[nantes] conférence : post-identitarisme – partie 1 : post-identitaire d’après judithbutler
Thèmes : Genre
20
Juin
le samedi 20/06/2020 à 19:00
Conférence, chez un-e particulier-e donc sur confirmation (30 à 45 places max ) par mail à : revolte_ouest [chez] protonmail.com
Très difficile d'accès en transport en commun, pas d'accès PMR :-( ... à 10 min de Nantes
en non-mixité révolutionnaire choisie
Conférence, chez un-e particulier-e donc sur confirmation (30 à 45 places max ) par mail à : revolte_ouest [chez] protonmail.com
Très difficile d'accès en transport en commun, pas d'accès PMR :-( ... à 10 min de Nantes
en non-mixité révolutionnaire choisie
2020 – conférence contre les mobilisations militantes identitaires et identitaristes
Nouvelle conférence révolutionnaire.
Un-e copain-e « spécialiste » de cette auteure (Judith Butler) vient nous faire une conférence ( 90 minutes) sur les possibilités d’actions et de mobilisation (passées, présentes, futures) post-identitaires dans les luttes sociales (au sens global).
Pour sortir de l’assignation, de l’essentialisme et des identités, les courants « post-identitaires » semblent être des pistes à explorer. La prochaine séance portera sur le post-identitaire pour les insurrectionnalistes.
Est-ce qu’il est possible de savoir d’où vient cette proposition ?
Il y a un semblant d’ironie palpable dans le terme de « mixité révolutionnaire choisie ». L’évocation des insurrectionnalistes laisse penser que la définition de la révolution se restreint à la lutte armée. L’absence de référence aux questions féministes et queer alors que l’auteure citée en est une des principales figures me semble intrigant.
Tout ça pour dire que malgré mon expérience militante et intellectuelle, je n’arrive pas à situer cette conférence. Souvent quand on ne comprend pas et qu’on ne situe pas, il y a de fortes probabilités qu’il s’agisse d’un sursaut mystique et poétique des appelistes.
Espérons que ce ne soit pas le cas car la question de l’identité et des luttes est un enjeu trop important pour être investi par des fétichistes du virilisme guerrier.
Le réseau dit « révolte » ne semble pas, à notre connaissance lié aux appelistes.
« Non mixité révolutionnaire » semble être une formule usuelle des réunions (semi ouvertes ? ) des courants dits révolutionnaires.
à qui cela fait peur de ne pas « situer » une idée nouvelle ?
Cela révèle beaucoup du caractère « sectaire » ou « frileu-se-x » d’une partie de notre « camp ».
On peut aussi ne pas être intéressé-e du tout par cette conférence.
On peut aussi ne pas partager le « révolutionnarisme » qui, paradoxe, serait une (autre) « identité » !