Gaza est une prison où deux millions de personnes sont bouclées par terre, par mer et par air.
Le monde entier sait que Gaza n’a presque plus d’eau ou d’électricité.
En dix ans, l’armée israélienne a commis trois grands massacres à Gaza.
Au sud-est de la Bande de Gaza, les paysans de Khuza’a résistent et cultivent des terres dont Israël voudrait faire un no man’s land. Les bénéfices récoltés au cour de cette soirée, qui ouvrira la semaine contre l’apartheid israélien, permettront de financer un projet d’aide à l’irrigation de ces terres.
A la Bascule (2 Rue de la Bascule, métro Anatole France). Prix libre.

Programme :

19h : Présentation de la situation dans la Bande de Gaza et du projet mené par l’Union Juive Française pour la Paix auprès des paysans de Khuza’a, par V. Petit, S.Katz et P.Stambul

Vivian Petit de BDS France a passé trois mois à Gaza, en 2013. Il en a tiré un ouvrage, « Retours sur une saison à Gaza », détaillant la manière dont la « bande » est soumise à un blocus depuis plusieurs années déjà.

Sarah Katz et Pierre Stambul de l’UJFP (Union Juive Française pour la Paix) ont pu séjourner à plusieurs reprises Gaza. La dernière fois en mai-juin 2016.

Ils expliqueront comment la population continue à vivre, à résister, à imaginer l’avenir. Ils vous proposeront d’être solidaires.

20h30 : Démonstration de Dabkeh (danse populaire palestinienne) par deux camarades palestiniens.

21h : Concert du groupe What a day (contrebasse/voix).

Duo voix et contrebasse, musico-théâtral aux accents très « sixties », What a day reconstitue l’ambiance d’un bureau des années soixante et fait de la musique à partir des différents accessoires qu’on pouvait y trouver : la machine à écrire, le taille-crayon à manivelle, le téléphone à cadran…