La pseudo solution annoncée à grand tapage médiatique par la CCI d’un projet entièrement financé par des investisseurs et des banquiers dans une carrière Misery privatisée pour de bon , n’en est pas une. Elle ne fait qu’aggraver les problèmes.

Comment contenir à “seulement” 50 millions, un projet évalué à 80 sans le revoir à la baisse, si ce n’est par quelques sorcelleries comptables ?

Comment la ville pourrait sans se dédire restituer à la compagnie la Machine l’usage de la (partie restante de la) carrière Misery alors que Nantes Métropole Aménagement vient de poser en date du 15 septembre 2022 un permis de construire pour …. extension du jardin extraordinaire.

Comment le projet pourrait atteindre la rentabilité promise alors P Oréfice fixait le déficit d’exploitation à 20 %.

La manœuvre est vicieuse et surfe sournoisement sur la privatisation des recettes et la municipalisation des pertes (l’exploitation de l’attraction, sa maintenance, la sécurité des abords)) . Dans un modèle économique structurellement déficitaire ce serait une fois de plus aux contribuables de combler les déficits récurrents de la compagnie La Machine comme c’est déjà le cas à Toulouse ou à Nantes pour le Carrousel. Dans leur obsession maniaque à « sauver » leur œuvre en dépit de tout P. Oréfice en vient à dire (sur Télénantes) que si ce projet ne se fait pas ils n’ont plus rien à faire à Nantes. Nous attendons des élu.es métropolitain.es qu’ ielles réagissent enfin, dénoncent le chantage qui leur est fait, qui nous est fait et mettent au plus vite un terme au faux suspens malsain entretenu à dessein sur le retour de l’arbre à Misery.

La commune de chantenay

Arbre aux hérons , le seule solution c'est l'abandon