La Coupe du Monde n’est pas une question de foot. Si un pays est candidat pour l’organisation de cet événement, c’est parce que le foot remplit aujourd’hui la même fonction que le spectacle des gladiateurs dans la Rome antique, mais également parce que c’est une occasion inespérée pour l’Etat organisateur de faire avancer à pas de géant son développement économique et son rayonnement politique. La Coupe a un coût monstrueux, néanmoins le retour sur investissement promet presque à coup sûr d’être juteux. Le Brésil, considéré comme une des grandes puissances économiques mondiales, compte bien gravir encore des échelons en organisant la Coupe et les Jeux Olympiques.

Continuer à lire dans le PDF.