En commençant par celles et ceux qui ont fait des compromis qui ont engagé l’effort de tous et toutes les autres qui ont lutté en diffusant des pratiques anti institutionnelles, qui, emmanant des experiences de ces prétendues zones de lutte ou en leur defense, ont fini par mettre en avant les effets passés cette lutte intermediaire en particulier (comme le dirait un parfait stereotype de la credulité citadine militante locale dans la poule zadiste des oeufs d’or). Tout cela, en détriment d’une analyse coherente de la conjoncture de tension sociale devellopée dans la deuxieme partie de cette décénnie par des multiples ruptures entre des gens et certains mechanismes de contrôle de la societé capitaliste (partis, syndicats, l’ecologie bourgeoise, la technologie, l’assistance sociale, la présence de la répression, etc), et en comme quoi la zad a pris part au renforcement de l’Etat aux yeux autant des locaux comme dans les esprits et corps de chaqu’un.e qui habite encore cette zone – ça integre autant les gens sur place qui sont encore antagonistes a leur propre domestication, comme dans la raison de toute la societé qui a accompagné les évènement par les media – cette fois ci, beaucoup plus cohérents que les voix des « automedias », surtout en relation aux negociations (nddl la reconquete le prouve par la profondeur de la proximité des relations demontré sur ces images).

L’effort de créer des multiples zones de non-droit dans le but de les entrelacer dans une continualité d’espace et de temps de vie et de lutte n’etait pas qu’une idée anarchiste depuis le debut des zads, mais plus que ça, ils etaient implicites des faux compromis avec le Parti Imaginaire, comme beaucoup le doivent savoir. Par example, aux rencontres de la Generation Ingouvernable, fin 2016 debut 2017, presque tous les delegués(oui) des assos libertaires ont applaudit le communiqué (https://lilleausauvage.noblogs.org/post/2017/02/06/communique-de-generation-ingouvernable/), tennant implicitement à s’associer à la démarche Destitutive pronnée par un reconnu boloss’ de st jean du tertre, en l’acceptant sans prendre en compte d’autres perspectives plus rupturistes et critiques envers l’autorité autant de l’etat que de la politique en generale, acceptant de « ratisser large  » contre les elections en pleine conscience et matrimoine de fait du temps du cortège de tête, tous bien « partisans » de l’alliance de convénience et de l’insurrection aussi bien convenue et manquée.

Sans avoir le besoin de s’auto-flageler perpétuellement, je considère Naturelle, Logique et Historiquement plausible la « trahison » oppérée par les organisations zadistes (CMDO, POMPS et CHIPS), soient elles composées par des marxistes (notamment suiveurs de l’appel, nationalos bretons, maos et tralala), communistes libertaires (FA/CNT/la desormais UCL et autres plateformistes) et ecolo/gaucho/altermondialistes (verts, desobeissants/attac), et de la part tous les Moines et Nonnes de la sacrosainte ZAD qu’on a pu observer en mediant le retrait des « déchets » de la D281, et lors du « déplacement assisté » (ou expulsion) de Lama jenesaisplusquoi-tché. 
Je suis forcé a constater que la resistance des anarchistes etait pacifique, sans détermination ni grand acharnement. Je m’inclue aussi, assis sur mon tas de pneus en fumant mon pétard, en pur spectateur de la premiere expulsion et demolition autogérée que j’ai pu presencer. Plus tard des resistants me diront que la zone non mot etait une terre sacrée et immaculée et que du coup fallait pas resister dessus, pour eviter les gazages et les incendies qui pourraient s’en suivre. Bref;

Les individualités qui tendent vers l’emancipation immédiate, et ces multiples aspirations de rupture avec l’existant croisées dans ces temps troubles, continuent de se croiser, de se relationner et faire face à ce monde, malgré tout cela. La zad n’etait qu’une autre deception attendue, comme l’etaient ’17 ’36 ’68 (ou meme les Khmers rouges pour les grands savons Chomsky et Foucault) ainsi comme toutes celles qui se s’intègrent dans l’histoire accéptée de la dissidence , celle qui n’intègre comme dignes par exemple les révoltes dans les quartiers, les « faits divers » de pillages et insubordinations comme récemment sur les »maisons d’accueil » pour migrants (mineurs ou pas). 
Cette histoire est écrite des défaites résignés dans des convictions de victoire, celle de la prise du Palais d’Hiver, celle des greves joyeuses de l’été 36, celle de la résistance Antifasciste, celle de la Grande Marche ou le Vietcong, de Chiapas, et maintenant, de la ZAD de Notre Dame des Landes.

À tout celui ou celle qui attend de tenter de vivre libre peut etre un jour: fait le aujourd’hui même, sans compromis avec la mairie, ONG, MSA ou gouvernement plus proche, mais en s’associant librement avec qui cherche a vivre aujourd’hui même libre aussi.