Le propriétaire Allègre a mandaté (officieusement, mais cela il l’a assumé jusque devant la passive police) un groupe de “gens du voyage” pour nous dégager, raser éventuellement la maison, récupérer la férraille, et installer leur cinquantaine de caravane. Un rapport de force s’est établi avec les gaillards qui pourtant sont d’authentiques “frères de classe”. Nous faisons tout notre possible pour leur trouver un terrain, notamment en sollicitant les pouvoirs publics, et ils nous laisseraient la paix. Un véritable effort a été fait de notre part pour mettre en lumière cette manipulation et la fait que voyageurs et squatteurs sont dans le même bateau. C’est donc un infroyable acte cynisme que de créer une concurence entre “eux” et “nous” pouvant dégénérer en “conflit ethnique” ou que sait on… Le pouvoir se régale !

Nous appellons donc tout le monde à se mobiliser par une présence physique pour empecher tout éclat de violence (déja contenue) et renvoyer la balle aux odieux commanditaires. Nous sommes en péril plus que jamais !

Le Nuf, 05 46 34 01 29

le 28 juin à la Rochelle.

puis plus récemment

la pression ne redescend pas par chez nous .
L’absence nouvellement de site accueillant les voyageurs sur la rochelle
contribue à mettre de l’huile sur le feu. On n’hesiterait pas à dire que
ce vide constitue le terreau de ces possibles affrontements entre
voyageurs et squateurs. Nous ne pronons pas la violence mais sommes
néanmoins la cible de méthodes de voyou (celle du propriétaire) sous
l’oeil complaisant des pouvoirs publics qui aimeraient bien nous voir
réduits à néant.
Un scénario horrible mais idéal que de voir deux engeances parias
s’entretuer pour un terrain.
Notre volonté est bien entendu de développer un front commun avec les
éxécutants qui sont rappelons le à la suite de manipulation en voie
d’accomplir ce qu’ils sont les premiers à subir!
Le “flic manouche” c’est la cerise sur le gateau de la violence sociale.

Nous invitons plus que jamais toutes celles et ceux, soucieu.ses.x de voir
le site toujours aussi vert, de s’opposer aux l’imperialisme voyou de
l’immobilier, ou tout simplement d’empecher la violence de se répandre.
Nous sommes chez nous, un point c’est tout !