Notre dame de l’accueil, angers
Catégorie : Local
Thèmes : Exclusion/précarité/chômageRacisme
Malheureusement des bénévoles ont une attitude de dictateurs, et sont insultants, envers ceux qui y viennent manger, agressifs devant des gens qui ne comprennent pas un mot de français au moindre mot de renseignement qu’ils peuvent tenter de demander (le vendredi, le samedi et le lundi cette année 2009/2010 particulierement avec Françoise la trésoriére), ce, de la part de bénévoles aux interprétations erronées de la réalité (malades des nerfs). Les 1E demandés sont attribués uniquement pour cette dame tresoriere et son frére president de l’association, car au contraire de ce qu’ils disent, toute la nourriture est DONNEE par le service Eparc de la mairie (comme à Aide Accueil) et les autres gentils bénévoles n’en conaissent pas la couleur. Les bénévoles dictatorials, et d’un racisme latent, qui veulent assimiler sinon asservir (et non intégrer) les étrangers, emportent la nourriture qui restent, alors qu’elles est normalement attribuée aux accueillis qui mangent ici (c’est pour cela qu’ils demandent 1 E ici pour un repas au lieu de 50ct à Aide Accueil).
Appel à toute personne de bonne volonté pour remplacer ces personnes bénévoles néfastes, pour rejoindre les vrais qui font ce travail non pour maltraiter des gens, mais par amour des autres !
A Aide Accueil il y a moins de bénévoles-dictateurs mais il y en a. C’est de la pure méchanceté, lorsque le jour du changement d’heure, alors que les étrangers venant d’arriver en Europe, ne parlant pas un mot de Français et pratiquement pas d’Anglais d’ailleurs peu compris par ces bénévoles, ne peuvant avoir compris ce qu’il en est, sont refusés à manger (avec comme vague excuse en toile de fond que “ça leur apprendra”…). Ces demandeurs d’asile, ont souvent perdus toute leur famille, comme ce jeune homme de 25 ans qui se met à pleurer devant moi, apres m’avoir dit que sa famille lui manquait, et que sans plus réfléchir je lui demande s’il peut les appeller…
Il y a bien pire que ça, à Notre Dame de l’Accueil (à l’époque en particulier de l’article précédent, période 2008-2009)et Aide Accueil L’endroit est peuplée de personnes entreprises par des indics et agents secret de police, qui propose de l’argent, pour de menus renseignements : recrutement de “pions”, servant à l’exécution de “harcèlement en réseau” (ou dit, d’Etat, pour le compte d’agents du ccas et du conseil général. Une personne à fais les frais -grave- de cette présence, acceptée, par une direction, pour le moins, à la fois dépassée et consentante. Annick M travaille à NDA comme bénévole : “Moi je suis un bon petit soldat, je fais ce qu’on me dit de faire”. Mr Philippe D est indic, se dit le filleul de Mr Antonini maire d’Angers jusqu’en 2012. Mr D travaille pour l’agent secret Yves F (qui se fait appeler, L). Annick M désigne la future victime de Y.F, à P.D (c’est son travail, il “s’occupe” d’une cible, la séduit, puis la donne à son patron, dont la spécialité est de “détruire les gens” , ce qui était la thèse de son sujet à traiter pour entrer dans les Renseignements “la désorientation d’une personne” -pour la neutraliser-). Mr P.D est dérangée, il assure son service corps et âme à ce patron doué pour rouler les gens. Y F (L), s’est attribué aussi les services d’une famille issue des gens du voyage, les L, une famille particulièrement connue pour être douée pour ça, et que son équipe -de police- à recruté depuis longtemps -harcelé, isolée de leur groupe, fait arrêter la route, installé dans un appartement payé par ses services, pour exécuter des écoutes téléphoniques illégales, donné sur listing,à Anthony L, servant “aux services sociaux, avant enquêtes légales”. Pour atteindre la cible, P. D suit un régime pour grossir, car anorexique, il est squelettique. Il accepte aussi, qu’a la fin du contrat de cette “mission”, il devra, se laisser mourir presque de faim (arrêtant son traitement), pour pouvoir faire agresser la cible qu’on aura rendu responsable. Annick M à la charge de “présenter” et faire accepter P. D à la cible, en la menaçant à Notre Dame de L’accueil, puis à lui faire prendre, à elle, un traitement, qu’elle présente aux autres bénévoles, comme étant nécessaire à sa vie. Selon Annick M, si elle ne “prends pas son traitement” elle mourra. Les autres bénévoles s’inquiétent peu à peu, car la cible parait en bonne santé, saine d’esprit, ne prends aucun médicament. C’est une pratique, illégale bien sur, mais qui s’effectue pour certaines personnes : mettre dans sa nourriture ou ses boissons un produit, médicamenteux ou toxique. “Elle va s’affaiblir peu à peu, tout doucement, sans faire de bruit, parce qu’on ne sent rien au début. Puis un jour on la retrouvera inanimée. Si encore on la trouve. Elle n’avait qu’à pas venir ici”, a t on entendu dire Annick M (ce qui sous entends, que c’était bien une excuse). Ceci peut apparaitre comme une sombre plaisanterie. Incompréhensible pour la cible. Non loin de qui, on effectue ce genre de “conversation”: “Nous on nous a dit qu’elle était malade, qu’il fallait absolument lui en donner. Mais on sait pas ce que c’est exactement, ce qu’on lui donne. Elle à pas l’air malade, elle prends rien, bon elle se plaint de rien non plus de ce qu’on lui donne, mais enfin moi ça m’inquiète. il faudrait qu’elle vienne plus ici. ça risque de mal finir; Et on pourrait en être responsable. il ne faut plus qu’elle vienne ici. on va trouver un moyen pour la faire partir”. Un an ou deux auparavant, Y.F (L)à menacé la cible, qu’il faisait semblant de croire, ou croyait, prostituée : “a moi on ne refuse rien vous devriez le savoir, je vous préviens si vous n’acceptez pas, vous serez punie, je vous blesserai, je vous veux et je vous aurez, je vous tirerai dessus, je vous blesserai, vous en aurez des séquelles, vous en aurez des séquelles, vous entendez ? je vous préviens. je vous blesserai, je vous ferez tomber et après vous ferez comme les animaux blessé vous viendrez me lécher la main, ou autre chose si vous voulez…”. Mr Yves F(L)(de la famille d’une romancière pour qui il est “nègre” ainsi que pour d’autres écrivains, en plus de son métier d’agent secret, et des multiples activités officielles qu’il a et à eu) (ce Mr est aussi dotée d’un diplôme de psycho, ce qui le rends précieux pour les administrations qui l’emploie) vient manger à Notre Dame de l’accueil, et Aide Accueil, où il se fait passer pour un usager lambda. La cible est mis à l’écart du lieu, après un an dans le centre. Elle va ensuite à Aide Accueil, ou Annick M l’a rejoint “Ou vous irez, j’irai. J’ai quelque chose a vous donner, à vous faire prendre. Je mènerai à bien ma mission que je mènerai à son terme. Je vous préviens que là bas où vous m’avez vu, on dira que je n’y ai jamais été”. La cible reste deux ans usager de ce nouveau lieu. Puis retourne à NDA. Ou Annick M revient à son tour. Effectivement, la plupart des bénévoles et la direction nie la présence antérieure d’Annick M, la disant arrivé seulement il y a un an. Bien entendu des usagers de longues dates, plus honnêtes, savent bien que cette Annick était là avant son passage ailleurs. “Oui ben je suis partie un moment, et puis maintenant je reviens” avait dit à quelqu’un Annick M qui l’avait interrogé il y a un an environ. Annick M a aussi dit devant la cible : “effectivement je ne savais pas qui vous étiez, mais j’avais raison de trouver que ce n’était pas normal que vous veniez ici”. On aurait fait passer la cible, pour un autre agent secret, à neutraliser… Les motifs et les moyens sont criminels. Mais assez courants dans ces lieux, laissant à l’œuvre de tels pratiques, les gens y étant réputés sans défense. eau de javel, eau sale, et tous produits d’usage courant suivant la fonction du lieu où ils se trouvent, sont couramment utilisés pour “punir” ceux que l’on désignent à l’être. Mr P. D à dans sa famille un labo d’analyse, 4 bd Bessonneau, l’infirmière Pauline V y exerce. son supérieur lui demande “de le faire”. Ce qui sera une injection, au lieu d’une prise de sang prévue, provoquant une thrombose, abimant irrémédiablement la vue de la cible. Ceci en représailles pour avoir fait enlever un chien via la spa à Philippe D, qui bat ses chiens, lorsqu’il va mal. C’est le supérieur, ou collaborateur de Pauline V, qui le lui demande. Pauline V a été précédemment convaincu de le faire par Maxime L (de la famille citée plus haut). Ensuite, il s’agit de faire passer la cible pour folle. Dire que Annick M est nouvelle est une preuve, de l’assurance de ceux qui était au courant et ont fait preuve de non assistante à personnes en danger.