Certains d’entre eux ont grimpé sur une plate-forme de l’entrée principale afin de remplacer la publicité automobile par une bannière sur laquelle était écrit “Stop CO2 emissions”. Certains se sont notamment enchaînés au volant des voitures exposées alors d’autres taguaient. Certaines voitures ont également été aspergés de faux sang. La police a arrêté 185 personnes. Environ 150 militant·es ont reçu chacun une amende de 2.000 euros et seront poursuivis en justice.