Marie drucker bafoue la charte des journalistes
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La déontologie du journaliste a été définie pour la première fois en juillet 1918 par le Syndicat national des journalistes. Elle a été redéfinie en janvier 1938 dans un document intitulé la
qui sert de référence éthique aux journalistes professionnels :
-un journaliste, digne de ce nom, prend la responsabilité de tous ses écrits, même anonymes;
-tient la calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des faits, le mensonge pour les plus graves fautes professionnelles;
-ne reconnaît que la juridiction de ses pairs, souveraine en matière d’honneur professionnel;
-n’accepte que des missions compatibles avec la dignité professionnelle;
-s’interdit d’invoquer un titre ou une qualité imaginaire, d’user de moyens déloyaux pour obtenir une information ou surprendre la bonne foi de quiconque;
–
-ne signe pas de son nom des articles de réclame commerciale ou financière;
-ne commet aucun plagiat, cite les confrères dont il reproduit un texte quelconque;
-ne sollicite pas la place d’un confrère, ni ne provoque son renvoi en offrant de travailler à des conditions inférieures;
-garde le secret professionnel;
-n’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée;
-revendique la liberté de publier honnêtement ses informations;
-tient le scrupule et le souci de la justice pour des règles premières;
-ne confond pas son rôle avec celui du policier.
Des liens trop étroits entre presse et pouvoir dénaturent la fonction d’informer et remettent en cause l’éthique de la profession telle que définie par sa charte. En cela, Marie Drucker bafoue la charte des journalistes. Aux journalistes à exiger que soient respectées à la lettre les règles qui consacrent (théoriquement !!!) leur indépendance !
En réponse à certaines interrogations (compréhensibles en cette période liberticide) sur la crédibilité des journalistes (ce mot a-t-il encore un sens ?), il convient de dire qu’il existe encore une poignée d’entre eux (quelques centaines?) dignes de leur mission.
Ils ont, pour la plupart, été écartés des médias et journaux. Ce qui ne les empêche pas de continuer à écrire, sur les réseaux du Net. Et d’être, pour certains, scandaleusement poursuivis en justice, comme c’est le cas pour Denis Robert, quand ils ne font que leur travail !
Les autres, soit 80 à 90% des 34 000 encartés qui se prétendent journalistes, ne sont, en fait, plus que des « communicateurs » serviles et craintifs ou des agents de propagande au service d’une presse -écrite et audiovisuelle- aux mains des marchands d’armes (Dassault, Largardère,etc.) et des gouvernants de l’extrême-droite UMP. Ils ont perdu toute crédibilité.
Marie Drucker et Béatrice Schônberg (pourquoi n’est-elle pas citée ?) ont annoncé qu’elle se retiraient de l’antenne à partir de février, pendant la campagne électorale.
Ho merde, t as dit avec qui elle sortait, je vais pas devoir acheter gala(ou voici) pour le decouvrir:
t as gaché ma journee! c est pas sympa!
c’est la connivence constante entre journaflics et politicards !
y’a pas besoin de coucher pour cela …
enfin, à quoi bon « retirer » de l’antenne ces 2 présentatrices dont on connait les liens avec ces 2 ministres, quand d’autres liaisons, amitiés (Sarko-Bouygues par ex ), liens (rappelons nous de la fondation St Simon par exemple ) ne sont pas, au moins, énoncés clairement …