You won’t gettaway with this!
Publié le , Mis à jour le
Catégorie : Global
Thèmes : Répression
Suite à un énième écho ( qui fait suite à celui-ci, et la liste est probablement longue) d’attitudes autoritaires et violentes envers des camarades de la part d’individus qui essaient de naviguer en milieu anti-autoritaire, utilisant menaces et cassages de gueules dès qu’ils sont à court d’arguments politiques et n’obtiennent pas le consensus de leurs interlocuteurs, nous sommes plusieurs à avoir eu envie d’exprimer notre raz-le-bol face à des personnes dont le seul but et la seule raison d’exister dans le milieu c’est de s’imposer à coup d’attitudes virilistes, d’exister en pourrissant le milieu, en empêchant des débats nécessaires, en sermonant leurs camarades, lançant des injonctions à choisir un camps dans leur guerre virtuelle contre des chimères, quitte à s’associer à des gens qui portent des idées qu’ils n’ont jamais tolérées.
On s’étonne de voir ces nervis ne diriger leur violence que sur des camarades, alors que la liste de ceux qui auraient une bonne raison de se prendre un coup de tête dans ce monde de merde est longue … à commencer par des juges, des procureurs, puisque nos gros bras sont candidats au prix du Plus-radical-que-moi-face-à-la-justice-tu-meurs …
Des personnes dans le milieu qui ont eu à faire à la justice ça ne manque pas … pourtant on n’a jamais vu personne venir imposer à coup de boule des stratégies face à la répression.
Ces gens là l’ont fait ! Tu n’es pas d’accord avec ces professionnels de la défense, tu te prends un coup de boule. Tu ne trouves pas que des tags soient particulièrement négationnistes, tu te fais tabasser devant les locaux d’Actup. Tu oses émettre un avis différent lors d’une assemblée, tu te fais insulter en public … le mieux étant que ces choses se déroulent en public, et que ces nervis continuent de pouvoir naviguer tranquillement dans le milieu, menaçant et tabassant ceux qui se trouvent sur leur chemin, se faisant publier sur les divers mutus, qui envoient ainsi des camarades igorants de la situation se faire taper dessus s’ils ont l’aplomb de dire qu’ils ne sont pas d’accord avec ces « docteurs en radicalité ».
Est-ce qu’on va les laisser intimider, menacer et taper d’autres camarades dans chaque endroit où ils viennent faire leur propagande ? Qu’est-ce qui attend les camarades marseillais qui ont la malchance d’accueilllir ces autoritaires dans quelques jours ?
Et surtout, comment des personnes avec de telles attitudes autoritaires peuvent encore être reçues dans des lieux militants, dans des endroits où l’on débat pour faire avancer les idées, et où le concept de la violence utilisée contre des camarades pour imposer ses idées (en somme la loi du plus fort) n’est pas le bienvenue ?
Il y a suffisament de violence et de répression de la part de l’état et ses sbires, on n’a pas besoin de ce genre de comportements dignes de mafiosos qui pensent pouvoir terroriser le milieu en s’imposant par une force viriliste qu’on voudrait bien voir loin, très loin, de nous, de nos luttes et de nos lieux militants.
You won’t get away with this!
Vous ne vous en tirerez pas comme ça !
est ce que les arguments des modos sur le confusionnisme et les guerres de chapelle militante vont s’appliquer à ce texte ?
Dans un milieu pacifié, la moindre contradiction devient insupportable, le conflit fait paniquer les moustiques autour des ampoules. Une baston dans un bar entre deux adultes majeurs racisés et vaccinés devient un tabassage politique, le ton qui s’élève face à des saloperies racistes ou homophobes devient « coup de boule », des personnes qui parviennent à produire des choses intéressantes à une époque où elles se font rares deviennent des « arrogants ». Un jour on ramasse les miettes, un jour on jalouse, et un jour on vomis anonymement sur indymedia. C’est un processus qui se répète de plus en plus, et qui fatigue, je crois, tout le monde, en plus d’être un spectacle minable.
Si vous avez peur des conflits, des entrechoquements, du barouf, allez vous installer en Suisse ou faire des groupes de paroles. Le monde sera toujours violents pour de pauvres petits êtres sensibles comme vous. Je vous plains tous, depuis ma campagne, pour des raisons différentes. Soutien à celles et ceux qui à Paris font l’objet de campagnes répétées de calomnies. Quand le vent tournera, tout le monde se rappellera qui était où et qui a dit quoi.
Maintenant si tu veux politiser tes petites embrouilles perso, au moins, fait un effort, met des arguments, quelque chose… « Ils sont pas gentils » c’est pas suffisant, et traiter les camarades et compagnon.e.s qui défendent leurs idées et prônent la lutte révolutionnaire de « virilisme », c’est bien la pire des politisations possibles. C’est meme de la mesquinerie, et de la manufacture de buzz.
Mais ce ne marche même plus. Aujourd’hui, tout le monde s’accusant plus ou moins de racisme et de machisme, plus rien ne veut rien dire. post post post machin….
Tu dis « alors que la liste de ceux qui auraient une bonne raison de se prendre un coup de tête dans ce monde de merde est longue… ». Je trouve aussi que la liste de ceux qui auraient une bonne raison de se prendre un commentaire anonyme, diffamatoire et insultant dans ce monde de merde est longue…
Pour rappel :
***l’émission « la femme de la Z.A.D » accusait peu ou presque d’autoritarisme un certain milieu féministo-truc-LGBTQI ….
La réponse que ce milieu féministe produisit fut : « ça ne nous intéresse pas de débattre de notre autoritarisme » …
***Lors du procès « Zyed et Bouna » à Rennes, une discussion en non mixité de classe fut sabotée (par ceux et celle là même qui réclament la non mixité ) sous prétexte d’autoritarisme …
Depuis les attentats, on voit déferler un « retour » de la haine raciale la plus décomplexé caché sous les apparats de la beauferie et de la bonne morale : liberté d’expression, défense de la culture moderne, rejet de la barbarie. Depuis des années un virage intellectuel s’opérait. Riposte laïque incarne un paroxysme de cette nouvelle manière d’être un raciste respectable, un raciste qui rejette l’obscurantisme et le communautarisme des autres. PS, LR et FN défendent en effet la laïcité et les valeurs universelles contre les ténèbres. Mélenchon se déclare ouvertement « islamophobe ». Bref la mode est au racisme et on n’hésite plus à se mettre au goût du jour même dans des milieux ou jusque là c’était plutôt mal vu… Rien d’étonnant à ce que cette vague pénètre l’extrême-gauche et les milieux anarchistes et autonomes. Bien heureusement, cette vague reste presque anecdotique, même si le peu de surfers quel charrie restent tous assez affligeant
Racisme anarcho gauchiste : panorama d’un micro-monde burlesque
Au départ curiosité presque risible ce courant aussi étonnant que marginal tente aujourd’hui d’exister. Déjà des intellectuels de supermarché pseudo libertaires comme Onfray ou Michéa ont servi de caution nanar au racisme mainstream. Il y a bien sûr des franchouillards à la FA qui dès le « bal tragique cher Charlie » s’étaient mis du coté des tirailleurs xénophobes armés de crayon, au garde-à-vous, en vociférant à qui voulait l’entendre leur soutien sans faille. On voit aussi des groupes paillards de la CGA (le groupe Albert Camu, ca ne s’invente pas) qui prennent le même revers. Ils ont décidé de créer l’Organisation Anarchiste sans doute en référence à une organisation homonyme d’antan connu pour son antisémitisme et son rejet de la franc-maçonnerie. Autre époque, autre mœurs l’OA est désormais l’organisation officielle des nanarchistes islamophobes et qui s’assument comme tel. C’est donc dans cette atmosphère d’apéro saucisson pinard que nos explorateurs des théories farfelues entendent se lancer dans l’ultime croisade. Mais, bien que moins nombreux, les plus braillards et de loin les plus amusants, se sont les fantaisistes qui prétende émerger de « l’autonomie radicale » : non fides et discordia pour les anarcho identitaire et vostanite, garap et racialisateur go home (scission pro colonial du rca) pour les ultra rouge brun. Ravage édition, qui avait déjà affligé pour sa xénophobie, s’est fait virer d’infokiosque et leur sert de maison d’édition. Des ruines est leur journal. Même si ils multiplient les publications et les coquille vide pour se donner les apparats d’être autre chose qu’un microcosme groupusculaire, personne n’est dupe… ils sont 4 pelés à se ronger l’os nerveusement. Personne ne pourra nous accuser de jouer les « journaflic » pour avoir ouvertement dépeint ce micro monde tant leur inactivité (hors obsession raciste) désabuse jusque aux policiers les plus zélés.
On pourrait évoquer les cautions intellectuel de la démarche tel que les dépouilles du situationnisme tendance réactionnaire chiant, le florilège de blog culturalo-libertaire ou autres « écrivains libertaire » à la réputation sulfureuse (pro pédophile et négationniste repentit), tous aime à se rouler dans la haine ethnocentriste dés qu’ils peuvent en avoir l’occasion.
Il existe bien sur certaines divergences entre les micros sectes, et les gourous ne sont pas unanimes. Certains condamnent l’islam au nom de la défense du féminisme (comme il est convenu de le faire a la télé) certains, plus populistes encore, condamnent le féminisme. Il en est de même avec l’antisémitisme : les plus avisés feront ce qu’il est d’usage cher les colons bien pensant : utiliser la lutte contre l’antisémitisme pour développer l’islamophobie, les plus archaïques (mais plus conséquent dans leur logique) considéreront la notion d’antisémitisme comme « racialiste » (ils sont heureusement peu nombreux). Ces deux factions ont d’ailleurs déjà commencé à se taper entre eux (tant mieux !).
Mais qu’est ce qu’il leur a pris ? Comment ces micro-sectes qui jusque la n’avait que la réputation d’apathiques asociaux ont pu dériver vers le populisme ? C est que l’anti anti-islamophobie, l’anti anti-fachisme, l’anti anti-impérialisme voir pour les plus illuminés l’anti-féminisme est devenu pour eux les ultimes apparats d’une posture propre aux errements d’une radicalité imaginaire et sans cause. La posture et la radicalité verbale leur servent de démarcation presque aristocratique. La misanthropie constituait le minimum de la panoplie des anarcho-tristes et autres gaucho-chiants (bien au delà de ce petit groupe malheureusement). Ce nouveau style verse maintenant dans le populisme crasse. On espère que la mode va tourner et qu’on verra les singes savants et leurs perroquets adopter de nouveau déguisements moins nauséabonds.
Des arguments Massu : les arguments d Aussares ?
Comment peuvent t’ils distorsionner une pensée anarchiste ou communiste plutôt connu pour son ouverture aux autres en une arme de xénophobie ? Il fallait en effets des argumentaire solide à leur saillis littéraire abondante.
– Être contre l’islamophobie c’est soutenir l’Islam des ayatollahs des frères musulmans et du CCIF, la culturalisassions du débat politique, c’est faire le jeu du « retour du religieux » et de son obscurantisme, c’est encourager Daesh. C’est se faire l’ennemi des communistes et anarchistes ou autres critiques vis-à-vis de l’islam dans des pays de culture musulmane. C’est une hérésie a l’orthodoxie athéiste a la quelle il faut croire…
– Entre contre le racisme c’est reconnaitre l’existence des races, c’est être « racialiste » c est soutenir le PIR, c’est abandonner la lutte de classe au profit d’une posture victimaire et acritique qui n’existe pas en vrai car les races n’existe pas… C’est être l’idiot utile de SOS racisme. C’est abandonner la critique de l’exploitation au profit de la critique intégrationniste de la discrimination, c’est sombrer dans l’essentialisme des heures les plus sombres.
– Être contre l’impérialisme c’est soutenir les Khmer Rouge, Poutine et Bokassa c’est abandonner la lutte de classe au profit d’une posture victimaire et a critique du « colonisé » qui n’existe pas en vrai car l’impérialisme n’existe pas… la division internationale du travail non plus… C’est soutenir les états, les partis et les chefs de guerre du tiers monde.
C’est donc fort de ces trois argument que nos identitaires se lance à l’assaut de leur ennemi imaginaire les « racialistes » et autres « religieux ».
Que dire ? Il est évidant que ce qui est profondément nié, ce qui leur est impossible à accepter c’est de se voir comme des bouches nourries de l’impérialisme (comme nous tous ici, les migrants ne viennent ils pas ici pour prendre leur part du gâteaux que « nous » consommateurs moyens, nos états et son RSA, son SMIC, ses lois sociales et son armée, pillons chez eux ?), des privilégiés, des xénophobes ras du front (ca c’est pas tout le monde ici , c’est un choix qu’ ils ont fait), des évangélisateurs laiquards, des modernistes conquérants. Ce qui est étonnant c’est que la nature des fantasmes qu’ils projettent sur le milieu est similaire à celle que les pires théoriciens du grand remplacement ou de la menace djihadiste projettent sur les classes populaires. Leur source d’inspiration est somme toute assez vulgaire.
Pour ce qui est de leur littérature abondante, souvent caustique, il faut le reconnaître. Ce qui est peut-être le plus tumultueux c est l’esthétique populo clouscardienne face à la « post modernité universitaire ». L’anti intellectualisme est toujours salutaire, nous savons pourtant qu’il faut le manier avec précaution. Enfin alors que le milieu radical a su éviter les illusions d une « post » modernité culturaliste et libéral à la sauce « cultural studdy » ou « Foucault markéting », leur velléité à toute attaque de la modernité ne reflète en réalité que leur propre « ethnocentrisme qui s’ignore » sous les apparats de « l’universalisme abstrait ». Ils défendent, en somme, l’identité européenne et universelle du progrès conquérant. Rien de bien nouveau sous le soleil de fRance, il suffit d allumer la télé pour regarder Luc Férry , Soral ou Zémour porté ce genre de sous analyse. Leur seule « critique », leur unique différence d’avec la pensée dominante ce serait que les frontières et catégories des états, cultures ou religions divisent la sacro-sainte humanité universelle. Des modernistes de gauche en somme. Ce qui est surprenant c’est que leur peur de « l’identité comme essentialisation » les rattache a cette post modernité qu’ils détestent tant… le paradoxe n’effraie pas les con.
Nous autres, somme du coté du négatif, pas besoin d’idéologie du progrès pour attaquer l’ennemi. La haine qu’expriment les opprimé-e-s à l’encontre des profiteurs, des complices et des tièdes ne nous fait pas peur, elle nous stimule. Voila ce qui nous différencie à coup sûr de ces citoyennetés qui s’ignorent, comme qui dirait « Les bourgeois sont troublés de voir passer les gueux. »
Les hauts faits d’arme des « chasseurs de racisé·e·s »
Il faut rendre justice au courage de nos explorateurs de la radicalité fictive, ils pratiquent l’action directe.
Ils ont osé se dissocier de la marche de la dignité. Ils ont eu le courage de dire « tout haut ce que tout le mode pence toux bas ». Ceux qui marchaient contre le racisme et les violences d’Etat serait du coté de la « lutte des races contre la lutte des classes ». Les chiens de garde insultent à grand renfort d’affiche a la con en papier glacé, heureusement arraché ou recouverte par des hommages à Zied et Bouna. Ils auraient pu aller au fond de leur propos et affirmer que la marche de la dignité était une marche de « raciste anti blanc » comme il est de bon ton de la définir un peu partout …
Ils ont osé en plein mouvement (chacun ses priorités) s’attaquer (tags, intimidation, « blague » raciste) au groupe non-mixte de l’université P8 Saint Denis déjà décrié par la Licra, l’assemblée nationale et l’extrême-droite.
WOUAW !!!
Que peut-on dire de leur acte dans le concret ? On ne peut que constater leur rejet de l’auto organisation / autonomie des prolétaires immigrés qui devraient être, selon eux, encadré par des civilisateurs anarcho-gauchiste sans origine ni identité car universels.
Pour beaucoup, il est très difficile de ne pas voir leur fait de guerre comme de simples « agressions » soft, d’analyser leur geste comme l’appendice libertaire d’un racisme larvé et somme toute banal.
Paranoïa, calomnie et victimisation
Le milieu « autonome » serait selon ses détracteurs identitaires, remplis de religieux, de post modernes et de racialistes. Il est évident que la nature obsessionnelle de l’accusation les pousse à combattre des fantômes qui n’existe que dans leur tète. Ils sont inquiets, font des scandales dans des squats, des réunions ou des fêtes, obséder par le moyen de provoquer un conflit, de dépister et de condamner… Ils font des procès en sorcellerie a toutes et tous. C est une inquisition sans les moyens de l’être…
Pourtant, personne dans nos milieux ne prétend abandonner la lutte de classe au profil de la race, personne ne défend l’obscurantisme religieux… Ils se marginalisent donc tout seul en calomniant à tour de texte long ou se ridiculisent à coup de tractation malhabile.
En s’attaquant à tout le milieu autonome, ils ne s’y sont pas fait des amis. Le fait est que tout le monde déteste ces anarcho-identitaires. Tout le milieu a mis, spontanément, un peu partout, comme un cordon sanitaire autour d’eux, ils sont ostracisé, ou essuient les railleries, les moqueries. On les voit se séparer peu à peu d’amis de longue date. Leurs coups d’éclats et leur comportement ne les ont pas aidés. Bien sur il y a eu quelque soutien en province, mais ceux qui ont fait allégeance, peut être par chantage affectif, souvent ne connaissent pas l’embrouille et beaucoup se repentent déjà de s’être mis à défendre des racistes.
Personne ne sait qui a attaquer leur librairie a la con où personne ne va jamais, a part visiblement pour casser soit des vitrines, soit du sucre sur le dos des musulmans. Ce non lieu est une sorte de nouvelle Vielle Taupe (on retrouve dans ce micro monde pas mal d’ancien plus ou moins repentit) qui a troqué l’antisémitisme pour l’islamophobie. ils sont cramé et le resteront pour longtemps
On comprendra toutefois que les réactions officielles doivent laisser place à une certaine solidarité de façade (sans mauvais jeux de mots) « on ne peut pas casser comme ca des vitrines d’une libraire anarcho-identitaire ». On remerciera toutefois les « mutus » de nous avoir épargné le flot de bassesses qui accompagne chacune de leur déclaration pour ne publier, discrètement, que ce que « la neutralité » impose : le strict minimum. Toutefois, s’il y a une critique à faire de ce cocasse bris de vitrine c’est qu’il a servis à faire un coup de pub. L’audience des ces zigotos a été démultiplié depuis qu’ils ont su s’adonner au racisme le plus immonde… il suffit de versé dans le populisme pour faire du buzz mais la posture de victime en plus … ca c’est tip top… Bien sur personne ne participe a leurs débats « ouvert », a leur tentative de « médiation » par peur d être assimilé a eux voir même d’apparaitre comme trop complaisant. En somme ils se brouillent tout les jours un peu plus avec le peu de gens qui les considèrent autrement que comme de simple raciste a éviter.
Le plus amusant est aujourd’hui de les voir se diviser : même un des fondateur de la Discordia a quitter le groupe de quatre personne qui l’animaient, tant l’obsession de ses camarades lui semblait insupportable.
Mais qu’est ce que on va faire avec ces vieux coqs et jeunes oies édifiantes ?
L’heure n’est pas à une escalade de violence, ni à essayer de tuer les cadavres. A quoi servirais de renforcer un ostracisme déjà presque unanime ? On ne pourrait que les renvoyer à leurs propres obsessions. Non, il faut les aider !
Oui, on a tous dans notre famille ou au travail des personnes qui dérivent, qui croient au illuminatis ou aux reptiliens. Et bien non, on ne pourra pas abandonner ces personnes à la merci de la haine raciste et du confusionnisme abscons. Comme qui dirait : « On vous aidera avec bienveillance, on ne vous laissera pas tout seul face à votre bêtise ». Avec le temps de l’eau passera sous les ponts peut être nous oublierons, peu être même nous pardonnerons…
Des personnes sans couleurs car universelles, universitaires bourgeoises, hooliganisés, qui fantasment sur les banlieues et veulent se convertir a l’islam, car victimes de « la haine de soi » propre au post moderne illusionnés par une fausse critique compatible avec les idéologies de l’état du capital.
PS : Nous somme des lâches anonymes, des loups solitaires en plein processus de radicalisation (appeler tout de suite Stop Djihadisme au 0 800 00 56 96 )
Sans doute faut-il provisoirement s’habituer à ce que n’importe quelle attaque publiée contre ceux qu’elle identifie comme ses ennemis pour d’obscures raisons d’ordre strictement privées de proximité supposée avec l’objet principal de son harcèlement, provoque chez la harceleuse si peu masquée une réaction pavlovienne en écho. Une certaine vigilance collective à ce sujet est à minima de mise, et les signes qui permettent de reconnaître ses éructations incontrôlées sont finalement assez clairs : beaucoup d’inexactitudes (la rixe à propos des tags négationnistes n’a pas eu lieu là où elle le dit, et elle maintient volontairement un flou mensonger sur une partie des événements pourtant établis puisque ce n’est pas cet aspect qui a pu faire polémique, de manière à accuser qui ça l’arrange) qui permettent de faire monter une mauvaise sauce, aucun fond argumenté qui rendrait un positionnement politique identifiable (et pour cause), une capacité à manger strictement à tous les râteliers, à valoriser ses ennemis d’hier comme si de rien n’était (elle fait appel formellement par exemple à un féminisme et des « milieux » qui étaient il y a peu la cible de cette même hargne), une sale odeur de raclure de bruits de fonds de chiottes mal nettoyées, une monomanie avérée quant à ceux dont elle parle, puisque c’est la seule chose qui l’intéresse.
En l’occurrence elle se met ici du côté d’un texte qui valorise le poukavage et défend que ceux qui ont un travail ne doivent pas risquer la prison, bravo !
Alors face à tout ça et pour remettre les choses à leur place, il faudrait d’abord ne pas y faire d’écho, puisque ça ne marche que comme ça… Soyons vigilants, quels que soient les désaccords, personne n’a intérêt à ce que les débats se placent à ce niveau-là et les trollages variés ne produisent que confusion. En revanche donner de l’écho à un harcèlement c’est y contribuer, comme on l’apprend dans les cours d’école, et le harcèlement, pas besoin d’un bac+5 en militantisme pour savoir que c’est répugnant.
Bon courage en revanche à ceux qui pensent se servir de tout ça pour régler de vieux comptes sans passer par la case politique ! Savoir que tout ça ne peut que finir par se retourner contre eux n’est même pas une consolation…
dites les gens, vous pourriez sortir de vos nombrils un peu ? le texte a été validé parce qu’il décrit une réalité vécue par beaucoup, partout, et ne s’attache pas à décrire une personne ou un groupe, contrairement à ce que vous semblez y voir. En tout cas pour quelqu’un-e qui passe par là, non on ne sait pas de qui / quel lieu il est question. Il n’y’a pas que vos histoires sans cesses ressassées qui comptent et surtout, une fois de plus, les commentaires ne sont pas là pour régler des querelles de clocher. Donc soit vous parlez FOND POLITIQUE, soit vos commentaires seront refusés. Et nous n’hésiterons pas à les couper si vous ne sortez pas de cette spirale infernale qui nous gave tou-te-s.
Tiens tiens : http://paris-luttes.info/ne-dis-jamais-jamais-jamais-6942
« beaucoup d’inexactitudes (la rixe à propos des tags négationnistes n’a pas eu lieu là où elle le dit » :
http://paris-luttes.info/projection-de-n-avoue-jamais-6336
Et donc ?
D’autres commentaires ont été retirés.
Une fois encore les mêmes personnes confondent la possibilité de commenter sur indymedia (complément d’information, confrontation d’idées politiques) avec un foirum où débaler son linge sale et faire de la délation est plus important que comprendre qu’un texte peut parfois sortir d’un cas particulier pour dénoncer un comportement opressif général que tout le monde connaît et croise à un moment ou à un autre dans la lutte.
Indymedia est précisément fait pour ça. Pour que des personnes puissent sortir de comportement oppressifs. Et nous ne connaissons aucun-e protagonistes des histoires que vous nous balancez en commentaires, nous n’avons aucun moyen de savoir qui dit vrai… par contre nous avons moyen de différencier un texte généraliste d’un trollage délatoire.
Merci de revoir vos pratiques politiques ou d’aller vous troller ailleurs.