Et on a laissé les flics faire respecter des règles pas claires. C’était donc à l’appréciation de chacun.e.s. Et comme chacun.e est souvent raciste et plein.e de préjugés, certaines et certains ont été plus touché.e.s que d’autres…

Des personnes se sont même retrouvés en taule au bout de 4 amende.Sous prétexte de l’épidémie, le gouvernement enferment des personnes dans des conditions encore plus dangereuses qu’a l’éxtérieur, alors qu’ils auraient du laisser sortir tout le monde.

Les incarcérations pour non respect du confinement étaient illégales avant le 16 avril* et on ne sait pas combien de personnes sont encore en taule.

Si même ou si vous avez des proches concerné.e.s, on vous propose de contacter rapidement la legal team. Si vous voulez contester l’amende, les délais sont courts, on peut le faire ensemble, vous apporter des conseils juriques et vous apporter du soutien.

Contactez-nous au 06.75.30.95.45


Témoignages autour des amendes pendant le confinement :

– À Nanterre :  » Dans mon quartier les flics me reconnaissaient au loin, ils ne prenaient même plus la peiine de controler si j’avais une attesation, ils m’envoyaient directement une amende chez moi « .

– En Auvergne :  » J’ai reçu une amende au tout début du confinement, j’étais isolée, je n’avais pas d’accès aux informations, pas d’accès à internet, je me suis rendue chez une amie à pied, à 15km de chez moi, pour récuperer mes papiers et de l’argent afin de pouvoir faire des courses. Je me suis faites controler par les flics à 1km de chez moi, c’est là qu’ils m’ont mit une amende « .

– À Nantes : ‘ j’ai prit une amende parce que je faisais la machance à moins d’1m d’un passant »