Avec l’échéance des 4 premiers mois de préventive, au moment où la juge menant l’instruction devait demander ou non le renouvellement de la détention, elle a ordonné leur mise en liberté avec un contrôle judiciaire. Le procureur n’ayant pas fait appel, l’admnistation prénitentiaire leur a signalé leur « mise en liberté » sous certaines conditions. Pour une, il y a interdiction de paraitre à Paris, de quitter le territoire de l’état français et de voir les deux autres. Pas de pointage au commisariat. Pour l’autre, nous n’avons pas encore les détails.

Personne ne sera libre tant qu’un-e sera enfermé-e et contrôlé-e

Liberté pour tout-es !