Mardi tout commence bien dans cette capitale bougignogne habituellemntsi endormie, la manifestation qui démare est l’une des plus grosse jamais vu à Dijon.

Tout le monde s’en félicite, et on peut meme y voir chose rare dans cette ville tres bourgeoise des formes de contestations plus directes qu’à l’accoutumé:

affichage sauvage, bombage, défersement de sang (faux parait il mais tres bien imité) sur le macdo…

On constate aussi que la d’etre pris en photo par la police une partie des manifestantEs prefere garder l’anonymat magré la chaleur étoufante, j’imagine, sous leur foulards.

Sur la fin,la manif décroche de son parcours officielle pour se diriger vers la gare, et meme si la semaine derniere fit de ce lieu le théatre de violences policières, environ un millier de personnEs si dirige d’un pas résolu, pour trouver là, une haie de flics en protegeant l’accès principale.

Passant par la porte de services que les policiers dans leur intelligences tactiques redoutables avaient oublié, et au prix d’un peu d’escalades d’un portail, le flot de manifestants s’engouffre dans la gare…

il est 17h00 les voies sont bloquées,

L’ag des étudiants grévistes avait décidé de rester jusqu’à ce faire évacuer par la police, les lycéens sont chaud comme la braise, nombres de visages disparaissent derrière des bandanats,et… l’UNEF, autoproclamée reponsable une fois de plus, prend le mégaphone. Il est 17h15 il annonce les crs sont là nous pouvons rester jusqu’ à 17h30, apres on s’en va.
Ils sont copieusement huée par une foule pas vraiment d’accord.
15min plus tard, re-unef, cette fois soutenu par et mon coeur libertaire s’en désole, par des gentes de la CNT et meme de la FA (triste monde),annonce qu’il faut s’en aller que ceux qui veule partir peuvent le faire, que eux s’en vont, rappelle l’interpellations et les coups aux meme endroit la semaine dernière, scénario qu’ils avaient eux meme provoqués en ayant la meme stratégie de division, que ce jour la et en appelant au depart, comme si c’était prévu et décidé tout lemonde, laissant la une cinquentaine de personne qui refusait leur main mise et leur « representativité de fait » et leur droit à commander pour « la sécurité de tous ».

Meme scenario, mais cette fois il ya plus de cinq cents personnes , et elles restent,les crs investissent la gare un peu pres deux heures plus tard, et les gentes sont toujours là.On en voit une centaine.

Il ne font rien et attende, espere quon s’en aille.
Le temps passe, arrive alors le temps des somations, et la les syndicalistes entoure l’enrubannée.Alors que la foule se prépare à une résitance passive mais déterminée pour la plupart, ils négocient, et c’est le coup de poignard dans le dos.
A Dijon dans un positions de force, les syndicalistes négocinent à la barbe des manifestants, que si les crs s’en vont nous aussi.
Trop content de cette aubaine, la police accepte et va se cacher dans un batiment derrière, et il ne se passera rien, la disolution est annoncée les crs ont repris la gare sans avoir à se mouiller, juste en ce montrant,les gentes sont dégouté, les syndicalistes crient à la victoire, une fois de plus rien ne se passe.

Le réformisme pantoufflard triomphe.
L’ordre regne grace à eux et ils ‘s’en félicite,
était ce car ainsi il regagne leur « légitimié » à la table des négociations?

Voici pour la seconde trahison de la journée.

Laisser moi vous compter la premiere,
comme toutes les semaines à la fac occupé, lambiance est au vote, pour la reconduite du blocage, les conditions du vote sont posés à l’avance,les étudiants seules peuvent voter sur présentation de leur carte,
l’ag des étudiants, grévistes et non, grévistes se réunient, et sous la pressions des opposants aux blocages, menassant de quitter l’assemblée, le sous chef de l’unef contre les déscisions de l’ag des grévites qu’il est censé représenté acciesse en faveur d’une modification qui restreint le nombre de votants en signifiant à une partie des étudiants en lutte, que vu leur statuts administratifs, ils ne sont qu’une sous classe sans droit de vote, 400 personnes se retrouvent privée du droit de vote. Le vote de tous était posé comme conditions sinéquanone aux scrutins,mais celuici à eu lieu, à 100 voie prews sur deux mille votant, la fac est débloqué.

Les 400 votants spoliés ne comprennet pas puisqu’un décompte informel montre qu’au 300 d’entre eux aurait voté pour la continuations…

Et revoila les soupsons, en effet la fac bloquée commencait à servir de QG à l’organisation de la frange active de ce mouvement, ceux qui organisait action sur action, vie collective riche, débat visnt à étendre le mouvement,et commencait à aggréger étudiants comme non-étudiants, et en ce lieu, l’unef ne faisait plus la pluie et le beau temps, en oeuvrant à la fin de ce collectif, l’unef fait disparaitre les trouble fetes qui l’empechait d’etre l’interlocuter du pouvoir,
aujourd’hui rien ne se passe, certain reve à demain, d’autre rentre dans les rangs…

L’orde de l’unef regne sur cette fac où un champ des possibles semble se refermer.

Heureusement par pour tout le monde , des actions continue de ce prevoirs magré la fatiue, la reprise des cours et plus que jamias étudiants dijonnais, elles ont besoins de toi, pour regonfler le morale de ceux qui se battaiebt et la sont abbatues,ne laisse pas des dupperies de syndicats autoproclamées chef mettre fin
à ce moment de contestation dont les précedents renvoies à des années en arrières,
soit du coté de ceux qui s’organisent.
des actions se préparent, souitent les activement !

Quand à ma questions aressé aux autres facs elles est clairs, chez nous jusqu’à presents, les militantEs syndicaux locaux se comportait de façon solidaires et efficaces,ce n’est que depuis peu, depuis la coordinations de Lille en fait, qu’ils tournent leurs vestes, est ce pareil chez vous sommes nous, comme je le craint au moment ou les syndicats retourne leur veste pour redevenir les négociateurs de nos révoltes?

Sommes-nous au moment ou vont se négocier les places au conseils de l’université et les amendements sans importances?

Dites nous ce qui ce passe chez vous?