Coup de théâtre à afrin !
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Catégorie : Global
Thèmes : Libérations nationales
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Les miliciens des Forces populaires de l’armée de Damas sont arrivés mardi 20 février à Afrin ! Après la demande des YPG, et après plusieurs jours de négociations avec Damas et Moscou, les troupes d’Assad ont enfin pénétré dans l’enclave occidentale du Rojava afin d’aider à stopper l’offensive fasciste de l’armée turque et de ses mercenaires djihadistes.
« Le gouvernement syrien a répondu à l’appel de son devoir et envoyé aujourd’hui des unités militaires (…) pour qu’elles se déploient le long de la frontière et participent à la défense de l’unité des frontières et du territoire syrien » (Nouri Mahmoud, porte-parole des YPG).
« Si quelqu’un essaie d’envahir et d’occuper le sol syrien, c’est le droit du peuple syrien de se défendre. Nous sommes ouverts à tous ceux qui veulent se joindre à la défense des frontières syriennes. Chacun a le droit et le devoir de se défendre contre l’agression étrangère. » (Nuda Lelun, commandante des YPJ)
« La coalition internationale ne fait rien pour nous à Afrin. Alors, mieux vaut le régime que les Turcs… » (Ilham Ahmed, co-présidente du Conseil démocratique syrien)
Dans la nuit, un convoi de plusieurs centaines de soldats syriens est arrivé dans la ville d’Afrin et a été accueilli par une foule en liesse où drapeaux YPG et syriens étaient mêlés.
L’artillerie turque a bombardé ces renforts mais n’a pas pu empêché leur déploiement sur le front. L’heure de la contre-offensive a sonné ! L’armée fasciste turque et ses mercenaires djihadistes seront repoussés au-delà des frontières !
Solidarité internationale antifasciste !
Des miliciens du groupe chiite pro-iranien Liwa al-Baqir sont également rentrés dans l’enclave d’Afrin pour venir en aide aux YPG.
Les troupes d’Assad se sont déployées dans la ville d’Afrin mais aussi dans celle de Jindires (sud-ouest de l’enclave) qui, depuis quelques jours, risquait de tomber aux mains des djihadistes.
Être soutenu par l’armée d’Assad est-il plus déshonorant que d’être soutenu par l’armée de Trump ?
Mise en débat le temps d’avoir l’avis des autres modos.
C’est vrai que l’info n’est pas « politiquement correcte ». Mais, à propos du Rojava, ne faut-il publier que le point de vue des combattants internationalistes qui se battent aujourd’hui à Afrin, et cacher les (nombreux) points noirs des YPG ?
Aujourd’hui à Afrin la foule brandit les portraits d’Abdullah Ocalan et ceux de Bachar al Assad. Est-ce qu’il faut le dire ou pas?
Depuis le 20 janvier, le peuple d’Afrin est la cible d’attaques sans précédents de la part de l’état turc et de ses supplétifs jihadistes. Bombardant les civils, détruisant écoles et structures vitales à la population, le régime d’Erdogan n’a toutefois pas réussi à avancer, confronté à une résistance farouche des YPJ/G. Au delà des prétextes fallacieux invoqués pour justifier l’invasion d’Afrin, cette guerre est avant tout une attaque contre le projet de société qui prend son essor au Rojava. Ce projet communaliste, écologiste, où la démocratie directe et l’égalité stricte femmes-hommes sont des piliers est l’antithèse du régime fasciste turc anti-kurde qui massacre et emprisonne les voix dissidentes.
Le Rojava dessine aujourd’hui les premiers espoirs d’une démocratie stable au Moyen-Orient, où depuis des années les peuples n’ont jamais pu entrevoir l’espoir de vivre libre et en paix. Aujourd’hui au Rojava la guerre n’est plus le seul horizon, écoles, hôpitaux, projets écologiques se construisent, sans créer leurs fondations sur l’oppression d’une minorité. Malgré le contexte actuel, les forces kurdes restent profondément attachées au respect des droits de l’Homme et des conventions de Genève.
L’agression contre Afrin se déroule dans le silence assourdissant des grandes puissances mondiales, qui se sont fourvoyées dans des contrats d’armements passés avec le régime turc, au mépris de toutes les violations des droits humains commises par celui-ci, qui agite également la menace du passage des réfugié.e.s en Europe pour acheter le silence de l’Union Européenne. C’est pourquoi les habitants d’Afrin et ceux qui la défendent ont besoin de notre soutien actif, en participant aux manifestations organisées par nos camarades kurdes, et en portant au sein de nos organisations le projet politique du confédéralisme démocratique du Rojava. A coté de dizaines de combattant.e.s kurdes, deux internationalistes, un breton et un espagnol sont déjà tombés sous les bombes turques.
Alors que nous pouvons voir les répressions, les violences et le nationalisme gangréner de plus en plus le monde, l’union des peuples face au fascisme est plus que jamais nécessaire. Nous nous devons de le combattre partout où il se trouve et ce par tous les moyens jugés nécessaires. Faire couler un peu d’encre n’est aujourd’hui plus suffisant.
Aucunes organisations, collectifs, partis, groupes affinitaires… ne peuvent décemment revendiquer défendre les droits Humains sans défendre activement Afrin.
Il est du devoir de tous de porter ce message au sein de nos milieux et de faire bouger les choses ! Nous déplorons actuellement le peu de soutien internationaliste au sein des manifestations de soutien en France. Nous appelons donc toutes les forces antifascistes à constituer un bloc en tête de cortège ce samedi 24 février lors de la manifestation de soutien à Afrin !
Ici comme ailleurs,
Ni oubli !
Ni pardon !
Vive la résistance d’Afrin !
https://paris-luttes.info/appel-pour-un-bloc-antifasciste-en-9624
Au moins c’est claire : constituer un grand front antifasciste pour défendre « les premiers espoirs d’une démocratie stable au Moyen-Orient ». Contre le fascisme turc vienne qui voudra, des anarchistes et maoïstes européens aux troupes du régime d’Assad en passant par des islamistes chiites. Contre le fascisme de l’Etat islamique le front rassemblait déjà les anarchistes et maoïstes européens aux forces spéciales de plusieurs pays de l’OTAN. C’est du pragmatisme. Oui…
On nous a tellement seriné dans les médias dominants qui étaient les bons et qui étaient les méchants que certains en sont restés à la version officielle et ne supportent pas qu’on critique d’autres crapules que celles désignées.
Silence assourdissant sur les crimes de la Turquie et ses alliés occidentaux.
Le fasciste Erdogan et ses partenaires, devenus de jour en jour de plus en plus téméraires avec le soutien qu’ils ont reçu des impérialistes, ne pourront échapper à leurs crimes de guerre, à leur persécution et à leur corruption dont ils ont fait preuve envers nos peuples.
https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/210118/l-armee-turque-attaque-les-kurdes-au-nord-de-la-syrie-videos
« Des miliciens du groupe chiite pro-iranien Liwa al-Baqir sont également rentrés dans l’enclave d’Afrin pour venir en aide aux YPG ».
Première nouvelle depuis quand un groupe formé, encadré, et entrainé par les Pasdarans Iraniens et surtout leur principal l’officier supérieur Qasem Soleimani , alias le monsieur spécial coups tordus en Syrie, Irak et Kurdistan Irakien viendraient en aide aux Kurdes du Rojava, faut arrêter vos délires les conspis.
Jamais la répression n’a été aussi féroce dans le Kurdistan Iranien ou Rojhelat qui est sous coupe réglée des Pasdarans et des Bassidj’is depuis les manifs anti régime de la fin 2017 et du début 2018.
https://anfenglish.com/women/woman-author-imprisoned-in-iran-on-hunger-strike-for-18-days-25053
https://anfenglish.com/kurdistan/iran-sentences-activist-to-four-years-in-prison-24922
https://anfenglish.com/women/women-activists-turn-their-hunger-strike-into-death-fast-in-iran-24900
https://anfenglish.com/news/turkey-russia-iran-summit-to-be-held-in-istanbul-24792
https://anfenglish.com/news/political-prisoners-in-iran-in-solidarity-with-afrin-24713
ça fait juste cinquante ans que chaque régime de la région massacre « ses » kurdes et soutient ceux qui vivent chez le voisin (pour emmerder ce dernier).
On a effectivement vu des vidéos de pick-up de miliciens franchissant la frontière zone loyaliste/Rojava et harborant des drapeaux jaunes caractéristiques des milices chiites. Il semble que Le Monde évoque la participation de Liwa al-Baqir. Les wikipedia français et anglais ont validé la chose. Sont-ce des fiefs conspi ?
Personne ne dit pour autant qu’il ont décidé d’intervenir auprès des YPG à la suite d’une longue AG ; une évocation de la multimillénaire culture kurde ayant finalement bouleversé les miliciens chiites et retourné l’auditoire!
et malheureusement si, ton critère à toi de cohérence (réprimer les kurdes d’Iran vs soutenir momentanément ceux de Syrie, c’est un vrai paradoxe) n’est pas celui des Etats ou de ses serviteurs assassins. Pour eux seul compte le pouvoir et ses jeux géostratégiques : ils peuvent faire ici une chose et là-bas le contraire, ce n’est pas la cohérence politique qui les meut ; et même cette dernière peut être à long terme plutôt qu’à court terme (tactique et stratégie) sur de vastes échelles régionales.
bref, c’est moche, et surtout pour les dirigeants kurdes qui, acculés de toutes parts, en sont réduits à pratiquer ce même genre de logique de guerre (avec moins de moyens) vis à vis de Bachar ou des Etats-Unis. Et personne n’en sort indemne au plan de la cohérence « militante » ou « révolutionnaire », même le FDS ou les YPG.
Au fait, étant donné qu’au niveau des commentaires ce texte ne semble pas faire tant débat que cela (on a vu pire non ?), est-ce qu’il serait possible de savoir quel débat « interne » a lieu entre modérateurs à propos de ce texte ? Merci par avance.
C’est fou ce qu’un texte n’allant pas dans le sens de la propagande officielle peut provoquer de réactions chez des «révolutionnaires» !
«Aujourd’hui à Afrin la foule brandit les portraits d’Abdullah Ocalan et ceux de Bachar al Assad»
Donc bombardons la foule !
Au final, les YPG d’Afrin auront fait le plus grand tort à la cause kurde qu’ils croyaient défendre, en restant jusqu’au bout (après Alep déjà) les complices des nazis bacharistes.
« nazis bacharistes » !!!!????
les autres sont moins nazis ?
bel exemple de l’idéologie du bien contre le mal !
« les autres » n’ont pas été formés par Aloys Brunner, et n’ont pas non plus exterminé plusieurs centaines de milliers de civils désarmés.
les autres ont employé les mêmes méthodes contre les civils à Mossoul, Afrin ou au Yemen sans que ça dérange les « révolutionnaires » pro-occidentaux.
c’est ça le négationnisme.
‘armée turque pilonne l’enclave d’Afrin, au nord de la Syrie, mais aucun grand media n’en parle. Quelle est la raison de ce silence?
L’enclave d’Afrin, 3e canton de la Fédération démocratique du nord de la Syrie, vit sous les bombardements des F16 et des chars turcs, depuis que le président turc Recep Tayyip Erdogan a décidé, le 20 janvier, d’attaquer cette paisible province, jusqu’ici restée à l’écart des massacres et des destructions toujours en cours dans le reste de la Syrie. Son armée est aidée par des milliers (le chiffre de 25000 est avancé) de combattants de brigades jihadistes de l’ASL, d’Al Nosra, mais aussi de Daesh, ce signifie le retour de Daesh dans une région dont ils avaient été chassés depuis longtemps.
Mais les médias français et européens évoquent à peine de temps en temps cette attaque. Pourtant les bombardements par le gouvernement syrien de la région de la Ghouta sont largement montrés et commentés. Pourquoi une telle différence dans le traitement de l’information alors que moins de 350 kilomètres séparent les 2 régions ? Pourquoi le moindre déraillement au fin fond du Nebraska ou un glissement de terrain en Colombie font-ils l’objet d’un sujet dans les JT alors que l’invasion d’Afrin est un non événement médiatique ? Sans doute tout simplement parce qu’il n’y a pas d’images.
Pour comprendre ce silence et cette absence d’images il faut remonter à la tentative avortée de coup d’État en Turquie de juillet 2016. Outre les licenciements et les emprisonnements massifs qui ont touché tous les sympathisants, ou supposés tels, du prédicateur Gülen, la presse sous toutes ses formes, journaux, chaînes de TV ou presse internet, a été la cible suivante du régime. 156 médias, dont tous les journaux et chaînes de télévision kurdes, ont été fermés depuis 2016 et un tiers des journalistes emprisonnés dans le monde le sont en Turquie. Les tentatives de résistance des journalistes comme celle de protester contre la fermeture du quotidien Özgur Gündem, pour défendre le pluralisme et la liberté de la presse, ont valu aux journalistes solidaires des arrestations immédiates, sous l’accusation de « soutien au terrorisme ».
Le 16 février, trois célèbres journalistes turcs, Ahmet Altan, Mehmet Altan et Nazli Ilicak ont été condamnés à la prison à vie sans possibilité d’amnistie, la peine la plus lourde possible puisque le président turc n’a pas encore rétabli la peine de mort. Leur crime ? Dans une émission de télévision diffusée à la veille de la tentative de putsch, ils auraient critiqué les autorités et le président lui-même, envoyant ainsi un « message subliminal de soutien aux putschistes » selon le procureur. Une accusation et une sentence qui font davantage penser aux procès en sorcellerie qui se sont tenus à Salem en 1692 qu’à un fonctionnement normal de la justice dans une démocratie.
Le journaliste germano-turc Deniz Yükel, correspondant de « Die Welt », emprisonné sans procès depuis un an, n’a dû sa libération, le même jour, qu’aux pressions appuyées de la diplomatie allemande et d’Angela Merkel elle-même. Deniz Yükel avait osé rapporter des fuites compromettantes concernant le ministre de l’énergie, Beyrat Albeyrak, qui est aussi le gendre de Racep Erdogan.
C’est dans cette ambiance délétère qu’à la veille du déclenchement de l’invasion turque à Afrin, les journalistes encore en liberté ont reçu des directives très strictes. Ils ont été avertis qu’ils devaient « tenir compte des intérêts nationaux » et à tout moment « rappeler le soin pris par les forces armées pour ne pas toucher les civils » et « éviter les nouvelles susceptibles de remonter le moral du PKK/PYD ». C’est donc une presse turque sélectionnée et de toutes façons bâillonnée qui couvre l’offensive. Quant à la presse internationale, elle est pratiquement absente. Les équipes de TV étrangères sont empêchées de pénétrer dans le territoire et même les journalistes de la presse écrite, couvrant l’attaque depuis la frontière, ont peu d’informations à donner à part celles distillées par le service de presse de l’armée turque. « Le journalisme est pratiquement inexistant sur les lieux de l’opération » dit Erol Onderoglu, représentant de RSF en Turquie.
Une exception cependant, celle de Robert Fisk, qui fort de ses très bonnes relations avec le régime de Bachar Al Assad, a pu se rendre à Afrin et a écrit une série de trois reportages pour « The Independent ». Trois articles étonnants dans lesquels, écrivant à la première personne, il fait part de ses impressions personnelles sur une guerre qui n’a pas vraiment lieu, puisque, selon lui, à Afrin tout est calme, où il est « difficile de savoir pour quoi se battent les YPG », titre d’un de ses articles, où il présente un médecin dans un hôpital comme un « officiel des YPG »… Jusque là rien de bien dérangeant pour la Turquie, sauf qu’il va commettre l’irréparable, écrire un article dont le titre désigne les civils, les bébés, comme les premières victimes de cette guerre. La réaction du côté turc ne se fait pas attendre et une journaliste du quotidien à grande circulation Sabah va le dénoncer dans sa colonne intitulée « Le journalisme jaune de Robert Fisk » comme « un instrument de propagande du PKK et de sa branche syrienne le PYD ». Elle lui reproche de n’avoir consulté « aucune source turque officielle ou non pour écrire son article », mentionne au passage le médecin comme une source qui « ne dément pas son affiliation à un groupe terroriste, le PYD » et ne craint pas d’affirmer que « le but principal de cette opération est de sauver la population d’Afrin de l’oppression des YPG ». Bien sûr, difficile de nier les 180 morts civils recensés pour l’instant, mais l’explication est simple, elle cite le premier ministre turc, Binali Yildirim, qui a affirmé que « les civils ont été pris pour cibles par les YPG, pas par les forces armées turques ». Ce ne sont donc pas les bombardements des F16 et des tanks qui tuent les civils selon les seules voix qui sont autorisées à s’exprimer sur l’opération cyniquement appelée « Branche d’olivier », le gouvernement et les journalistes aux ordres, mais les Unités de défense du peuple, les YPG.
Cette main-mise totale sur l’information complique beaucoup la compréhension de ce qui se passe sur le terrain. Selon Russia Today (RT), un accord entre le régime et les YPG pour une intervention
de l’armée syrienne pour repousser l’invasion turque aurait échoué. Le gouvernement syrien exigeait le désarmement des YPG en échange de son aide, condition inacceptables pour les défenseur.e.s d’Afrin. Pendant ce temps, la propagande nationaliste du gouvernement turc bat son plein, chauffant à blanc l’opinion conditionnée par une information à sens unique, sans que beaucoup de voix s’élèvent à l’étranger pour dénoncer cette dérive. Entre contrats économiques juteux et rivalités entre grandes puissances, le sort de la démocratie et des libertés dans la région semble peser bien peu, et les réactions à l’écrasement sous les bombes du projet féministe, multiethnique et démocratique de ce canton du Rojava passera inaperçu, puisqu’il n’y a pas d’images.
https://blogs.mediapart.fr/mireille-court/blog/180218/afrin-la-guerre-sans-images
et on publie du médiapart périmé mais non daté pour détourner l’attention : juste pour qu’on puisse lire que « un accord entre le régime et les YPG pour une intervention de l’armée syrienne pour repousser l’invasion turque aurait échoué. » Saud que l’article date du 18 février, soit trois jours avant que l’armée d’Assad ne pénètre dans Afrin afin d’aider les YPG.
Les troupes d’Assad ont au moins été déployées dans les localités d’Afrin, Jandaris, Tell Rifaat et Ba Dinli. Ainsi que dans le quartir kurde d’Alep où elles ont remplacé les YPG partis combattre à Afrin.
Quant au fait que cet article soit casé à « en débat » c’est juste parce qu’il ne s’agit pas de prose pro-YPG. Il ne faut pas désespérer Billancourt.
puisqu’il est d’abord un éloge du régime nazi de Bachar el-Assad (qui serait non seulement « anti-impérialiste », mais désormais aussi « antifasciste », on croit rêver).
Et crève le troll rouge-brun qui pollue Indymedia.
vive la résistance de la Ghouta
à bas la résistance d’Afrin
Si dire que nos camarades des YPG sont aidés par l’armée de Damas c’est faire l’apologie de Bachar el Assadr…
Si dire que nos camarades des YPG sont (dans l’Est de la Syrie) aidés par les forces spéciales américaines et française c’est faire l’apologie de Trump et Macron…
Comment faire l’apologie des YPG ?
Par exemple en rappelant que les YPG ont aidé les forces d’Assad dans l’encerclement final et la conquête des quartiers rebelles d’Alep en 2016.
Les modérateurs d’Indymadia-Nantes sont parfois prompts à expliquer dans les commentaires pourquoi ils refusent ou rangent dans la catégorie « en débat » (indéfiniment?) tel ou tel article. Ici ils ne daignent pas expliquer aux visiteurs du site, à ceux qui ont publié cet article et à ceux qui l’on commenté, pourquoi/comment ils « débatent » depuis un mois de ce texte ! Dommage, car cela ferait peut-être avancer le débat ?
Entretient un confusionnisme pro-Assad.