À Nantes, le discours sécuritaire des bourge’, des « petits commerçants » et des réac’ de plateaux télés alimente les politiques municipales.

Le PS, parti dirigeant la ville depuis des années, installe de plus en plus de caméras dans l’hyper-centre jusque dans les banlieues. Récemment, la maire Johanna Roland a annoncé l’installation de nouvelles caméras dans la ville pour la énième fois.

L’objectif est multiple : participer à la répression du mouvement et des révoltes nantaise, mais aussi expulser les prolos du centre historiquement populaire, pour le gentrifier.

Depuis quelques temps, les caméras sont un outil précieux pour la répression. Elles permettent de nourrir les dossiers, d’interpeller en flagrance et de mener des enquêtes a posteriori.

De plus, l’utilisation des outils de reconnaissance faciale s’élargit avec la loi pour les JO 2024. Cette arme contre-insurrectionnelle se perfectionne.

Ainsi, Grève vous invite à un atelier ouvert à toutes et tous MERCREDI 22/11 à 18h sur le parvis de l’école d’architecture, pour réfléchir à comment s’en défendre ensemble avant, pendant et après une manifestation ou une action !