Jean Blaise, « directeur » du Lieu Unique de Nantes s’est expliqué, ce midi sur la radio Jet FM (91.2 de Nantes à Saint-Nazaire), sur la porte qu’il a grande ouverte à Coca Light pour une exposition (une résidence d’artistes). En gros, il considère que ni le LU, ne lui, ni les artistes ne peuvent nier coca (et les autres entreprises de consommation). Et qu’il allait simplement chercher l’argent là où il était tout en gardant sa liberté. Enfin ça vaut le coup d’entendre ces justifications salvatrices sortir de sa bouche.
Que vive le LU, que vive la boisson gazeuse capitaliste, que vive l’art récupéré… Et crevons tous la bouche ouverte dans une marre de coca, en vomissant nos petis LU, et en criant : « Culture en danger… Les intermittents sont dans la rue… »
REDIFFUSION SUR JET FM (91.2 FM) cet après-midi (vendredi 16/01) entre 17h et 18h.