Soirée de discussion et d’information sur la réalité vécue par le peuple grec et les luttes qu’elle soulève.

en compagnie de Pascal Franchet, président du CADTM France.

Cette soirée initiera une nouvelle collecte en direction du prochain convoi solidaire de novembre vers la Grèce, en soutien avec  ceux qui n’ont cesse de résister ici comme ailleurs face à l’austérité en organisant des lieux solidaires autogérés : centres sociaux, cuisines gratuites, dispensaires médicaux, ou hébergements pour réfugiés. Des cartons seront disponibles pour recevoir vos dons (fournitures ou argent)

Vous trouverez ici la liste des besoins principaux.

Il s’agit d’apporter un soutien politique, matériel et financier au mouvement social en Grèce, qui résiste, crée et multiplie les initiatives solidaires autogérées ( tant à l’égard des Grecs frappés par une austérité mortifère et une misère dévastatrice qu’à l’égard des réfugiés et migrants bloqués en Grèce ).
Ce convoi est bien plus « qu’humanitaire ».
Notre action est totalement politique.
Notre action soutient directement la résistance, s’inscrit complètement dans la solidarité au sein du mouvement social de manière totalement indépendante.
Cette indépendance et ce type d’initiatives de résistance est indispensable pour ne pas laisser ce terrain à certaines fondations ou associations humanitaires créées par les firmes et les multinationales pour améliorer leur image (social-washing) alors qu’elles sont souvent responsables de la privatisation ou de la destruction du bien commun
( par exemple Vinci, GDF-Suez, EDF, Veolia et beaucoup d’autres firmes françaises prédatrices en Grèce ).

C’est pourquoi notre convoi est avant tout un convoi solidaire.
La Grèce constitue le laboratoire d’expérimentation des pires politiques libérales de l’Union Européenne qui ont conduit à une crise économique profonde et à une crise humanitaire sans précédent.
Le peuple grec est pris en étau entre les intérêts de la dette, l’intérêt des classes dominantes et les politiques ultra-austéritaires imposées notamment par l’Union Européenne.
Pour toutes ces raisons, apportons toutes les formes de soutien possibles au mouvement social grec !