Car au petit matin sur la façade clinquante de « l’entreprise citoyenne » de restauration RESTORIA c’est une part plus sombre de leur activité qui était exposée aux yeux de tous-tes. Un gros et vilain tag « RESTORIA SPECULE SUR L’ENFERMEMENT » ornait sur plusieurs métres la façade vitrée. En effet un contrat permet à cette entrerise de s’engraisser en fournissant le centre de rétention de Nantes leur résidus d’exploitation agro-industrielle.
Une autre façade fut redécorée, le siége de « bouygues immobilier », qui « façonne notre avenir » en construisant (entre autre) des centres de rétentions et des prisons (http://nantes.indymedia.org/article/13611).
Ces deux entreprises sont un rouage parmis tant d’autres de la machinerie.

La croûte de la paix sociale angevine ne parvient pas à cacher les arrestations sur dénonciation de sans pap’, la misére sociale, la gentrification… Il est temps de s’attaquer à la plaie !

brisons les murs, les frontières, et le capital.