L’ambiance était plutôt détendus. Le bruit des bombes de peintures a été, durant toute la durée du défilé, accompagné par les slogans, les discutions entre ami.es, les chants, et le son du ukulélé. On y à croisé une bonne part de ce qui fait la diversité du mouvement pour la Zad et contre le monde de l’aéroport: un bon nombre de jeunes, des étudiant.es, des membres de partis qui nous on fait le plaisir de ranger leurs drapeaux, des cheveux gris, de joyeuses bandes d’ami.es vetus de noir et tapant dans leur mains en chantant, des paysan.es déterminé, un acharné du mégaphone, quelques vélos et quelques passant.es attiré par cet petite foule diverses et déterminé.

Le commissariat de la rue de Penhoët à été redécoré une nouvelle fois, la caméras qui venait juste d’être changé à parait-il été de nouveaux neutralisé.

Après un petit tours par les halles Martenots, le cortège à poursuivis jusqu’à la rue des fosses ou il à été bloqué par l’équipé des bleus qui protégeais la préfecture de région.
Ayant mieux à faire que de se battre à ce moment contre un tel adversaire, la manifestation s’en est retourné vers la mairie ou au moins deux extincteurs de peintures sont venus donner un peut de couleur à ce bâtiment où quelques mois avant Natalie Appéré avais réaffirmé son soutien au projet.

Tout ceci aurais pus en rester là, mais des robocops ont déboulé du haut de la place de la maire pointant à auteur de visage flashball et lanceurs de lacrymogènes. La petite foule s’est donc empressé de rejoindre le bas de la place ou l’attendais les armes à la main des membres de la BAC bien décidé à s’en servir.

Et pour tout dire la suite à plutôt été une grosse débandade. Si les premières personnes on pus atteindre la rue de Coëtquen sans trop de soucis malgré les chaînes présentes dans ce coin de la place et le décrochage de plus ou moins un mètre selon les endroit. Les dernier.es n’ont pas eut cette chance.

De nombreuses personnes ont pris des coups de tonfas, on a vus plusieurs personnes à terre ratonné par la BAC et plusieurs personnes on été touchés par des tires de flashball.

Je n’ai pas connaissance d’arrestations à cet heure, mais on compte plusieurs blessés dont des hématomes dus au tonfas et aux matraques télescopiques, une personne ayant eu la jambe ouverte une personne blessé à la main par un tire de flashball alors qu’elle tentais de venir en aide à une personne à terre.

Ceci n’est qu’un premier retour n’hésitez pas à compléter.

On vois dans cette opération policières la même logique de vengeance d’État que lors de nombreuses autres manifestations par le passé.
Cette charge qui arrive alors que le groupe est sur le point de se disperser n’avais pas tant pour objectif de mètre fin au rassemblement que de nous punir de manière extra judiciaire. On tape dans le tas sur tout.es ce.lles qui passe à porté afin de marquer les esprits durablement. Voila leur discourt: l’État est plus fort que vous, nos cerbères peuvent vous blesser vous mutiler, alors rentrez chez vous et si vous n’êtes pas content.es soulagez vous dans l’isoloir, mais surtout n’allez pas vous organiser par et pour vous mêmes.

Le mouvement vas devoir se poser la question de la réponse à envisager contre cette stratégie de terreur qui marque aussi bien les individu.es dans leur chaire que le corps collectif. De nombreuses formes ont étés tentés par le passé et je ne doute pas que d’autres encore seront imaginés à l’avenir.

La lutte seras dure. Continuons à nous organiser pour que nos espoirs et nos colères soit plus fortes que les matraques du capital.