Quel gachis ! Qu’ont-ils fait des plats préparés qui, selon la loi, ne peuvent être resservis le lendemain ? Comment peuvent-iels oser faire cela alors même que des étudiant.e.s viennent leur parler de précarité ?

Ce midi, lorsque, devant les portes du Crous, ces contradictions sont portées au responsable, la grogne commence à monter. Les étudiant.e.s en colère réclament l’ouverture du RU !

Quelle réponse ? Des photos prisent par un huissier de justice des personnes présentes ! Comme toujours la seule réponse aux inégalités se résume à des coups de pression et une sale répression.

Pour rappel, lors des derniers RU gratuit, le personnel du Crous avait lui même témoigné son soutien aux personnes mobilisées, il faut croire que leur direction ne vit pas la même précarité.

Mobilisons-nous pour qu’enfin TOU.TE.S les étudiant.e.s puissent aller en cours le ventre plein, pour en finir avec ce monde marchand qui discrimine sans cesse.