLEME, a comme effet :
– d’établir la justice dans la perception des fruits du progrès qui appartient à tout le monde,
– de construire une saine croissance :
o non plus sur l’exagération de la consommation pour quelques uns, les plus riches,
§ Mais sur de vrais droits pour chaque citoyen…, dont les actuels exclus…, enfin !
o sur la qualité de la consommation.
§ avec la possibilité nouvelle de consommer du « sain » et non plus seulement d’infectes rations de survie.

Précaution indispensable :

La mise en mouvement (impôts/prestations servies) de sommes d’argent selon la méthode d’Inoppression Active est strictement contrôlée. – l’Etat pouvant avoir autant d’argent qu’il le souhaite, ne peut pas en faire en quantité exagérée qui mettrait à mal l’ECONOMIE au sens étymologique du terme c’est à dire le partage. Sans les règles de l’Inoppression ACTIVE, il serait inévitable de tomber dans l’inflation si trop d’argent était mis en circulation face à l’Offre existante (c’est ce qu’a fait Hitler…, indépendamment de sa folie meurtrière).

Le bon recyclage impôts/prestations est celui qui permet de moduler le pouvoir d’achat mensuel de chaque citoyen en fonction de la réalité de l’Offre, explication :
– En faisant tourner un billet de 500 Euros, une fois ou 2 fois ou 3 fois ou 4 fois etc., dans un temps fixé donné, le mois par exemple, le pouvoir d’achat passe de 1 fois, à 2 fois ou 3 fois etc… La seule obligation pour l’Etat est de s’assurer qu’avec l’argent dont il dispose, le citoyen ne va pas enclencher une inflation, ce qui arrive automatiquement répétons-le, si l’Offre est inférieure à la Demande.

Les solutions « mécaniques » du Pouvoir, les bonnes et les moins bonnes

Face aux crises successives, la solution de non-intervention Economique a jusqu’à aujourd’hui prévalu.

Face aux effondrements des valeurs boursières et à l’intrusion de monnaies de singe, constitutives de valeurs mobilières qui grimpent, les gouvernants peuvent faire des réformes qui vont :
– de l’absence d’un bon choix …, ce qui semble le chemin qu’ils prennent comme s’ils ne savaient pas comment marche l’Economie…,
– à l’excellence du choix …, qu’est l’Inoppression Active.

En s’attaquant à réduire les conséquences de la crise financière pour les investisseurs et en se limitant à garantir la réalité des dépôts des épargnants, le gouvernement ne prend en compte que le risque de pertes des acteurs de la spéculation qu’il s’empresse d’atténuer, sans considérer que l’origine de la déroute est le manque d’argent des citoyens qui ne peuvent plus faire face aux engagements qu’on leur a fait prendre.

Les interventions des financiers et des politiciens qui se contenteraient d’injecter des fonds dans le système bancaire, auraient évidemment un effet immédiat, mais ne peuvent pas avoir d’effet à long terme car l’origine du marasme est bien l’incapacité financière des citoyens.

Injecter des fonds pour « sauver » le principe spéculatif boursier ne peut pas permettre de sauver la bourse et l’argent des « investisseurs », pour la bonne raison que même avec des banques « prêteuses », ces dernières ne pourront prêter qu’à des sociétés qui ayant de moins en moins de clients, seront incapables de rembourser le nominal prêté.

Si l’Etat dote les banques, les spéculateurs qui trouveront des sociétés avec des bilans positifs avec des taux de rendement apparents parfaitement alléchants pourront se réjouir un temps. Ils pourront même transformer leur nouvelle santé financière en investissement solide que constituent les biens de néo-monnaie.

MAIS, toute vente d’actions, comme de tout autre chose nécessitant la présence d’acheteurs en face de soi, soit les banques auront reçu l’ordre de racheter leurs propres actions, soit elles essaieront de trouver dans leur clientèle les gogos enthousiasmés par le nouvel élan que la bourse ne manquera pas d’afficher…, jusqu’à ce qu’ils s’aperçoivent qu’ils ont achetés des entreprises qui ne peuvent que faire faillite faute de clients…, faute de citoyens argentés. Seules des réinjections clandestines successives peuvent sauver un temps la valeur apparente et fausse des valeurs mobilières.

Si avant l’effondrement, Nicolas Sarkozy a l’intelligence de comprendre où le bas blesse et s’il est honnête, il peut éviter l’effondrement de la production en mettant en place le bon recyclage qu’est la méthode d’Inoppression Active prenant en compte le progrès en dotant les citoyens.

Si Nicolas Sarkozy veut conserver le recyclage obsolète d’avant pléthore, potentiellement utile à l’époque où l’on avait besoin de toute la population pour créer l’Offre, où donc tout un chacun avait de l’argent…, et où les services publics n’avaient pas à être sociaux…, tout en pouvant l’être…, et en l’étant sans difficulté…, alors l’effondrement de la production est INEVITABLE.

Nicolas Sarkozy qui avait entrevu avant d’être président la réalité des problèmes de trésoreries des citoyens, (avait-il lu de Gaulle qui avait bien vu ?), zappe aujourd’hui et à tort pour allumer la chaîne « finances » à sauver en priorité…, en injectant des fonds, en alourdissant notre tour de Babel.

S’il se limite à financer les banques, s’il ne fait que cela, ce n’est pas seulement la production nationale qui va s’effondrer, la catastrophe Economique est CERTAINE. Les citoyens se trouveront sans production nationale et sans argent. Dans ce cas, faites des réserves d’or, camarades !! …, de livres anciens, d’œuvres vraiment d’art, de voitures de collection… ; c’est cela, avec un maximum d’argent, devenez collectionneur de l’indispensable et du RARE…., et cultivez votre jardin.

Faire le bon choix. Tout n’est pas forcément perdu !
Si l’on veut faire des réformes et arrêter PONCTUELLEMENT la crise, il faut d’abord remettre de l’argent dans le circuit de l’Offre et de la Demande.
Cela peut se faire
A/ par la création permanente d’argent si l’on conserve le système libéral de mauvais recyclage
– avec l’inconvénient que représente l’augmentation artificielle des valeurs des actions et l’octroi de prêts bancaires aux seuls plus riches, (s’entend) ce qui crée une accumulation d’argent

o qui permet aux riches et aux enrichis de disposer de l’argent reçu :
§ soit de façon altruiste, en aidant concrètement les plus démunis. Hélas les riches oublient souvent les pauvres dont ils ne veulent pas le malheur mais qu’ils se contentent de plaindre quand ils meurent de faim,
§ soit de façon égocentrique, ce qui promeut seulement la création de l’Offre de l’exceptionnel servant aux riches à se gaver…, en oubliant le nécessaire aux non nantis…, ce qui réduit voire anéantit la production d’Offre nécessaire à l’ensemble de l’humanité et fait crever en premier les plus pauvres. Ne soyez pas choqué « crever » de faim est la bonne expression – cherchez plutôt en conscience si ce mot est choquant… , et si c’est le cas, faites qqch pour que 2 tours Manhattan ne s’écroulent plus chaque heure. CHAQUE HEURE 3.600 Etres Humains dont 1.200 enfants – CHAQUE HEURE – meurent de faim dans cette société de pléthore que l’on détruit…, jusque dans notre quart monde ! CHAQUE HEURE ! s’en rend-on compte…, sans ce fracas de fin du monde qu’ont fait une seule fois en s’écroulant les 2 tours…, 3.600 morts de faim CHAQUE HEURE, dans le silence parfait de leur abîme…, CHAQUE HEURE !
o
o qui aboutit
§ logiquement à des inflations sectorielles dues à l’apport d’argent aux spéculateurs toujours avisés, et à des « tassements » successifs du système libéral sur la pauvreté généralisée. L’argent créé ex-nihilo par les banques ressemble aux superstructures d’une tour de Babel que l’on charge de plus en plus sans pouvoir toucher aux fondations trop embourbées.
§ inévitablement à l’écroulement global du système libéral, la construction supérieure étant trop lourde et écrasant les fondations.
· c’est ce qu’on appelle pudiquement les crises de ceci et de cela et d’autre chose et encore de ceci puis de cela et ça n’en finit plus…

Le choix de nos gouvernants, de nos députés trop heureux de l’être et acceptant d’être mercenaires pour se servir eux-mêmes en servant le système libéral plutôt que les citoyens est soit :

– Involontaire et irresponsable : c’est semble-t-il le cas actuel avec la dotation de l’Etat aux banquiers priés de prêter de l’argent aux entreprises et aux particuliers…, « mécaniquement » incapables à terme de rembourser le principal prêté. L’attitude de l’Etat est d’autant moins responsable :

o qu’il emprunte aux banques pour doter leurs propres sociétés de crédit, voire elles-mêmes
o qu’il prend le risque à la place des prudentes banques qui ne veulent plus prêter…,
o qu’il apporte la garantie de l’Etat, c’est à dire la garantie des citoyens à qui l’on devra logiquement demander de payer l’addition.
Mais à l’analyse, ne convient-il pas de penser qu’il s’agit d’un autre choix ? :

– volontaire et réfléchi : car dans les faits, l’Etat emprunte à des banquiers qu’on appelle « marchés financiers » qui, puisque ce n’est pas l’Etat qui est créateur d’argent, ne sont autres que les banquiers eux-mêmes. Pour organiser la gestion de cet emprunt, l’Etat crée la «caisse de refinancement des établissements de crédit» la CREC qui n’est donc qu’un intermédiaire des banques.

Officiellement l’Etat (via le Figaro) nous dit : Quand les banques auront besoin d’argent frais, elles apporteront à la caisse de refinancement des actifs type prêts à la consommation…, comme si l’argent emprunté
– ne l’avait pas encore été (on paierait donc aux banquiers prêteurs des 320 MM un intérêt pour rien)
– serait prêté contre des actifs sains, ce qui veut dire que les banques acceptent de ne conserver que les moins mauvais actifs ! Il est bien entendu que si elles le font, si elles simulent l’obligation de le faire imposée par Nicolas Sarkozy, c’est parce qu’elles sont couvertes en amont par l’emprunt de 320 MM que l’Etat leur a demandé.…, de quoi déshabiller les citoyens sans faire prendre aucun risque aux banques qui avant l’écroulement fatal ont le temps d’investir et préparer leur fuite avec la néo-monnaie et pourquoi pas…, les armes.

Car on doit réaliser que « les banques » ou « le marché financier » sensé représenter une masse indéfinie, représentent, cachés derrière ces vocables, des propriétaires qui phagocytent le Monde, qui ont un nom et une adresse. Certains sont les Hitler des temps modernes. Leur solution finale, ce sont les 3600 morts de faim chaque heure…., que par complaisance, ignorance ou lâcheté nous laissons faire : nous élisons toujours les mêmes députés qui obéissent aux partis phagocytés et non pas des citoyens responsables comme vous et moi qui n’avons même pas droit à la parole.

Nous laissons les spéculateurs du faux financement bancaire des concurrences jouer au monopoly. La règle libérale que nous promouvons en élisant les membres des réseaux, dont politiques, donne des ailes aux objétiseurs égocentriques : C ’est à qui avale un concurrent plus faible, sans s’occuper des dommages collatéraux que sont les anéantissements des avalés et des vies des plus pauvres (clients, salariés et simples citoyens)

L’actuel sauvetage des banques et des sociétés d’assurance où l’on injecte des capitaux, ressemble à une injection de tonnes de béton au sommet de notre tour de Babel, comme pour sauver les habitants des plus hautes sphères, les grandes entreprises dont bancaires dont font partie les fauteurs de troubles qui espèrent que « ça » va tenir un temps (celui de leur vie sans doute)

L’actuelle faiblesse de structure est comparable à la solidité relative de 2 tours un certain 11 septembre, sacrifiées conformément à un scénario ultra publicité, organisé selon certains (http://www.voltairenet.org/)

B/ Cela peut aussi se faire de façon immédiate SANS ETRE pérenne :
Sans chercher à intervenir dans la sphère libérale de création d’argent et des échanges, en «mouvementant» plus rapidement une toute petite partie de l’argent existant créé, en appliquant partiellement la mécanique d’Inoppression Active.

Le pouvoir n’a pas d’autre sage solution que celle de sortir du système de recyclage fiscal/social libéral et de mettre immédiatement en place le recyclage fiscal/social de l’Inoppression Active qui n’a pas besoin de sur-création monétaire ni de créer de surcharge fiscale augmentant les taux des transferts, et bien au contraire en les diminuant mécaniquement, ce qui présente ENTRE AUTRES comme avantages :

– de n’être plus obligé d’inventer de grosses ficelles du style : «on a un stock d’argent disponible pour sauver le Monde», ou encore « on a une solution miracle pour sortir de l’impasse » grâce aux banques et aux trusts indispensables…, alors que TOUT LE MONDE est endetté par l’organisation mondiale du profit dont font partie les hommes de tous les réseaux du système en général…, et des banques en particulier. Cette rustine qu’est le refinancement a pour particularité :

– de secourir une minorité de citoyens dont les parieurs actionnaires des banques et des trusts

– d’alléger toutes les surcharges pondérales :
o celle de la dette morale des trusts phagocytaires macrophages,
o celles des entreprises étranglées par les charges et transferts : c’est le principal avantage.

– d’éviter temporairement l’inflation grâce à la libération des énergies vitales offrant :
o des capacités de création massive de l’Offre
o des capacités consuméristes réelles s’accordant avec l’Offre

– de supprimer DEFINITIVEMENT les inquisitions fiscales et sociales des Autorités de l’Etat voire de ses petits chefs n’ayant pas en face d’eux des membres des réseaux,

– de faire tomber les transferts tout en augmentant à une hauteur choisie les liquidités disponibles
o a minima pour CHAQUE citoyen
o AUTANT QUE DE BESOIN pour TOUS les services publics
§ tant que des citoyens sans travail et compétents sont disponibles et disposés (l’Inoppression Active les incite à « être disposés »)
§ et tant que l’Offre (promue) reste supérieure à la Demande.

C/ Cela peut aussi se faire de façon immédiate ET PERENNE en appliquant COMPLETEMENT la mécanique d’Inoppression Active. :
Si l’on veut que l’état de libération soit PERMANENT il faudra encore, indépendamment du recyclage Fiscal/social en équilibre qui fait diminuer les transferts tout en augmentant les capacités financières :
– conduire les règles et arbitrages d’une LOI DE FINANCES GLOBALE de façon

o ECONOMIQUE…,
§ En dotant le Service Public pour qu’il serve parfaitement le citoyen, ce que nous avons démontré facile à mettre en œuvre si l’on accepte la fin des privilèges que sont :
· la vente du Service Public au privé qui sait, en le déshabillant, faire de gros bénéfices; (sans cela, il n’achèterait pas nos entreprises publiques.)
· la direction inhumaine de la haute fonction publique des finances et des « réseaux » amis (politiques, judiciaires et privés) qui objétise le citoyen qui n’est plus qu’un numéro SS.
§ en s’assurant que la Demande dotée a en face d’elle une Offre supérieure (pour éviter toute inflation),
§ en limitant le pouvoir « libre » des banques aux marges de l’Economie : le secteur productif situé en dehors de la sphère de financement du « nécessaire », dont la capacité créatrice LIBRE sera si besoin pré-financé par l’Etat,
§ en déterminant la hauteur de chacun des 3 seuls impôts existants détaillés sur ce site
o ECOLOGIQUE…, car nous ne pourrons vivre sensément qu’en sauvegardant notre fragile environnement et en pensant aux inconnus, Etres humains non encore nés, nos petits enfants.
o HUMAINE…, pour finir par le commencement avec un traité clair sur ce que l’Etat pense et dit, c’est à dire sur l’idéologie fondatrice qu’est son engagement à garantir la Liberté et la Dignité de CHAQUE citoyen.
o Concrète, démocratique, sage, révolutionnairement sans violence. C’est bien là la SEULE mission de nos députés à qui nous confions les moyens concrets de nos destinées.

CALENDRIER DE LA SORTIE DEFINITIVE de l’état de «Crise permanente»

La sortie du marasme, la mise en marche de tous les secteurs créateurs réels ou potentiels de l’Offre, la considération de CHAQUE citoyen…, peuvent FACILEMENT, CONCRETEMENT, (comment faut-il le dire le répéter et le re-répéter pour que les organisateurs du pays s’y penchent), REELLEMENT exister :
– Si sont prises en compte les réalités d’aujourd’hui :
o Une Offre créée par des machines et des hommes libérés du travail pénible
o Une Demande (les citoyens) désargentée et n’ayant pas accès à l’Offre : …..// ®§
§ Ce qui rend de plus en plus pauvres de plus en plus de citoyens (les ex-travailleurs)
§ Ce qui met à mal les entreprises qui ne trouvent plus d’acheteurs
· Ce qui permet le « monopoly » des plus puissants
· Ce qui promeut les délocalisations
o Ce qui… etc., c’est le serpent qui se mort la queue et nous fait passer du cercle « généreux » au cercle « vicieux » tant aimé des spéculateurs…, qui se gavent en « bouffant » du vivant…, comme des baleines à la chasse au plancton.
…..// ®§ … Demande qu’il est facile (REPETONS LE) de doter de la façon explicitée sur ce site
– puisque les « assiettes » des prélèvement fiscaux et sociaux obsolètes seront DEFINITIVEMENT abandonnées :

§ Car le contrôle-esclavage ad hominem n’est plus nécessaire pour fabriquer l’Offre
§ Alors qu’il était considéré utile avant les années 60 et que s’il pouvait l’être, il est aujourd’hui néfaste puisqu’il permet d’appauvrir voire de ruiner des citoyens,
·
o Où l’existant CONCRET nécessite la mise en place d’une ECONOMIE :
§ C’est a dire une ORGANISATION humaine du partage et non plus une organisation financière, ce qui rend le partage IMPOSSIBLE,
§ C’est à dire non-abandonnée au marché
· Car l’entreprise
o n’a pas d’autre objectif sain que de faire des bénéfices
o et n’a donc pas à gérer l’Economie :
· Car l’obligation ECONOMIQUE de moyens et de résultats appartient à l’ETAT SEUL c’est à dire aux représentants du peuple :
o Que sont les députés et les tenants du pouvoir politique qu’ils mettent en place (gouvernement etc.)

N’allons pas rejeter la faute de notre malheur ambiant sur d’autre que nous-mêmes puisque la gestion du Pouvoir est de la totale responsabilités des citoyens qui choisissent leurs représentants qui, depuis le Jeu de Paumes, ont TOUS pouvoirs, les députés.

Le malheur des citoyens qui rebondit sur le Monde résulte du choix des votants
– qui ont jusqu’à présent choisi des députés qui ont choisi, eux…, et égocentriquement, d’être les mercenaires du libéralisme
– qui ont choisi de faire confiance à un Président de la République
o qui avait promis de redonner du pouvoir d’achat des citoyens
o et qui peut le faire FACILEMENT et TOUT DE SUITE
§ en mettant en place la « mécanique » Economique de l’Inoppression Active.

La mécanique simple et compréhensible qu’est la cohérence Economique d’Inoppression Active est le nouveau moteur ECONOMIQUE concret, le plus robuste et LE SEUL ASSEZ PUISSANT pour satisfaire les besoins citoyens

Seuls, nos députés ET le Pouvoir en place ont les moyens d’agir.

Si nos députés incultes ou malhonnêtes (il n’y a pas d’autre hypothèse réaliste puisque le remède existe) ne veulent pas s’embêter à commencer à comprendre comment servir les citoyens, il n’existe aucun autre choix que de nous en débarrasser…, démocratiquement…, en installant les prosélytes de la Liberté et de la Dignité dues à CHAQUE Etre Humain, ces prosélytes ne pouvant être que nous-mêmes.

Tant que le pouvoir des incapables et/ou des voleurs est démocratiquement choisi par le peuple, rien n’est possible…, à moins que subitement, se voyant trop près du gouffre et considérant la chute imminente, Monsieur Sarkozy devienne enfin un Humain politiquement et Economiquement responsable.

Si quelque proche de Monsieur Nicolas Sarkozy lui cache ces informations ou les garde pour lui, par inconsidération ou par peur, par détachement ou intérêt…, qu’il pèse bien le poids de son geste ! Engageons le à abandonner – qui, sa vanité, – qui, sa peur du ridicule – et qu’il œuvre enfin pour :
– que le progrès existant soit profitable à TOUS,
– que la Dignité individuelle et la Liberté de CHAQUE Etre Humain soient légalement établies
– que les empêchements actuels soient considérés pour ce qu’ils sont : une forfaiture.

Le besoin du peuple est URGENT, la réponse doit être SAGE !

Peut-on faire des prévisions

Prévisions à court terme

L’immobilier a été le premier touché car les sommes en jeu sont importantes. La chute sera théoriquement proportionnelle à l’exagération des prix de ventes par rapport aux prix de productions. Un appartement ou une maison qui coûte aujourd’hui 100.000 €uros correspondant à son coût de construction non seulement ne perdra pas de valeur mais en prendra à la sortie de la crise. On peut penser que son prix sur le marché libre, conséquemment aux capacités dotées de la Demande, sera d’environ 200.000 €uros.

Les mêmes maisons valant 300.000 ou 400.000 €uros restent donc presque protégées, notamment si elles sont situées en zones de Demande forte.

Au delà des prix que nous dirons raisonnables en ce qu’il existe un rapport entre le prix du bien et l’agrément d’usage, nous atteignons le domaine spéculatif de l’argent considéré comme valeur ajoutée, ce qu’il ne doit plus être et ce qu’il ne sera plus. En ces mille secteurs courants nous ne pourrons que constater l’effondrement.

On peut penser que pour sauver les amis des « réseaux » de la déroute, l’ensemble des gouvernements n’a pas d’autre choix que d’injecter quelques centaines de milliards de dollars et d’€uros dans le budget des sociétés financières et autres en déconfiture. Cela permet aux banques de se refaire une santé apparente et aux dirigeants des sociétés de ne pas sombrer dans le découragement et le désintérêt de la production d’Offre.

Si cette injection peut empêcher l’effondrement, elle est évidemment incapable de stabiliser les cours qui ne vont pas tenir si l’Inoppression Active n’est pas mise en place. Si l’on peut s’attendre à des variations en yo-yo, le pessimisme pourra être abandonné si le Pouvoir décide la mise en place des dotations citoyennes.

CE CHOIX EST INCONTOURNABLE SI ON NE VEUT PAS L’IMPLOSION

Si l’Inoppression Active n’est pas mise TRES RAPIDEMENT en place, la faillite généralisée est inévitable

RESUME du « COMMENT ça marche » pour ceux qui veulent comprendre sans aller lire les détails dans les autres chapitres de notre site :

– chaque citoyen reçoit 1000 €uros par mois, financés par les recettes de la tva multipliée par 4 dans un premier temps vu l’urgence. Cette recette permet également :
o d’alimenter l’actuelle URSSAF et d’enlever toutes taxes et charges sur le travail
o ainsi que tous autres impôts comme démontré au chapitre mécanique du changement.
o D’augmenter le pouvoir d’achat de TOUS les citoyens et notamment des actuels exclus qui pourront enfin commencer à vivre.
o D’opérer, mieux qu’un moratoire, l’effacement de toutes les dettes financières, fiscales, sociales et bancaires, selon l’antique méthode juive du jubilé, La SHEMITAH : « du repos de la terre à la remise des dettes. »

Démonstration mécanique de la preuve de la faisabilité :

La tva finance aujourd’hui la moitié du budget de l’Etat.
En la multipliant par 4, elle finance mécaniquement ET A ELLE SEULE (plus besoin d’autres impôts et taxes) 2 fois le budget de l’Etat. – (4 fois 0,5 = 2) et permet d’enclencher le versement mensuel des 1000 €uros à chaque citoyen ainsi que le financement de toutes les autres prestations sociales, de la maladie à la retraite.

La dépense des 1000 €uros en cascade financerait environ l’équivalent de 1 budget d’Etat puisque les 1000 €uros dépensés rapportent en tva 400 €uros qui redépensés rapportent eux-mêmes 40% etc.

l’augmentation immédiate des salaires libérés de charges, sans qu’il n’en coûte rien aux entreprises, augmentera conséquemment les recettes de l’Etat de 40% des sommes recettes dépensées, avec la même cascade ci-avant.

La suppression de tous les autres impôts, taxes et charges fiscales, directs et indirects qui représentent le financement actuel de l’autre moitié du budget d’Etat, transformés ainsi immédiatement en pouvoir d’achat rapportant 80% de taxes, libèreraient mécaniquement un budget voisin de 40% d’un budget d’Etat.

et la libération de toutes les activités engrangeraient une croissance certaine d’au moins 5 à 6 % et probablement de 12 à 15 % l’an sur plusieurs années, si l’on se réfère à l’augmentation des taux de croissances constatés dans les pays qui ont seulement diminué leur poids fiscal. (USA notamment).
Compte tenu des capacités réelles de la création d’Offre et de l’inactivité forcée imposée par notre système actuel, la croissance avoisinera probablement les 20 % la première année. En considérant la croissance minima les recettes fiscales complémentaires engendrées seront supérieures à 1 budget d’Etat.

Le financement mécanique de 4 à 5 fois le budget de l’Etat garantit la faisabilité du système d’Inoppression Active.

Si les recettes de l’Etat sont à l’expérience trop importantes, il conviendra de corriger la tva à la baisse et peut être en profiter pour commencer ses modulations comme prévu pour la vivifications des secteurs créatifs essentiels et non polluants.

Il est pareillement entendu que si les recettes de l’Etat sont insuffisantes (pour rembourser rapidement la dette par exemple) pour rattraper les retards de financement convenables de TOUS les besoins public, le taux de tva peut être multiplié par 5 au lieu de 4, ce qui augmente la disponibilité immédiate d’1/2 budget d’Etat et en cascade environ d’une autre moitié.

A l’analyse scrupuleuse des moyens, l’Inoppression Active est une mécanique simple garantissant la Liberté et la Dignité de CHAQUE Etre Humain.

Note 1 : comme il n’existe plus de taxe ni impôt sur le travail et sur l’activité, mais sur la consommation (ce qu’est la tva en réalité) l’appellation TVA est abandonnée pour adopter le nom de Taxe sur la Consommation (T.C.). Il n’y aura d’ailleurs plus de CA3-CA4 CA12 ni de tenues de stocks devenues inutiles.
Note 2 : De facto, avec le financement de toutes les charges par la TC, le travail au noir n’existe plus.
Note 3 : la TC perçue au moment de l’achat d’un produit par le citoyen sera immédiatement versée à l’Etat. Tout manquement à cette obligation (seul un contrôle des tickets en temps réel sera exercé), pourra valoir interdiction définitive de commercer.
Note 4 : 3 seuls impôts existent en remplacement de TOUS les actuels prélèvements ; la Taxe sur la Consommation, la Taxe sur la Fortune pour que les seuls plus riches ne s’approprient pas la terre ni privatisent des sites merveilleux dont tout un chacun pourrait profiter, et la Taxe sur les Encaissements (environ 0,7% de toutes les recettes et remplaçant l’IRPP – permettant à l’Etat d’avoir immédiatement les millions d’€uros ponctuels, éventuellement nécessaires en cas d’urgence) l’augmentation d’1/10ème de point rapporterait immédiatement 300 à 350 millions d’€uros par mois.

NOTE 5 : Juvantia avehit cantatam koenoseos medicinam ad illustrum locum libertatis autem regenerationem ducit.. L’acte transforme la théorie en liberté et ainsi reconstruit la vie. Hermesingenui at coolgoose.com
Littéralement : Le secours (l’aide, l’assistance) conduit la médecine chantée de la communication vers le lieu illustre de ( qu’est) la liberté et ainsi (et aussi) conduit (amène à) au retour à la vie (la régénération).