On commence par cacher les articles.

Puis on insulte les commentateurs.

Pour etre sûr d’avoir le dernier mot on finit par supprimer les commentaires qui déplaisent….à celui qui insulte !

C’est désormais la règle sur indymedia paris. Un exemple parmi tant d’autres (in « articles cachés 8/03/2004 à 15h04 ») :

« …Voilà votre façon De servir, serviteurs qui pillez la maison !

Fini l’open-publishing ! Bravo les gars. D’un lieu de liberté (un des derniers) vous êtes parvenus (c’est le mot…mais ds quel état ! ! !) à le transformer en chasse gardée. Shame on you.

Gilles « aux mains d’argent » peut exulter : désormais sa prose (son charabia devrait-on dire) va pouvoir s’étaler sans vergogne et sans risque aucun d’être ridiculisée comme il se doit. Vengeur, il rêve de la prochaine étape qu’en sarkozy du net il prépare : la tôle pour ceux qui oseront le brocarder. Etant entendu que lui pourra se livrer à tous les écarts. D »ailleurs il a déjà commencé (cf. son commentaire à l’article du 7/03/2004 à 19h26) : le vice-président de la CAJPO est ainsi traité de « facho » et son commentaire de « débile » par cet expert en la matière…Et s’il prenait envie à la personne ainsi insultée de répliquer il faudra auparavant passer l’épreuve de l’épuration instaurée par l’insulteur en chef qu’en termes hypocrites et falsificateurs notre censeur nomme… »modération ».

La boucle est bouclée. L’oeuvre achevée, du garde-chiourme qui se prenait pour un démiurge. A son image il a créé…un cadavre. Duquel il va pouvoir faire bombance.

Bon appétit. »

On a gardé,des commentaires, ceux qu’on a voulus et supprimé d’autres. On a fait de même pour l’article (qu’on a consenti à ne pas mettre en article caché celui-là) »Indy patinerait-il ? » (8/03 à 16h12)mais, manque de bol, le premier commentaire (signé L.S)fait référence à 1 commentaire supprimé ce qui fait qu’on ne comprend pas à quoi ça se rapporte…C’est ce qui s’appelle s’emmêler les ciseaux…L’issue irrémédiable de tout ce charcutage : Fini, indymedia paris. Terminé. Lessivé. Mais on sait au moins à qui l’on doit tout ce gâchis.