Haine et dix raisons de s’attaquer à une entreprise qui promeut et propage l’électricité et le désastre.
Pour les anarchistes et autres antiautoritaires obsédés par le fait d’écrire ou pas des communiqués. Ou par le fait que les attaques puissent être « réappropriables » par leur « sujet révolutionnaire » préféré. On laisse les personnes qui le voudraient, trouver leurs propres raisons. Pour pouvoir s’imaginer être « les auteurs » de cette attaque.

Ce qu’on peut dire, c’est qu’on aime jouer. Jouer avec le feu. Jouer avec la vie, aussi, un peu. Vie qui ne tient qu’à tous ces fils électriques. Fils qu’on aimerait couper partout où on peut. Pour ne pas finir par définitivement péter les plombs.
En tout cas, n’en déplaise à ce répugnant fond de poubelle municipale qu’est Eric Vaillant (voir ce qu’à dit cet actuel procureur de la République de Grenoble sur le communiqué de l’incendie de France Bleue Isère). Ce texte est bien la « revendication » de l’attaque des « véicules » d’Enedis . Qui a eu lieu dans la nuit du 12 au 13 janvier 2020 à Seyssinet-Pariset (à côté de Grenoble).
Si on écrit « véicules », c’est pour faire un clin d’oeil complice aux « Energumènes Diablement Furax ». Qui ont incendié ceux d’EDF.

La vague de perquisitions qui a déferlé fin novembre 2019 à Grenoble, Fontaine et sur la ZAD de Roybon nous a débectés. Sans pour autant nous étonner. Car le gratin répressif a été si copieusement dépassé depuis les premières attaques de 2017 (voir la commission rogatoire lisible sur internet). Qu’on l’avait presque cru oublié dans le four de la justice étatique. A tel point que beaucoup de fumée s’est répandue dans « l’agglomération grenobloise » jusqu’à cet incendie.

Que les attaques continuent à se propager. Contre tout ce qui prétend apporter toujours plus de confort matériel et de liberté. Engendrant, en fait, toujours plus de contraintes existentielles et de morbidité.

Des disjonctés tenant tête.