Réunion publique de la Souris Verte

(collectif libertaire d’écologie politique)

 

Mercredi 9 octobre à 18h47 chez Ramon et Pedro

 

 

Quelques bonnes raisons pour y participer :

– On fait de la politique mais contrairement à d’autres assos, on n’est lié-e-s à aucun parti politique.

– On essaie de ne pas hiérarchiser nos combats mais d’articuler lutte sociale, politique et environnementale.

– On tente un maximum d’être cohérent-e-s dans nos actions et nos luttes.

– Tout le monde est le/la bienvenu-e même si tout le monde ne milite pas depuis 60 000 ans.

– On veut partager des moments conviviaux et discuter avec bienveillance.

– On s’informe sur l’actualité, on échange des infos, on parle de ce qui nous révolte ou nous donne envie.

– On s’autoforme et on agit autour de l’éducation populaire.

– On mène ou on participe à des actions collectives.

– On réfléchit à notre fonctionnement, à nos pratiques politiques et aux rapports de pouvoir entre nous.

– On fait en fonction de nos moyens, nos envies, notre temps.

La liste n’est pas exhaustive… à toi de la compléter.

Nul(le) n’est parfait(e) !

 

Quelques exemples de nos activités relativement récentes :

On anime les permanences du « magasin gratuit » (19, rue Legraverend) toutes les semaines et des zones de gratuité pendant la semaine de l’environnement ou lors de la semaine du CLAR, sur la dalle du Colombier, pendant la braderie Saint Martin ou la grande braderie de Rennes.

On discute des grands projets, de l’urbanisme sécuritaire, de la gratuité, de la défense des milieux de vie, de l’intérêt du formalisme dans les réunions, de féminisme, de la gestion de l’eau à Rennes, des luttes anti nucléaires, etc.

On se réunit avec le collectif  CARPES autour des questions concernant les migrant-e-s notamment dans le cadre d’autoformations sur Le Centre de Rétention Administratif, Les droits des migrant.e.s et les politiques migratoires européennes.

On fait du détournement de publicité, des repas locaux/bio dans des lieux publics, on regarde des films, on fait des vélorutions et on tente se réapproprier l’espace public.