[nantes] arpentage – community organizing et mobilisations dans les quartiers populaires
Publié le , Mis à jour le
Maison du peuple - 17, rue du Chapeau Rouge - Nantes
[L’auto-formation habitante continue !]
Après la semaine riche des Ateliers d’été, un nouveau temps d’apprentissage et de partage de savoir se profile, samedi prochain, 18h30, à La Maison du peuple !
Pour cette rentrée, avec Alternatiba, nous vous proposons de plonger dans le community organizing (sorry, pour le moment les équivalents français ne sont pas folichons).
- Community… quoi ?
En quelques mots : il est question du processus par lequel les habitant.e.s s’organisent pour avoir plus de pouvoir d’agir et défendre leurs intérêts communs notamment face aux institutions publique et aux entreprises dont les décisions impactent notre quotidien.
Lors de cet arpentage, nous lirons la revue « Ma cité s’organise ». Celle-ci propose une généalogie et une typologie des pratiques dites de community organizing.
Pour la petite histoire (et pour teaser un peu) : le community organizing est né aux États-Unis, dans le contexte d’une société civile dynamique face à un État social minimal marquée par une forte présence du religieux dans l’espace public et une représentation de la classe ouvrière mal assurée par le système partisan. Il s’est depuis exporté.
Derrière un projet partagé de promotion de la justice sociale par la participation des premiers concernés se dégagent plusieurs modèles, méthodes et stratégies de changement social qui sont abordés dans cette revue.
- Et sinon, un arpentage, c’est quoi ? Comment ça se passe ?
L’arpentage est une méthode d’éducation populaire de découverte à plusieurs d’un ouvrage, en vue de son appropriation critique. Concrètement, le texte sera divisé en différentes parties pour que chacun.e en lise une et puisse en faire un retour résumé aux autres participant.e.s. L’idée est de prendre un temps de débat par la suite pour partager nos impressions et questionnements sur le sujet.
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* Concernant les mesures d’hygiène, le port du masque et la distanciation sociale seront appliqués. Du gel sera également à disposition pour se laver les mains.
Les communistes et autres trostkistes de « «Nantes en Commun» » qui étaient favorable lors des dernières municipales à plus de police, plus de caméras à Nantes : Barrez vous !
https://nantes.indymedia.org/articles/51030
Le « communauty organizing » (méthode Alinsky, Paulo Freire etc ) est soutenu par les différentes églises catholiques, protestantes, par les islamistes, par différents ministères et organismes étatiques etc tout comme par La France insoumise ou le NPA pour tenter d’imposer ce modèle aux quartiers populaires réels ou fantasmés, qui s’abstiennent en masse lors des élections.
Leurs financements proviennent d’industriel-le-s et des religieux ainsi que des pouvoirs publics.
On a vu la grande récupération politicienne lors des dernières (2020) municipales en fRance ….
à lire (peu critique ) :
https://www.contretemps.eu/naissance-community-organizing-france/
Vous trouverez ici, en téléchargement, la première brochure des éditions LE POING : Quelles règles pour les radicaux ? Plongée critique dans « Rules for Radicals » de Saul Alinsky.
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Passer en revue la « méthode Alinsky » pour reprendre l’expression sous laquelle les idées d’Alinsky sont transposées dans le travail social et le militantisme en France peut se décliner sur plusieurs axes. L’objet de notre brochure « Quelles règles pour les radicaux ? » sera donc prioritairement une analyse de Rules for Radicals : A Pragmatic Primer for Realistic Radicals traduit dans sa première version française en « Manuel de l’animateur social »(1). Reprenant un titre et un sous-titre étant plus fidèles à la version originale, il a également été édité récemment sous le titre Être radical : Manuel pragmatique pour radicaux réalistes.
Parfois présenté comme « a god hating anarchist » par certaines fanges de la droite aux États-Unis et blâmé pour son influence réelle ou supposée sur le parti Démocrate et l’État Fédéral ; en France, il est très largement promu par l’Institut Alinsky, l’Alliance Citoyenne, le mouvement Les Désobéissants, dont on retrouve une forme de déclinaison locale avec la Boîte Sans Projet et également dans le champ partisan par Francois Ruffin, Talpin & Balazard (indigénisme etc ) et La France Insoumise.
Globalement, le champ du travail social et la gauche associative et citoyenne ont été pénétrés par ses idées. Cette promotion passe par la réédition de Rules for Radicals et des formations à la « méthode Alinsky ». Ces promoteurs, notamment les membres de l’Institut Alinsky, ou Les Désobéissants deviennent comme les premiers organisateurs de l’Industrial Area Foundation, des permanents de la radicalité, rémunérés notamment pour les formations au militantisme qu’ils réalisent. Le démarchage de la clientèle de ces formations se fait tout simplement par le multipositionnement dans les réseaux militants et dans les collectifs de luttes naissant où sont d’abord proposées des formations pratiques gratuites comme produit d’appel avant la proposition de formations payantes avec tarifs préférentiels pour les personnes en difficultés. Certaines de ses organisations vivent également de formations dispensées pour les membres d’associations, les salariés d’entreprises ou de collectivités territoriales. En définitive pour qui milite suffisamment longtemps dans la gauche et l’outre-gauche contemporaine, il est difficile de ne pas croiser un promoteur de la méthode Alinsky et c’est d’ailleurs ce qui motive notre texte.
On notera que ces idées sont introduites en France sous couvert de l’expression de « méthode » et sous la forme d’une liste d’étapes à respecter, sans doute pour rassurer sur la supposée rationalité et efficience des techniques présentées auprès des particuliers et des associations. Si « Rules for Radicals » y est mentionné, à aucun moment son contenu n’est réellement discuté, et cela est l’objet de notre brochure. Puisque parler des « théories d’Alinsky » ou de « l’idéologie d’Alinsky » serait sans doute trop ouvrir la porte à une critique sur le fond de cet outillage.
Cela est cohérent, Alinsky lui-même se mettant dans une posture anti-idéologique, du réalisme, du pragmatisme. Une rhétorique tellement usée par la droite (française et internationale) qu’elle nous paraît un bien misérable cache-sexe pour avancer une idéologie particulière. Idéologie est ici bien entendu dans le sens de système plus ou moins cohérent, et pas forcément conscient, d’idées permettant de poser un regard sur le monde passé, présent et à venir… Prétendre être dépourvu d’idéologie pour le monde social est comme prétendre être dépourvu de perception pour le monde physique.
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1. La figure centrale de l’ouvrage, après Alinsky lui-même, est celle du « community organizer » traduit dans le titre par « animateur social » mais que nous appellerons dans le cadre de cet article « organisateur » ou « organisateur professionnel ».
http://fa-amiens.org/Pour-en-finir-avec-le-fumiste-Saul-Alinsky.html
Des associations citoyennes française s’inspirent du modèle du Community organizing venu des Etats-Unis. Mais cette transposition révèle aussi ses dérives.
Le community organizing structure les luttes dans les quartiers populaires aux Etats-Unis. De nouvelles pratiques se développent. Une approche moins idéologique et plus pragmatique permet de remporter des victoires concrètes. La revue Mouvements, dans un numéro intitulé « Ma cité s’organise », présente ce nouveau modèle. « Les Etats-Unis, ce pays où les inégalités sociales sont plus fortes que jamais, où les minorités raciales sont discriminées, incarcérées – sans parler de leur assassinat par la police – pourraient-ils inspirer un renouveau du militantisme dans les banlieues françaises ? », interroge l’éditorial.
En France, les quartiers populaires subissent également la précarité, le mal logement et le racisme. Mais les associations restent soumises aux subventions et aux institutions. Le community organizing repose sur un militantisme de proximité, ancré dans les lieux du quotidien, pour impulser des luttes concrètes souvent victorieuses. « Ces formes de contre-pouvoir contribuent à ce que les habitants des quartiers populaires résistent au clientélisme, à l’encadrement et au contrôle social que leur imposent les institutions », présente l’éditorial.
Ces nouvelles pratiques peuvent permettre de renouveler le mouvement social. La politisation des classes populaires reste un enjeu majeur. Malgré l’existence de professionnel et de leaders, le community organizing valorise les luttes à la base et l’auto-organisation. « A l’opposé de l’avant-gardisme qui a longtemps marqué le mouvement ouvrier au XXe siècle, les expériences présentées dans ce dossier ont en commun de chercher à faire des classes populaires, prises dans leur diversité, les actrices de leur propre émancipation », introduit l’éditorial.
Une histoire américaine
Julien Talpin et Hélène Balazard présentent le modèle du community organizing. Des professionnels de la mobilisation permettent aux habitants de s’organiser eux-mêmes pour lutter et obtenir des améliorations concrètes de leurs conditions de vie. Ces associations sans but lucratif s’implantent dans les quartiers et les lieux de vie.
Aux Etats-Unis, le développement de la société civile repose sur une défiance à l’égard de l’Etat. Aucun parti de masse ne prétend représenter la classe ouvrière américaine. Les syndicats les plus puissants représentent les fractions les mieux intégrées des classes populaires. Les Noirs et les immigrés restent exclus de structures qui regroupent surtout des ouvriers qualifiés et blancs. Il existe donc un vide politique pour représenter les classes populaires, à la gauche du Parti démocrate. Ensuite, l’Etat délègue à la société civile de nombreux services. Le community organizing est alors soutenu par les institutions et bénéficie du financement de fondations privées. Cette pratique peut devenir managérial et renforcer la pacification sociale. Mais le community organizing peut également s’opposer aux politiques néolibérales.
Des associations s’inscrivent dans des pratiques caritatives et proposent de simples services. En revanche, le community organizing entretien un rapport critique avec les élus et les institutions. « Il entend favoriser l’organisation collective et autonome des quartiers populaires afin de créer un rapport de force avec les pouvoirs établis », précisent Julien Talpin et Hélène Balazard. Les manifestations et actions collectives précèdent toujours les négociations. Les associations reflètent donc une diversité de pratique, de la lutte autonome jusqu’au soutien à des candidats aux élections.
Le modèle du community organizing se développe également en France. L’Alliance Citoyenne de Grenoble valorise l’autogestion et semble critique par rapport aux institutions. En revanche, Stop le contrôle au faciès semble davantage intéressé par la conquête du pouvoir avec la candidature de listes citoyennes aux élections locales. Les méthodes du community organizing inspirent plus largement de nombreuses associations et des animateurs sociaux.
Une diffusion en France
Une table ronde de chercheurs et militants évoque le community organizing en France. Stop le contrôle au faciès se contente d’interpeller la justice. Mais cette expérience permet surtout aux habitants des quartiers de retrouver confiance dans leur force collective. « Quand les gens sentent qu’ils ont une capacité à faire changer les choses, ils se bougent », observe L. Réal. Pour l’Alliance Citoyenne, les actions et les pratiques de lutte permettent la prise de conscience politique. « La rue est un super lieu d’éducation, c’est important de concevoir les actions comme des moments d’éducation politique », estime Adrien Roux.
Les associations reproduisent une séparation entre les leaders et les simples participants à l’action. Des formes de hiérarchies se développent. « Alors c’est sûr que d’une part il y a des leaders qui vont émerger et qui vont maîtriser les dossiers, et d’autre part des gens qui vont être prêts à se battre sans avoir forcément tous les éléments », reconnaît Adrien Roux. Les associations tentent d’adopter des pratiques démocratiques et de décisions collectives, mais elles sont également guidées par un souci d’efficacité.
Adrien Roux développe un discours ambigu. Il défend le conflit comme un moyen d’intégration sociale. L. Réal développe même un discours républicain et tente de redonner la fierté d’être Français aux habitants des quartiers. Les associations semblent défendre davantage la pacification sociale que le conflit et peuvent même adopter des discours d’extrême droite sur la fierté nationale. Alliance Citoyenne dialogue avec la mairie de Grenoble. Ils forment un contre-pouvoir qui se contente d’une vigilance mais qui refuse la conflictualité ouverte. Les actions médiatiques doivent se contenter de faire pression sur la mairie, mais pas de remettre en cause sa légitimité à gouverner. Stop le contrôle au faciès discute même avec les syndicats de police. L’apologie du pragmatisme et du concret peut déboucher sur les pires crapuleries politiciennes, sans améliorer le quotidien des classes populaires.
Samir Hadj Belgacem présente la démarche du Conseil Local des Jeunes (CLJ), valorisé notamment dans les municipalités communistes. Loin de favoriser l’auto-organisation comme aux Etats-Unis, la France s’appuie sur l’Etat. Les jeunes ne doivent développer des pratiques de lutte mais subir le bourrage de crâne citoyen : apprendre l’écoute, la négociation et la soumission aux autorités. Ils doivent également connaître le fonctionnement de la mairie et des institutions. Les élus doivent discuter de sujets dépolitisés et se conformer à une socialisation civique.
Mais les jeunes de cité perturbe cette institution et n’adoptent pas le comportement docile attendu. Ils n’hésitent pas à envoyer une lettre critique adressée au maire pour demander un espace pour se réunir. Ils lancent une commission qui met en cause la police. Mais le CLJ s’apparente à de la « démocratie participative » et les élus ne sont pas obligés de prendre en compte la parole des jeunes. Mais, au final, cette expérience permet une politisation. « Elle a renforcé les dispositions existantes à savoir la défiance des éducateurs et des jeunes de cités vis-à-vis des institutions et des élu.es de la gauche municipale », observe Samir Hadj Belgacem.
Un accompagnement néolibéral
Hélène Balazard et Robert Fisher soulignent la dimension néolibérale qui existe dans le community organizing. Dès 2006, David Cameron, alors chef du Parti conservateur du Royaume-Uni, encourage les associations. Il insiste sur l’importance de la responsabilisation individuelle. Contre l’Etat social, il invite les collectifs de citoyens à travers des subventions. Il s’agit d’une nouvelle forme de gestion de la misère. « Ce faisant, les associations et collectifs d’habitants sont mis en compétition et incités à gérer et non remettre en cause les inégalités sociales », analysent Hélène Balazard et Robert Fisher.
Anaïk Purenne évoque l’exemple des mobilisations d’usagers de drogue à Vancouver. L’association VANDU reprend le registre de la responsabilité individuelle et de l’autonomie. Les autorités publiques incitent également à cette participation. « Cette nouvelle normativité érige certes l’individu en acteur autonome capable d’optimiser ses ressources au service de ses propres aspirations, mais sans ébranler la distribution inégale des ressources et des pouvoirs », observe Anaïk Purenne.
Nicole Marwell évoque les associations de services. Elles sont mieux financées que le celles qui pratiquent le community organizing et surtout moins radicales. Elles cherchent à rendre service à la population, mais pas à transformer la réalité sociale. Elles entretiennent des liens privilégiés avec les élus et peuvent sombrer dans des relations de clientélisme.
Marie-Hélène Bacqué évoque la notion d’empowerment et son importation en France. Dans le travail social, cette notion vise à sortir des modalités d’intervention paternalistes et hiérarchiques. « Dans l’idée d’empowerment il y a l’idée de transformer la société, mais aussi de se transformer soi-même et collectivement en sortant de la stigmatisation et de la victimisation », présente Marie-Hélène Bacqué. Mais cette notion peut aussi renvoyer à la responsabilité individuelle, et non à la transformation sociale.
Un modèle fragile
Le modèle du community organizing provient de la société américaine et de ses spécificités. Malgré ses limites, cette pratique de lutte s’inscrit dans une longue histoire d’organisation des travailleurs précaires mais aussi des ouvriers noirs. Aux Etats-Unis, la lutte de classe se révèle particulièrement violente. Surtout, le mouvement social semble moins soumis à l’Etat. Une véritable culture de la société civile favorise davantage d’autonomie dans les luttes sociales.
En France le modèle du community organizing semble reproduire toutes les târes du Républicanisme franchouillard. Loin du pragmatisme américain, le bavardage idéologique prime sur les luttes concrètes. La marche pour la dignité et autres pitreries racialistes ne visent pas à améliorer les conditions de vie concrètes dans les quartiers populaires. Ensuite, les associations françaises restent soumises à l’Etat. Et pas uniquement à travers des subventions. Les associations adoptent toujours une posture pleurnicharde qui consiste à demander à l’Etat plus de droits. On est loin de l’auto-organisation et du conflit social.
En revanche, les associations françaises devraient davantage puiser dans une belle histoire des luttes de l’immigration et des quartiers populaires. Marginalisés par les organisations comme le Parti communiste et la CGT, les immigrés se sont organisés par eux-mêmes. Ils s’inscrivent dans la lutte des classes et défendent une amélioration de leurs conditions de travail et de vie. Des émeutes spontanées peuvent également éclater. L’objectif n’est plus le pragmatisme ou l’interpellation des institutions, mais une contestation globale de la société existante.
Source : Revue Mouvements n° 85, « Ma cité s’organise. Community organizing et mobilisations dans les quartiers populaires », La découverte, 2016
Editorial publié sur le site de la revue Mouvements
Sommaire du numéro en ligne sur le portail Cairn
Pour aller plus loin :
Vidéo : La démocratie d’interpellation : l’exemple de « Pas sans nous », publié sur le site de Mediapart le 22 octobre 2015
Vidéo : Ici l’Amérique 3/3, Racisme, Antiracisme : le match France – Etats-Unis, publié sur le site de Mediapart le 22 octobre 2015
Vidéo : La « marche de la dignité » : de nouveaux militantismes dans les banlieues, publié sur le site de Mediapart le 22 octobre 2015
Vidéo : Hélène Balazard : « Il est possible d’agir en démocratie », publié sur le site Mediapart le 21 juillet 2015
Vidéo : Hélène Balazard : Territomaton 2014 – retour sur expériences, publié sur le site du Centre National de la Fonction Publique Territoriale le 16 décembre 2014
Vidéo : Injonction à la participationet normativité, dans le cadre de la Journée d’étude Classes populaires et organisations militantes : transformations sociopolitiques et recompositions des liens avec le monde associatif et politique
Vidéo : Nicolas Duvoux, L’empowerment, de la théorie à la pratique. Entretien avec Marie-Hélène Bacqué, publié sur le site La Vie des idées le 10 mai 2013
Radio : émission avec Marie-Hélène Bacqué diffusées sur France Culture
Radio : Pour une critique de l’idéologie IDENTITAIRE, émissions mises en ligne sur le site Vosstanie le 1er août 2016
Adeline DL, Community organizing : Libertaire ou néolibéral ?, publié dans le journal Alternative Libertaire de juin 2016
Donatien Huet, Dans les banlieues françaises, « tout est fait pour que les habitants ne puissent pas s’organiser », publié sur le site d’Arte le 27 octobre 2015
Ixchel Delaporte, Quelles réalités de la participation citoyenne en France ?, publié dans le journal L’Humanité le 10 octobre 2014
Claire Malen, Agir dans les quartiers : de l’éducation populaire au « community organizing », publié sur le site Presse & Cité le 17 septembre 2012
Jean-Pierre Duport, Quelle place des citoyens dans le débat public ?, publé sur le site la Fonda, fabrique associative le 17 janvier 2013
La participation citoyenne, enjeu d’une démocratie territoriale, publié sur le site du collectif Pouvoir d’agir le 13 février 2013
Emilie Brouze, « Changer les choses autrement que par le vote », entretien avec Hélène Balazard publié sur le site Rue 89 le 14 décembre 2015
Emmanuel Daniel, Démocratie et citoyenneté: la France peut-elle s’inspirer du community organizing à l’américaine ?, publié sur le site Slate le 15 mars 2013
Link_go source avec des photos et des documents
Alternatiba = grillé partout
Quand les citoyennistes viennent s’encanailler dans les squats …