Programme des rencontres ni cpe ni cdi

Les rencontres se feront lors des rencontres atipik du 16 au 18 juin (http://nokods.org/cmitlse/atipik.html). Ces rencontres sont là pour amorcer des espaces de rencontres entre des collectifs qui ont amorcé une critique/force de proposition du travail salariat et des relations sociales en découlant. Un autre aspect de ces collectifs est le rejet des structures contestaires classiques à l’image des syndicats qui ont travaillé en partenariat avec l’état policier pour contenir les luttes spontanées des derniers mouvements.

Un espace sera aménagé pour pouvoir accueillir les différents collectifs. Le programme du week-end y sera affiché ainsi que les infos nécessaires à la bonne compréhension du fonctionnement du lieu durant ces trois jours. Un autre point info est prévu pour le fonctionnement général des rencontres atipik.

Le lieu des rencontres atipik est le parc de la Mounède à Toulouse. Le camping y est possible durant ces rencontres.

Pour se rendre à la Mounède, prendre le métro jusqu’au terminus Basso Cambo. De là, prendre le bus n°21 ou 47 jusqu’à l’arrêt Mounède. Un parcours fléché vous aménera jusqu’au lieu des rencontres.

Le programme doit être discuté avec les collectifs présents à Toulouse le week-end du 16 au 18 juin.
Nous proposons une première rencontre le samedi matin pour établir un ordre du jour de ce week-end de rencontres et effectuer des présentations des différents groupes en présence. La réunion pourrait être fixée à 11 heures pour permettre un temps de discussion assez large avant les débats officiels prévus. Il estconseillé d’arriver dès vendredi pour commencer les rencontres dès le samedi matin.

Les temps pour les autres réunions sont le dimanche matin et en début d’après-midi. Il est possible aussi suivant le nombre de participants de prendre des temps sur le programme officiel de l’atipik. Les lieux de discussion pour la coordination nationale ni cpe ni cdi se situent en dehors des emplacements officiels des débats.

Au niveau thématiques/sujets, le collectif toulousain avait pensé à plusieurs points :

le ressenti au niveau du mouvement, la confrontation avec les structures classiques de lutte
la relation aux médias
outils de communication et logistique pour prévoir ces actions
stratégie de lutte
les événements de novembre et les rencontres de fond avec les banlieues

Nous proposons à tous les collectifs et individus de venir avec les textes et tracts diffusés pendant le mouvement pour une éventuelle mise en commun.