Trois grosses mobilisations générant des prises de conscience que le fascisme est l’affaire de tout.es, n’auront pas suffit à faire lever l’ombre d’un sourcil à une municipalité engluée dans des arguments fallacieux.

Malgré le ton déterminé de la population locale et des syndicats, les personnes en charge de la gestion du marché s’entêtent dans leurs choix. Elles continuent à décider selon leur seul jugement et n’écoute aucun argument. Elles valident sans honte le maintien des commerçants fascistes que sont les Blancs de l’Ouest.

Pendant ce temps de joyeux lurons nous démontrent par une audace vertigineuse que la lutte ne désarme jamais. Les résistant.es au fatalisme gravissent les obstacles si impressionnant soient-ils. Inspirons-nous de leur courage pour créer de nouvelles oppositions au pouvoir de nuisance de l’engeance fasciste.

Les Blancs de l’Ouest ne resteront pas à Chalonnes. Leur entreprise est une imposture à tous les niveaux. Pire la gangrène se poursuit. Les charcutiers viennent de s’installer sur le marché du dimanche matin à Bouchemaine.

Par ailleurs, nous restons vigilants sur la participation d’entreprises affiliées à ces groupes néonazis (Flamme Angevine, Blancs De l’Ouest, Domaine Les Canons…), à la fête des vins de Chalonnes du 17 et 18 mai 2025. La présence d’une de ces enseignes seraient une énorme erreur. Aucun.e Chalonnais.e n’a envie de revivre le scandale de 2024.

Les moyens pacifiques ont été tentés. En vain. Quand le pouvoir en place n’agit pas de façon juste, les moyens pour rétablir la justice montent d’un cran; c’est ça la résistance. Augmentons la pression maintenant. Un élu avait suggéré que Chalonnes puisse devenir une ZAD. Prenons le au mot.