Black blocs : bas les masques

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Quand manifester c’est enfiler un vêtement noir et une cagoule : comment les militants du “Bloc noir” envisagent la violence, l’action politique et les rassemblements altermondialistes.
Le 30 novembre 1999, lors de la « Bataille de Seattle », les « Black Blocs » font une entrée fracassante dans le mouvement « antimondialisation » en lançant des frappes contre des succursales de banques et des magasins Gap, Levi’s, McDonald’s. Ce recours à la force si spectaculaire a permis au mouvement d’obtenir une très grande visibilité médiatique. Pourtant, nombre de manifestants pacifistes et de porte-parole des groupes réformistes accusent les Black Blocs et leurs alliés de nuire à l’image publique du mouvement « antimondialisation ». Cette critique se double très souvent d’une analyse saturée de clichés : le phénomène Black Bloc serait l’expression d’un « anarchisme » réduit à une pulsion irrationnelle qui pousse des « jeunes casseurs » à la violence et au chaos. Justifiée à première vue pour ceux et celles que la violence met mal-à-l’aise, cette charge critique contre les Black Blocs brouille la pensée et a elle-même des répercussions politiques négatives pour l’ensemble du mouvement. Ce texte a pour objet d’analyser cette politique de la critique après avoir déboulonné quelques mensonges qui circulent au sujet des Black Blocs.
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Suite du texte :
http://www.mouvements.asso.fr/spip.php?article124
Dans le texte: “Il est difficile d’évaluer avec exactitude le profil sociologique des participants aux Black Blocs. Il semble qu’ils soient plutôt jeunes (autour de la vingtaine, avec des écarts jusqu’à quinze et cinquante-cinq ans) et souvent étudiants…”
Radical et étudiant ? Pourquoi tant de moutons (noirs) dans les universités ? Qu’est-ce qu’ils et elles foutent encore dans ces usines à formatage de cerveaux ? On peut leur conseiller la lecture de ” de la misère en milieu étudiant”. Il y est dit assez justement à mon avis, que l’étudiant est l’individu le plus méprisable et le plus méprisé car il est sous une double tutelle, celle de la famille et de l’Etat. Allez, encore un effort pour être radical, désertez les universités !
Les corporations on prit le contrôle et font ce qu’ils veulent au vu et au sus de tous, de l’eau polluée au plomb, au poulet à la dioxine sans parler des pesticide cancérigène ou des médicaments qu’on commercialise puis qu’on retire du commerce parce que la gloutonnerie de ces corporations on précipité cette hâte à faire toujours plus de bénéfices…
20 ans que les manifs contre, n’ont plus d’impact et les autorités des gouvernements sont du côté de ces corporations car leur campagne sont souvent financée par ces grands groupes et on ne mort pas la main qui nous nourri c’est bien connu…
Maintenant, vu que ces corporation, autant que nos politiciens, font tous ce qu’ils veulent sans même s’en cacher, fini les manifs inutiles (souvent bloquée a une cinquantaine de km) n’aboutissent à rien et les violence en face augmentent de niveau (matraquent les femmes et les enfants maintenant) alors s’adapter à l’adversaire me semble tous simplement indispensable pour pas se faire écarter ou supprimer comme un petit pion gênant…
Ouvrez les yeux et remerciez les black blocs, de se retrousser les manches à notre place et pour nos enfants, de s’opposer à cette oligarchie qui n’aura jamais honte de filer le cancer à des million de personnes plutôt que de renoncer à leurs sacro-saints bénéfices!?!
et pour l’histoire des étudiants, c’est vrai il y en a mais c’est normal les black bloc sont des jeunes (car les jeune n’ont pas encore vendu leur éthique ou leurs cou*lles!) et dans cette catégorie d’age il y des étudiant mais la plupart de ces gens vive en autogestion/collectivité et pas au crochets de Ronald MacDonald, alors leurs détracteurs s’arrêtent sur des détails et pour une minorité c’est petit mais s’il ne trouvent que ça a redire, moi ça me va…
Lien mort, contenu retrouvé ici:
https://www.cairn.info/load_pdf.php?ID_ARTICLE=MOUV_025_0074