La France se dit le pays des droits de l’homme, cependant, son état ne signe pas la charte des langues minoritaires ainsi que d’autres textes européens s’y rattachant. Si nous voulons qu’une nouvelle force soit donnée à nos langues, des conditions de travail décentes dans les écoles en breton, un statut et un avenir pour la langue bretonne, il est temps de demander fermement à l’État de changer sa politique linguistique. En ces temps préélectoraux, cette manifestation marquera un tournant dans la défense de notre langue, notre culture, c’est-à-dire notre identité.