Être conscient des changements que nous subissons, une obligation pour assurer une pérennité à l’humanité.
Publié le , Mis à jour le
Catégorie : Global
Lieux : Alsace
« Il est une mesure qui nous n’est pas enseigné à l’école, celle du temps. »
La machine du temps tourne et n’attend pas sur ma personne pour avancer. Alors, quand celle ci n’est plus en accord avec le mouvement de mes idées, j’ai le choix d’attendre ou d’agir, de réparer ou de réinventé. Dans tout les cas il faut être conscient des changements que nous subissons pour d’une part, ne pas devenir une contradiction de soi-même et d’autre part, afin de les énoncer à la génération futur.
« Tout vas tellement vite, le temps d’y penser et une génération oublie déjà ce qu’est la véritable cause de l’humanité : l’empathie. »
Les temps sont durent, ou alors suis-je devenu pessimiste, dans les deux cas celas résulte de mon environnement, qui est source de réflexion. Nous nous dirigeons vers un avenir que je ne veux pas, un avenir ou la science et l’argent seraient roi, et ou le faible serait cette personne faite d’émotions, d’humanité de conversation.
Qu’attendons nous pour agir ?
« Peut être attendons nous une coupure d’internet, le cordon ombilicale de notre société 2,0. »
Internet ou plutôt le numérique, cette façon a nous de réinventé le monde, les rapports humains. La seul chose qui me fait croire en le numérique c’est la découverte spatiale, mais en cherchant dans l’histoire je me rends compte que tout ce que nous découvrons de l’espace avec nos méthodes, d’autres méthodes plus anciennes donnent le même résultat.
« Ou alors une mise au chômage, travailler avec cette cadence infernal dicté par notre système financier. »
Le chômage antonyme du travaille. Vous savez, le travaille que j’ai envie ou, le boulot qui me permettra de m’épanouir, ces idées qui deviennent caduc passé 30 ans. Cette obligation qui nous permet de gagner de l’argent afin réaliser nos rêves matérielle.
« Ou encore, un rejet d’autrui, qui nous ferait prendre conscience de nos différences. »
Converser, trouver l’amour, créer des liens d’amitiés solides, ne rien attendre d’autrui. Faire ses propres expériences, apprendre de ces erreurs, accomplir comme nous l’avions pensé, s’enrichir de nouvelles rencontres. Un + Un = Trois, ne l’oublions pas, une personne plus une autre personne égale une idée.
Alors, qu’attendons nous vraiment pour fomenter ?
Chronos.
« Le moment est à l’acte, que le temps définisse, le mouvement de mon acte. »
Dès la première ligne on voit tout le sérieux du truc: moyenne de vie à 90 ans ?! T’as vu ça où ?!
Ce n’est pas parce que l’auteur nous énonce une ou deux bêtises dans son texte que le questionnement qu’il met en avant est idiot ! C’est même très pertinent, parce que la question qui est posée à tout le monde, et qui sous-tend fondamentalement toute réflexion aujourd’hui, c’est l’avenir que nous propose le capitalisme.
Après, au niveau de la réponse, il est vrai qu’elle ne peut que chercher à retrouver le lien entre hommes et avec la nature que le capitalisme distend, masque ou détruit. Ce que l’on appelle l’aliénation.
J’ai une réponse évidemment, mais ça ne sert à rien de chercher à l’imposer ; elle sera collective ou elle ne servira à rien, n’en déplaise à tous les tenants du « travail sur soi » et de la réponse individuelle chacun dans son coin qui ne font que nous enfoncer dans l’impuissance. Les hommes ne sont une puissance agissante que lorsqu’ils agissent collectivement.