« C’est à propos de la façon dont les [personnes racisées] essaie de pointer un problème qui les affecte négativement, pour se retrouver invariablement devant un mur de fragilité blanche tellement immuable, si vide d’empathie, ou du moindre remords, que la première fois que ça t’arrive, tu pars du principe que c’est le fruit de ton imagination, que c’est toi le problème, que tu aurais du approcher les choses différemment et fera différemment à partir de maintenant. Et c’est ce que tu fais. Tu ajustes tes réactions, tu essaies de la jouer tranquille, tu fais gaffe à ton intonation. Mais ça continue d’arriver — en colère, triste, en criant, en suppliant, ça n’a pas l’air d’avoir d’importance — jusqu’à ce que, en tant que [personnes racisées] tu réalises avec choc que peu importe les faits dans la situation, le problème n’est même pas vraiment à propos de toi.

C’est à propos de comment la société blanche te regarde.

C’est à propos de comment la société blanche te traite. »